Salle de feu

Roland venait de se remettre de sa nuit précédente et se sentais tout en joie avec l'arrivé de sa ceinture et de ses brassards.
Pour les tester il enflamma ses bras puis fit de simple petite vague de flamme sur tout son corps. La cienture ne noircissais pas ni ne se détèriorait sous l'effet du feu.
Enfin une chose d'utile. se disait Roland.
Puis il s'entraina comme pour les grottes se maîtrisant un peu plus pour éviter les prb déjà enduré dans la grotte. Mais il se laisserai pas faire par la fatigue si cela se reproduisait. Puis il commença:
"Un simple petit brasier devrai me remettre en forme." se qu'il fit à grande vitesse plusieurs fois d'affilé.Et il s'élança dans la suite de son entrainement.

Roland savais qu'un pouvoir impliquais une responsabilité et celle-ci étais proportionnelle à la grandeur de la puissance. Mais il se remettais en question qu'est-ce que la puissance, à part les forces qui s'accompagne à la force de soi.
Il se motiva alors pensant à la protection de la faculté, il repensait a l'affaiblissement subit dans les grottes; il ne fallait pas qu'une telle chose se reproduise, il n'en était pas question, car le jours où il devra protéger un domaine ou des gens il faudra qu'il sache se préparer au pire, donc à se battre.
Alors la confiance qu'il eu après ces pensées grandirent, il semblais évoquer l'espoir par ses postures agiles et continues, en faisant quelques gestes il faisait sortir quelques jets de flammes, dont ceux ci semblait gagner en portée. Il ne sentais plus l'extrème chaleur de son corps, et apparement son gaz semblais s'échapper plus vite et plus simplement, après une heure d'acrobatie aucune marque de fatigue n'aparaissait ni sur son visage ni dans ses pensées, puis il se dit:
"Il est temps, prouve toi qui tu mérite ce pouvoir, prouve toi que tu vaut ceux qui t'entoure"
Puis ses pensées l'échapèrent:
"Il est temps qu'un nouveau reve s'installe, je défendrai de mon bouclier de pouvoir la faculté au prix de ma vie."
puis pronoça sa prière qu'il n'as fait désormais depuis une semaine il fixa alors aux travers les fenetrès du toit de la salle et se mit à genoux:


«Que chaque matin soit une passion

Que chaque midi soit une guérison

Que chaque soir soit un pardon

Ô dame nature aujourd’hui comprenez ma tristesse car elle est remplie
par la noirceur des volontés malveillantes

Ô dame nature comprenez mon pardon car je ne suis guère plus que chacun
foulant votre volonté

Ô dame nature de tout cela j’en tirerai une conclusion et en ferai
chaque jours un pardon

Ô dame nature voyez aujourd’hui avec quelle importance mes paroles
dictent ma volonté

Ô dame nature mon dernier souhait sera de vous servir et de m’excuser
pour chaque actes qui vous déshonorera

Et en votre honneur j’agirai… »
Puis il se releva prêt à accomplir sa destinée.

Il succeda ses entrainement redoublant d'effort sur chaque pensées qui lui dessinait le malêtre qu'il subit lors de sa sortit des grottes, il infligea aux murs de lourds chatiment sans pour autant qu'il ne montre aucun signe de faiblesse il continua ses enchainement et se dissipais parfois dans son brasier tentant d'enchainer des coups comme si quelqu'un survivrais à son halo de flammes intenses qui densaient autour de lui en suivant ses mouvements. Et puis il se stoppa et ses flammes abondants la salle cessèrent aussitôt et puis il se souvenut qu'il ne savait pas se battre et pourtant il faudrai savoir, et donc s'entrainer au poing, il se décida donc d'en parler au professeur en question bien qu'il ne sache même pas où se trouvait la salle des arts martiaux.
Il contempla quelques temps les murs qui semblaient intactes sans même aucune trace de rougeoimment, il continua ensuite à s'entrainer se fixant pour but de réussir à faire faiblir ne serais-ce qu'un petit peu l'apparence des murs.

Roland termina par des coups de flamme, qui consistai a créer des lance flammes qui continuait leur route hors de la portée de Roland. Il les fit parfois d'affiler et trés rapidement et ses halos de flammes ainsi formés pourrai bien, de part leur formes, figurés au milieu d'une parade de nuit. Cependant la beauté n'était pas le but de son entrainement il tenta diverse reprise pour tentais la meilleure façon de porter ses coups à une plus grande distance possible sans que l'éfficacité ne soit trop réduite, il réussit a franchir les 3 mêtre de portée avec son feu prolongé telle qu'il formait des flammes droites et longuements fines, avec son brasier il attint les 8 mêtres de rayon environ et de ses coups de flamme qui flotte parfois dans l'air avant de s'étteindre quelques instant aprés vole à 5 mètre de portée et de cela il en était fier mais serais-ce utile un jours. Quand il eut finit il enclencha le système dévacuation des fumées pendant quelques minutes l'arréta et sans alla d'un pieds détendut vers le lac pour se rafraichir un peu.