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 [Montmartre, Paris] La lumière s'est éteinte

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MessageSujet: [Montmartre, Paris] La lumière s'est éteinte   [Montmartre, Paris] La lumière s'est éteinte EmptySam 9 Fév - 21:15

[HRP: Avec la permission de sa créatrice, je poste ici le topic d'adieu que je dédie à ce fantastique personnage qu'était Light Weddmore. Sa dite créatrice a même eu la grandeur d'y participer en écrivant de sa plume le billet d'adieu de Light qui est inséré dans ce topic.(et qui m'a carrément mouillé les yeux! T_T) Quant à la joueuse qui se cachait derrière un si troublant -mais ô combien fascinant- personnage, ce n'est qu'un au revoir! Wink Light, Gayou, Pino, adieu petits persos, et bon vent!]

_______________________________


Il faisait gris sur Montmartre ce jour-là, mais cela n’avait rien d’étonnant. L’impératif narratif était au rendez-vous, lui aussi, voilà tout. Il ne pleuvait pas, aussi on n’apercevait nulle forêt de parapluie noire. Mais peut-être était-ce simplement parce qu’il n’y avait que deux personnes présentes, ou que l’enterrement avait eu lieu il y a quelques temps déjà, et seule une vielle femme y avait assisté.

Six jours après, il n’y avait que deux hommes qui contemplaient deux tombes. Il n’y avait pas de pierres tombales, seulement des plaques à même le sol qui recouvrait la terre et les cercueils au sein du petit cimetière de Montmartre. Debout à côté de Georg Roosentag, qu’il dépassait de presque deux bonnes têtes, Charles James Wihtmore se demandait ce qu’il foutait ici. Rendre un dernier hommage poignant, ça n’était pas son genre, et il aurait été prêt à parier que ça n’était pas non plus celui d’une des deux personnes étendues sous terre.

Il avait appris la mort de Light Weddmore il y a quatre jours, par l’intermédiaire de Zackary Solansky. Il avait ensuite rapidement été joint par Roosentag, l’ancien assistant de la scientifique ; celui-ci lui avait demandé de se rendre à Paris parce que Light avait laissé quelque chose pour lui.

Agacé, le mercenaire avait temporairement laissé les grottes du M.I.L pour venir à la capitale. Oui, Charlie était agacé, parce qu’il ne savait pas trop que penser de la manière dont son docteur avait tiré sa révérence. S’il savait que l’âme de la généticienne était noyée sous trop de tourments malgré son apparente froideur, il ne savait par contre pas s’il devait lui en vouloir pour s’être suicidée. Le geste des désespérés, disaient certains, le geste des lâches ; mais Charlie ne voyait Light ni désespéré ni couarde. Il l’avait toujours vue…résignée. Et s’il n’était pas étonné que tout cela soit terminé. Mais ça ne l’empêchait pas de sentir ce goût amer entre les lèvres, et tous les chewin-gums qu’il avait mastiqués ne changeaient rien.

Withmore n’était pas inquiet pour lui, non ; Light lui avait laissé un mot bien senti, ainsi que le fruit de ses recherches pour le guérir. Et il devait avouer que depuis ces quatre jours, il se sentait de mieux en mieux. Elle avait vraiment réussi ; elle était allée jusqu’au bout avant d’appuyer sur la gâchette et de se retrouver enterrée aux côtés de celui qu’on disait être son frère.

Charles n’avait juste pas croisé Anna, la mère de cœur de la scientifique, mais elle l’avait salué par l’intermédiaire de Georg. Charlie ne savait pas comment, mais la vielle femme avait deviné qu’il viendrait jusqu’ici, devant la tombe.

« Tu t’es bien moquée de moi hein ? Jusqu’au bout il aura fallu que tu décides tout toi-même. »

Sans s’en rendre réellement compte, le capitaine s’était mis à parler, ses yeux noirs foudroyants la pierre mate. « Tu t’en es bien tirée, hein, doc’ ? Tu as fait ton boulot, alors tu t’es dit que tu pouvais t’en aller. Et t’as bien fait en sorte qu’on sache jamais vraiment pourquoi. La question est plutôt : pourquoi as-tu tenu jusque là ? »

A ses côtés, Roosentag semblait amorphe ; il ne parlait plus beaucoup depuis que Charlie l’avait retrouvé dans la ville lumière.

« Tu me sauves la vie, et tu prends la tienne. C’est marrant à quel point on pouvait penser pareil, toi et moi. On s’est pas beaucoup recroisé depuis Pitcairn, hein ? Mais je t’ai fait enragé à chaque fois. Et c’est dommage qu’on soit aussi semblables, toi et moi. Sans ça, tu aurais peut-être pu te reposer sur les autres, hein ? Mais ça, c’était pas ton style. Et tu sais quoi, j’aime bien que tu sois restée toi jusqu’au bout. »

Withmore se tut un instant, plongé dans ses pensées. Il était temps d’en finir, où elle allait bien se moquer de lui, même six pieds sous terre.

« Crois pas qu’tu vas m’faire pleurer, doc’. On meurt tous un jour, et on ne fait que retourner là où on aurait dû rester. Tu m’avais dit un truc comme ça un jour. Et tu avais raison. En fait, le seul sujet où il t’arrivait d’avoir tort, c’était sur toi-même. »

Il se pencha jusqu’à s’accroupir et approcha sa tête de la plaque funéraire, comme pour chuchoter un secret :
« T’étais vachement bien roulée quand tu souriais. » Il sourit, de son fameux sourire à la Charlie : « Et je sais que tu détestais ça ! »

Il se fendit d'un clin d'oeil amusé, se releva et épousseta les pans de son manteau, avant de toiser à nouveau la sépulture.

« T’as toujours été telle que tu étais, doc’. Merci de m’avoir sauvé, mais ne compte pas sur moi pour venir fleurir ta tombe. »

Mais je ne t’ai pas sauvée, moi.

Il se retourna, et attendit que Georg réagisse.

« Ce fut un plaisir…Light. »

Bon, il faisait quoi l’autre ? Faisant volte-face, le mercenaire tapa dans le dos de l’assistant :
« Hey, tu bouges p’tit gars ? On s’tire. »

« Je…je vais rester encore un peu… »

« C’est ça, et tu vas te laisser mourir de faim sur sa tombe. Déchirant à souhait, mais on s’en passera. T’es à moi de toute façon. »

« Non, vraiment, je… HEIN ? »

Georg réagit enfin et ouvrit des yeux grands comme des soucoupes tandis que Charlie rechaussait ses lunettes de soleil.

« J’te l’ai pas dit ? Tu fais partie de l’héritage. T’es à moi maintenant. »

Fouillant dans une des nombreuses poches, Charles tandis la note de Light à Georg qui la lut, incrédule :
« Elle est folle ! On ne peut pas léguer des gens ! »

Et pourtant, voici ce que Light Weddmore avait écrit à Charlie Withmore:

Citation :
"Charlie,

Il me serait facile de partir sans un mot.
Il me serait facile de ne laisser qu’un souvenir, celui que tu garderas au fond de ton esprit une fois que je serais morte.

Je me suis dit qu’il fallait que je t’écrive car tu es bien la seule personne en qui j’ai vraiment crut de toute ma vie.
Là encore, il me serait facile de te décrire, avec cette hypocrisie humaine si prononcé, à quel point tu étais toi. Toi. Charlie Withmore. Mercenaire. Et non gigolo, ne l’oublie pas.

Je t’admirais Charlie. Tout ce que tu étais, je l’admirais. Cette gentillesse bien à toi, ces mots - si candide et si innocent au final – qui sortaient de ta bouche pour laisser la joie et le bonheur aux autres de les déchiffrer, ton visage souriant.

Depuis Pitcairn, depuis ces quelques mois, j’avais l’impression de renaître, de revivre enfin. J’avais l’impression d’avoir trouvé quelqu’un qui me comprenait.
Je m’étais trompée.

Lundi dernier, c'est-à-dire trois jours avant cette lettre, j’ai reçut un mot de Jessy (ton nobliau préféré, souviens toi.) Il disait vouloir me voir d’urgence, à l’hôpital de l’hôtel-dieu, à Paris. Evidemment, au début, je ne l’ais pas crut. Et puis, Georg m’a convaincu d’y aller- je ne sais d’ailleurs comment il s’y est pris, enfin …

Quand nous sommes arrivé sur place et que j’ai enfin aperçut cet hôpital si célèbre, j’ai eu un mince espoir : peut être que la personne qui m’avait fait du mal était ici, peut être que mon père crevait enfin de ses propres erreurs, peut être que …

Peut être que non, Charlie.
Ce n’est pas mon père que j’ai retrouvé mort.
C’était mon frère.

Tu comprendras donc alors la nature de mon geste. La seule chose pour laquelle je m’étais battue tant d’années – quand bien même je pensais qu’elle n’était plus de ce monde – venait d’entrer dans ma vie pour en ressortir tout aussi brutalement.
Ca y est, pour moi, c’est finit.
Ma bataille n’a pu lieu d’être.

J’aurais aimé que tu sois là pour m’aider. Mais tu ne l’étais pas.
Alors merci d’avoir toujours été sincère.
Merci d’avoir été toi.

J’aurai voulut que tu m’apprennes à dire « je t’aime ».


Light.



PS : Demande à Georg de te passer l’antidote. Et console le jusqu’à ce que les larmes cessent de couler sur ses joues. C’était mon ami. Et toi, tu étais encore plus.

Ah, et je te le lègue, prends en soin, sinon je reviens de l'enfer pour te faire bouffer le balais à chiotte."

« Dis le lui, à elle. Bon, grouille toi, on a des bagages à faire si on veut vite chopper un avion. Et rend moi ma lettre, j’y tiens. Si tu l'as trop froissée je te tue.»

Sans faire plus d’ambages, Charles commença à s’éloigner à grands pas.

« Mais c’est complètement… c’est…ma parole… quelle espèce de… » Puis Georg regarda la tombe de la seule personne qu’il ait jamais respecté, et il retrouva le sourire pour la première fois depuis la mort de la scientifique.

« T’es contente, hein ? Tu dois bien te marrer, où que tu te trouves. Même si tu croyais pas en ces choses là… Et tu sais quoi ? Je crois que ça pourrait être marrant, non ? »

Souriant, Georg courut à la suite de Withmore.


______________________________

[Merci pour tout. Et... à bientôt! Wink]
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Baret Spike
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MessageSujet: Re: [Montmartre, Paris] La lumière s'est éteinte   [Montmartre, Paris] La lumière s'est éteinte EmptySam 9 Fév - 22:52

[Désolé, même si ce n'était pas totalement voulu, il le fallait. Pour le drogué]

Qu'est ce que tu fais là, Spike " Lightning Torch " Baret?

Tu n'as jamais rien su de Gaÿel Kertèz. D'ailleurs, la dernière fois que tu l'as vu, tu l'emmenais à l'hosto' pour être hospitalisé d'urgence à cause d'une balle en plein bras. Ce punk' avait eu la gâchette trop facile, et toi Spiki, t'avait été là pour soutenir ce drogué.

T'avais été là Spike, toi t'avais été là pour lui. Et lui, il est tout bêtement resté là à te regarder en souriant. En te disant de passer chaque jours voir si les enfants allaient bien, mais toi Spike, les enfant ne t'intéressaient pas, c'était lui qui te faisait peur. C'était lui qui t'avait soufflé son prénom entre deux grimaces de douleurs frappantes. Et toi, tu n'avais même pas eu le cran de lui gueuler dessus pour le fait de t'avoir menti. T'avais été trop tendre Spiki. Mais t'aimais bien Gaÿel. Ses cheveux noirs de jais, son allure rêveuse, sa mimique un peu spéciale lorsqu'il fumait une clope. Tu ne l'as pas revu depuis que t'étais rentré de la facultée.

Ah ça, pour oublier Yuna tu l'avais oublié.

Mais maintenant, lorsque Wilson t'apprends par la rubrique nécrologique, là où tu devais justement le retrouver tiens, qu'il est décédé d'une overdose à Paris.

Bien, toi, Spike Baret, t'as décidé d'aller lui rendre un dernier hommage.

T'avais croisé des hommes un peu louches là-bas, mais t'as rien dit. L'armoire à glace normande t'aurais mis deux mandales que c'est toi qui se serait retrouvé près de la tombe des Kertèz.

Toi tu t'étais contenté de murmurer des paroles à son égard, à sa grandeur d'âme que tu connaissais à peine, à sa générosité envers les enfants que tu allait voir tous les jours. Tu lui rendais un dernier hommage en déposant ce bouquet de fleur sur sa tombe.

Les éternelles, une sorte de fleur assez spéciale. Elle ne coute pas très chère et ne vit pas d'eau, elle est donc parfaite pour tenir dix voire vingt ans sans aucune aide. Et Spike se disait qu'il viendrait en déposer un autre bouquet lorsqu'il aurait 34 piges.

Bon c'est pas tout ça Spike, mais t'as des cours à reprendre. T'as une vie bien remplie à mener. T'as tout un tas d'endroits où tu peux aller barouder, où tu peux faire de nouvelles rencontres. Bref, t'as une vie qui t'attends sur Terre, Gaÿel, lui, va au Paradis. Sa place lui était réservée, il était fait pour enfin obtenir les deux ailes qui lui manquait.

Non Spiki Spike. Pas besoin de pleurer. Non tu ne pleures pas, c'est juste un peu de terre qui t'ai rentré dans les yeux. Non Spike, t'es un homme fort. Tu sais qu'il est forcément bien là où il est. Allez, arrêtes de sangloter, fais ton signe de croix, et quittes ce sanctuaire. Quittes ce cimetière.


[ Pour un drogué pas si drogué que ça ]
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Iwëne
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MessageSujet: Re: [Montmartre, Paris] La lumière s'est éteinte   [Montmartre, Paris] La lumière s'est éteinte EmptyDim 10 Fév - 2:12

S'en est fini des hommages. S'en est fini des adieux. S'en est fini de tout.

Paroles en l’air... L'apocalypse est divisible. Une touche aujourd'hui ; une touche demain. Entre le thé et la promenade.

_____________________________________

Iwëne n'était pas là pour Light Weddmore. Encore moins pour ce Gayël Kertèsz. Pour ainsi dire : Elle n'était là pour personne.
Melwin avait appelé, une fois de plus ; et ses prédictions renvoyaient à ce cimetière que la jeune femme n'avait jamais visité. Les rêves disaient : « Ci-gît grand-père ». Et qui reliait à famille, ralliait Iwëne à la cause. Folle était cette détermination qu'elle avait à se rattacher, de quelques manières que ce soit, aux piliers de son existence.
Iwëne n'avait personne, et son passé lui semblait comme une vague de flou, une grossière tache de gadoue sur du linge propre, du brouillard à s'en faire étouffer les poumons, à s'en faire diluer la cervelle. Recherches en vain, les souvenirs n'affluaient qu'à l'aube de sa tristesse. Et voilà qu'on lui apprenait l'existence de grand-père...

Il ne faisait pas beau dehors, ce jour-là. Un dimanche comme tant d'autres... Le ciel gris, l'air humide, les caveaux alignés et silencieux.
Ses pas la menaient de tombe en tombe, insouciante, curieuse. A chaque nom de famille commençant par « D », la femme s'arrêtait et contemplait le monument de pierre.
C'est ainsi, sans envie particulière de la trouver, sans autre bruit que ses chaussures sur le gravier, qu'elle tomba dessus. Pas celle de grand-père ; celle de Light.

Iwëne s'arrêta en face, droite comme une tour, froide comme de la glace. Et un sentiment d'étonnement mêlé à un trouble étrange. Du vide.
Il lui sembla bien que son estomac se noua, comme parfois lors des baisers, comme parfois devant la foule, comme parfois devant l'incohérence.

« Light Weddmore ».

Un souvenir qui ne devait apparaître, qui n’avait lieu d’être.
Etait-ce le nom de la jumelle d'âme ; celui qu'elle avait crût lire sur un pli de la chemise que portait, ce jour-là, ce jour sans fin, sans tournure qui lui fut mémorable et distincte, la femme aux cheveux d'ébènes ? Le nom de l'inconnue, le nom qu'elle avait vaguement retenu -puis oublié- avant de ne se réveiller dans un lit d'hôpital ?
Iwëne regarda les dates inscrites. Logiques mais sans aucune évocation.

Le vent dansait lentement ; il n’y eut pas d’autre soupir.
La demoiselle s'agenouilla devant la tombe, et jeta un rapide coup d’oeil vers le prétendu voisin.

« Gayël Kertèsz ».

Inconnu, lui aussi. Et dates correspondantes de naissance. Elle le lorgna un long moment et revint ensuite à Weddmore, à ce morceau de pierre qui lui faisait face.
Un doigt s'aventura sur l'inscription, retraçant les lettres et les chiffres ; et se fut la main entière qui trembla. Puis le corps.
Mais les sanglots ne sortaient pas. Ce n'était qu'une sensation de vide ; un gouffre de plus.

Et puis, qui était cette Weddmore ?
Quelqu'un, une personne, un cadavre sous terre...

Iwëne se redressa, recula de quelques pas, puis ferma les yeux. Elle prit une grande inspiration, et ses jambes basculèrent vers sa gauche, continuant à explorer le cimetière.

A n'avoir plus de famille, à n'avoir pût connaître Light, pour toutes ces peines endurées, pour ce délaissement et cette désertion, la jeune femme se promit une chose :
La tombe sera fleurie, celle d'à-côté, également ; ce cimetière se devra d'être, dès ce jour, son seul et unique lieu de silence, de repos de l'âme.

Inconnues elles étaient.
Inconnues elles demeurent.

Mais quelle importance, au bout du compte ?
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MessageSujet: Re: [Montmartre, Paris] La lumière s'est éteinte   [Montmartre, Paris] La lumière s'est éteinte Empty

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