Un sujet en retard sur le temps

Tu te réveilla attaché à une table d'expérimentation, les pieds, les poignets, les épaules et la taille attacher solidement par des ceintures de cuire. Tu pouvais voir les deux scientifiques préparer un seringue ou alors écrire dans un dossier, ne t'accordant aucune attention. Tu pouvais voir aussi entrer l'homme que tu avait prit en 'autage' entré.

"Enfin réveillé Macome, on a presque commencé sans toi." Fit la femme d'un ton froid et détaché sans même le regarder. "Harison a déjà commencé à prendre des notes..."

Aussi, elle fini par s'approcher de toi, cette même lueur de méprit dans le regard que lorsque tu t'étais attaqué à Macome, elle agrippa solidement ton bras et y installa un gareau. Il faudrait attendre cinq minutes avant de pouvoir faire une prélévation sanguine. Aussi, elle fit signe à Macome d'approcher alors qu'elle te maintenait la bouche ouverte. Ce dernier se comptanta de gratter l'intérieur de ta joue avec un petit bâton. Puis, à nouveau, tout deux s'éloignèrent ne t'accordant aucune attention. Tu pouvais te débattre autant que tu le souhaitais, mais tu étais solidement attachés.

Harrison se mit à rire - en fait, ça ressemblait plus à un ricanement qu'autre chose - tout en approchant de toi. Il avait presque l'air démant, contrairement à la femme qui avait l'air plus offusqué qu'autre chose. Macome, lui, ne s'en souciait pas vraiment et observait ton bras avec instance, là où on t'avait fait une picure. Il fit signe à sa collègue d'approcher et lui murmura quelque chose à l'orreille, elle semblait voir en toi un peu plus d'intérrêt d'un coup...

"C'est qu'elle a du caractère." Sa voix était grinssante - contrastant fortement avec son apparence - et gardait toujours l'emprunte d'un ricanement. "Peut-être as-tu de l'avenir ici gamine."

"Hé Harrison! Vient donc un peu par-là au lieu de t'amuser avec le cobaye."

"Tu sais Tinkler, les résultas ne sont pas instantané."

"Ça serait dûr d'avoir des résultas si on a pas prélever la bonne chose."

Intéressé, le veillard se diriger de l'autre côté, là où se trouvait déjà les deux scientifiques dans la trentaine. Macome explica quelque chose, mais sa voix était trop basse pour que tu puisses l'entendre. Ce fut rapidement suivit d'un nouveau ricanement de la part d'Harrison. Tinkler vint de l'autre côté et affichait un visage déformé par un rictus. Décidément, le seul n'ayant pas l'air complètement démant ici était Macome...

"Dit moi gamine, tu me sembles avoir des capacités intéressentes. Devant toi, il y a ta seule chance d'avoir de l'avenir ici, et comme j'ai lu que tu étais venu de ta personne, tu dois chercher se genre d'occasion je me trompe?" Tinkler laissa échaper un ricanement à son tour et continua avant même te laisser le temps de répondre moindrement. "Alors dit-moi, quelle est exactement cette 'capacité'?"

gamine


Quesqu'il ont avec ce mot, elle était jeune mis elle n'avait pas 3 ans elle prit un ton de reproche:

Déjà arrêter de m'appeler gamine il n'y a rien de pire pour m'énerver!

Ce point la éclairci elle était contente qu'il porte enfin attention aux sujet principal le reste importer peut, son pouvoirs elle ne savait pas exactement comme il se déclenchait mais elle savait à quoi il servait. Puis qu'ils posaient la question elle allait en reposer une autre juste après:

Vous voulez pas cent balles et un café tant que vous y étés ?

Bon, mon pourvoir retarde l'apparition des blessures sur moi et le personne ou objet que je touche en même temps.
Maintenant si c'est finis j'armerais travailler.

ils commencait à l'énerver avec ces question autant se taire pour ne pas passer pour des blaireaux.

Semblant satisfaite, Tinkler se dirigea vers le fond de la pièce, là où se trouvait un contoir, accompagné de Harrison. Seul Macome resta près de toi alors que les deux autres parlaient entre-eux. Si tu décidais de leur prêter attention, tu pouvais les entendre parler de transplantation... ou alors d'utilité d'ordre militaire... et d'autre chose dans le genre. Puis, avant que tu ne puisse entendre ce qu'ils manigançaient, Macome t'adressa la parole.

"Tu ne croyais pas vraiment qu'on engageait n'importe qui n'importe comment ici? Les seuls gens qui sont engagés de manière... 'formel' ici, sont les scientifiques et vue la manière dont tu es arrivé, il serait étonnant que ce soit ton cas." Ça voix était froide et on ne pouvait absolument rien disserner dans son regard et sur ses traits. "Donc à moins que tu ne te décide à être un peu plus coopératrice, ton avenir est restrint à ça."

D'un signe de main, il présenta la table d'expérimentation. Bien sûr, il avait une toute autre idée en tête. Tu avais du caractère ce qui pouvait s'avèrer utile, il fallait simplement apprendre à le placer comme il le fallait. En d'autre terme, te modeler pour faire de toi un future membre des défences de la place. Mais ça, ce n'était pas à eux de s'en soucier, pour l'instant, tu étais leur cobaye.

Bref, Tinkler revint vers toi, le visage enfin dénuer de traces démenciels.

"Bien, avant que tu ne quittes cette endroit, sache que nous reviendrons te voir. Mais bien sûr, il y a bien un détail que tu es en droit de savoir. À 11h30, tout les jours, les portes des cellules s'ouvrent, laissant sortir les cobayes le temps d'une heure. Tu en profiteras pour aller manger ou alors refaire ta toilette et pourquoi pas, socialiser un peu je ne sais pas moi. Pour sortir, tu n'as qu'a suivire le reste des cobayes, tu t'habituras aux couloirs."

Elle commença à te détacher de la table tout en t'observant attentivement, s'assurant ainsi de pouvoir te retenir et te réendormir au moindre mouvement brusque. Bref, une fois que tu fut debout, les trois scientifiques refirent le chemin inverse, sans te prèter le moindre attention; bien que tu pouvais peut-être avoir l'impression que Macome t'observait... Enfin bref, tu finis dans ta cellule...

Citation :

"Bien, avant que tu ne quittes cette endroit, sache que nous reviendrons te voir. Mais bien sûr, il y a bien un détail que tu es en droit de savoir. À 11h30, tout les jours, les portes des cellules s'ouvrent, laissant sortir les cobayes le temps d'une heure. Tu en profiteras pour aller manger ou alors refaire ta toilette et pourquoi pas, socialiser un peu je ne sais pas moi. Pour sortir, tu n'as qu'a suivre le reste des cobayes, tu tablaturas aux couloirs."

Bon il y avait un moyen de se tirer de ces satanée cellules, bon tant qu'elle serait cobaye elle ne pourrait rien faire, elle pourrait accélérer le processus se avec l'homme qui rester prés d'elle ce serait très simple de le voir à art il semblait tout disposé quand il était prés d'elle et les autres assez loin elle murmura.

Trouve un prétexte pour me voir sans les autres.

Elle termina cette phrase avec un léger clin d'oeil, quand elle fut dans le couloirs elle resta très poche de l'homme et lui prit discrètement la main quelques seconde en espérant que l'homme lisait sur les leves:

Ne soit pas trop long.