[HENTAI] Dans une chambre pour prof...

"Sage décision!"
Il ne restait plus au deux amants que leurs sous-vêtements. Fraust marqua donc une petite "pause-câlins", et enfouit son visage dans le cou de Corail, lui donnant de petits coups de langue, la mordillant légèrement par moments. Quant à ses mains, elles commençaient à s'aventurer en terre inconnue, au dessus du nombril de la jeune fille...
"Tu es délicieuse..."
Souffla le jeune homme dans le creux de l'oreille de sa belle amante...
Au final, une de ses mains remonta dans le dos de la jeune fille, et alla dégraffer son soutien-gorge...

Et voila, Fraust était à présent semblable à un Adam transgénique!!!
Sans s'encombrer de détails, il s'empressa d'ôter le bout de tissu qui servait de sous vêtement à Corail, la mettant à égalité avec lui.
Elle n'avait pas perdu de temps pour commencer de délicieux petits jeux de langues. Soit, mais maintenant, il allait lui aussi s'y mettre!
Fraust abaissa son visage au niveau de la poitrine de la jeune fille, la caressant puis la lêchant doucement. Son autre main descendit un peu plus bas, près du nombril de Corail...
Fraust et Corail s'apprêtaient visiblement à passer un moment des plus torrides!

[C'était beau... quoique un peu court ^^; ... XD]

Un moment de délice comme Fraust en avait rarement vécu... Le bonheur, tout simplement...
Après cette jolie danse, les deux amants épuisés s'écroulèrent quelque peu dans les bras l'un de l'autre, transpirant leur désir transcendé de tous leurs pores...
"Merci Corail..."
Murmura le jeune homme à l'oreille de sa douce.
Passant ses bras au dessus des épaules de sa belle, il la serra délicatement, sentant alors battre son coeur...

Fraust lui aussi était exténué. Rapporchant d'un bras SA Corail, il finit par poser sa tête contre son épaule, à fermer les yeux et à s'assoupir ainsi.
Nul ne sait combien de temps s'est écoulé de la sorte...

Puis le recteur se réveilla à nouveau. Cette fois-ci, on approchait des 8h45.
Il tourna instinctivement la tête vers la jeune fille, qui dormait toujours paisiblement, telle la belle au bois dormant... Un sourire naquit alors sur les lèvres de Fraust...
*Merci...*
Enfin il lui donna un petit baiser sur les lèvres...

Lorsque Corail se réveilla, Fraust eut un sourire, spontané et sincère. Cà pouvait avoir l'air d'un simple détail, mais en fait çà ne l'était pas.
"Avec toi je ne suis jamais déçu..."
Murmura le jeune homme dans le cou de sa belle... Avant de l'embrasser passionnément...
Mais les cours étaient sur le point de commencer, la matinée étant déja un peu entamée.
"Je vais devoir y aller... Le devoir m'appelle..."
Dit Fraust sur un ton très bas, presque comme un souffle. Il n'avait pas vraiment envie de partir, de quitter cette chambre et toute sa magie, encore moins de quitter Corail, mais sa fonction de recteur prévalait sur tout le reste...
Fraust se serra un peu plus contre Corail, sachant bien qu'il allait devoir se séparer d'elle un petit moment...

Fraust ria, amusé par l'attitude enfantine de Corail, elle était si mignonne quand elle agissait de la sorte!
Puis il vit qu'elle avait reportée son attention sur sa fameuse brûlure au bras... Cet éclair noir... Là, le recteur perdit son sourire, cette marque lui rappella de bien mauvais souvenir...
"On m'a marqué au fer rouge quand j'avais 8 ans... Comme un animal... Celui qui m'a fait çà est mort aujourd'hui... Je l'ai..."
Le garçon ne finit pas sa phrase. Rien que d'y repenser, il sentait de la colère monter en lui, et çà, il ne le fallait surtout pas, qu'il s'énerve...
Fraust se leva et enfila son caleçon ainsi que son pantalon.
"Désolé... Cà te dit qu'on se retrouve à la cafétéria pour le déjeuner?"
Demanda t-il en enfilant et boutonnant sa chemise.

Fraust était maintenant complêtement rhabillé. Il se tourna et alla en direction de Corail, assise sur le rebord de la fenêtre. Il passa délicatement ses bras autour de sa taille, se serrant contre elle, respirant son odeur...
"Je ne vais pas te laisser..."
Dit-il simplement, avant de déposer un sage baiser sur la nuque de sa belle.
Il la lâcha ensuite pour se diriger vers la porte. Une fois celle-ci ouverte, il se retourna pour dire:
"Ne tombes pas, je t'en voudrait!"
Il lui fit un dernier sourire puis quitta la pièce...