[GC de Miami]

Invité

Félix avait pris sa décision il quittait la faculté des mutants, bien qu’il éprouvait encore des sentiments pour Alex, il avait réalisé que dans cette endroit lui faisait éprouver des sentiments importants, il était devenu beaucoup vulnérable et beaucoup plus dépendant du jugement des autres. Il devait s’en aller pour se débarrasser de cette manie qui l’avait de s’apitoyer sur son sort a chaque fois que quelqu’un le rejetait, ou qu’on lui fasse un reproche, il voulait désormais pouvoir arriver a subir le jugement des autres sans que lui-même soit affecté, mais sa priorité pour le moment était de pouvoir arriver a contrôler son pouvoir.

Pour toutes ses raisons il avait choisit de rejoindre la GC, là-bas il n’aurait plus de problème a savoir si oui ou non on n’allait l’aimer, il n’aurait plus a savoir si on l’aimerait ou non, il ferait son boulot et ça n’ira pas plus loin. En plus l’intégration au sein de la Génétic Corporation, pourrait lui donner plus de puissance, plus de force, il s’aurait enfin contrôler son pouvoir mais en plus être membre de la Génétic Corporation en plus d’être l’héritier de l’empire Gastronomique de sa famille, lui assurait sans aucun doute une puissance économique et politique importante sans compter qu’il aidait encore de temps en temps la mafia a écouler ses stocks.

Avec les nouvelles capacités qu’il allait acquérir ça serait enfin finit l’explosion des objets sans le vouloir, il pourrait de nouveau embrasser des filles, il allait devenir un homme pour qui tout sera possible, rien au monde ne pourra lui résister, au final tous ceux qui l’ont abandonné, tous ceux qui l’avaient critiqué, tous ses salauds qui ne voyait en lui qu’un homme inerte et bon a rien pourrait enfin admirer la puissance qu’il pouvait avoir.

Il fallait simplement savoir où s’adresser pour pouvoir intégrer la Génétic Corporation, pour un simple humain ou un simple mutant banal ça aurait été quelque chose d’atrocement compliqué mais lui était Félix Paris. Grace à son prestige en tant que cuisinier il s’était vu ouvrir des portes d’accès en échange de quelques billets, il s’était ainsi rendue a Miami, un centre de la multinationale semblait s’y trouver, espérant simplement avoir fait le bon choix il finit par trouver le centre de la Gentic Corporation et y entra, il alla directement voir a l’accueil du centre de la multinationale.

-Bonjour je viens pour une offre d’embauche importante

Arbitre Nombre de messages : 368 Date d'inscription : 21/11/2006

Une jeune demoiselle, que son badge nommait "Linda Ashton", te présenta un sourire de bienvenue. Cette secrétaire était une blonde pulpeuse aux yeux verts émeraude. Elle tapota sur son ordinateur, puis te demanda:

"Avez-vous rendez-vous avec un membre de la direction, monsieur?"

Invité

Première obstacle a se présenter devant lui une jeune secrétaire qui lui demanda si il avait un rendez vous avec l'un des membres de la direction, c'était embêtant il ne pouvait pas entre dans la Genetic Corporation si il n'arrivait pas a voir le directeur des lieux, il fallait donc convaincre la jeune Linda Ashton de téléphoner directement au directeur de la GC de Miami, toutes sortes d'arguments lui venait maintenant en tête, alors puisqu'il tenait absolument a voir le directeur, il glissa donc directement un billet entre les deux jumeaux de la secrétaire et lui dit:

-Vous appelez le directeur, vous lui dites simplement qu'un mutant de la faculté de Fraust voudrait travailler pour lui, que si j'ai pas un rendez vous vous allez mourir et que je m'arrangerai en plus pour que la société est quelque ennuis, et que pour moi il est très facile de faire ça.

Félix n'aimait pas vraiment menacer les jolies demoiselles mais la il n'avait vraiment pas le choix enfin il n'étais pas allez jusqu'à sortir un couteau pour ce coup-ci, il sourit alors de la même manière que lui avait sourit Zira Mai lors de l'entrainement, attendant impatiemment que la secrétaire ce décide.

Arbitre Nombre de messages : 368 Date d'inscription : 21/11/2006

La secrétaire rougit d'un coup, et décrocha son téléphone, en ôtant le billet et le reposant sur le comptoir, face à toi.

"Oui, est-ce que monsieur Steven pourrait descendre s'il vous plaît? Dites lui que c'est pour un SL-2 à l'accueil. Merci."

Elle raccrocha, en gardant son calme. Elle semblait parfaitement détendue. Elle te répondit:

"Une personne de la direction va venir vous voir, veuillez patienter s'il vous plaît."

Invité

Maxwell se dirigea vers l'entré, suivit de deux membres de la Red Division. Sur son visage se lisait l'ennuit et le mécontentement; il détestait se faire déranger pour des balivernes. Mais bon, c'était là son travail et ce travail lui permettait d'occuper un poste de puissance et soumit à très peu de supérieur au sein de la Genetics Corporation, donc, il ne se plaignait pas. Le mutant dans la vingtaine avait déjà la main sur son arme alors qu'il sortait non chalemment de l'ascenseur arrivant à l'entré.

"C'est ça ton cas SL-2?" fit le mutant à l'adresse de la secrétaire en regardant l'être en face du comptoir comme s'il ne s'agissait qu'un d'un vulguaire pion sur un jeu d'échec où il serait le roi.

Quant à lui, l'être devant le comptoir n'avait rien d'un mutant dangereux. Ça devait être encore un de ces types qui se croyaient supérieurs à cause de leur statu de mutant. Bien que ce genre d'être n'avaient pas tors lorsqu'ils se comparaient à un humain, il était certain qu'il ne faisait pas le poid contre le Général de la Red Division. Aussi, ce dernier fit signe aux deux membres de sa division de passer à l'action.

L'un d'eux avait en sa possetion un fusil chargé de balles qui regèteraient un poison ayant pour effet de neutraliser les pouvoirs du mutant pendant vingt-quatre heure tout ou plus s'il refusait de coopérer. Le second avait avec lui un simple colier neutralisateur ainsi que deux dagues bien affiné. Le fusil de Maxwell était chargé, mais il ne l'utiliserait que si c'était nécessaire et ne viserait pas les points vitaux de du mutant. Il ne fallait pas tuer le cobaye tout de même, il avait une réputation à tenir!

Invité

La jeune demoiselle blonde lui avait simplement dit qu'un responsable allait venir le chercher, et s'occuper de lui, peu de temps plus tard finalement un type arriva, accompagner de deux hommes visiblement il pouvait pas s'occuper d'un mutant a lui tout seul, puisque il était accompagner de deux gardes du corps.

L'un avait un pistolet chelou et l'autre Félix n'arrivait pas a déterminer ce qu'il possédait, le cuisinier se doutait que cela servait a maintenir, celui qui semblait être le chef avait une coupe de cheveux particulièrement ridicule, il semblait avoir pour ordre de retenir le mutant si celui-ci faisait mine de résister ou s'enfuir. A ce moment Félix comprit qu'il ne pouvait plus faire marche arrière, il mit les mains sur la tête pour montrer qu'il ne comptait se servir d'aucune arme et avança vers le chef de la Red division, il s'inclina et déclara:

- Je suis Félix Paris mutant depuis pas très longtemps, je suis venu de mon propre chef afin de pouvoir bénéficier des améliorations que la Genetic Coporation pouvait m'apporter, en remercîment j'obéirai aux ordres de l'entreprise afin de capturer de nouveaux mutants, je suis également près a donner des informations sur la faculté de Fraust ainsi que les mutants que j'y ai rencontré là-bas, je pense que ça doit vous intéressé vu ce qu'ils ont fait a Londres, bien que je ne soit pas en position de force je ne suis pas un de ces débiles profonds qui fonce dans le tas n'importe comment je réfléchis avant d'agir.

Alors Monsieur Maxwell que décidez vous donc c'est vous le chef ?

Félix espérait que le général avait compris que Félix n'était pas vraiment un simple d'esprit, il réfléchissait a une situation de combat il lui serait facile de se débarrasser des deux gardes mais le chef c'était une autre histoire, il espérait quand même que le chef de la Red division avait réalisé qu'il avait appris son nom ce qui avait été facile grâce a la secrétaire mais que tout les mutants n'y auraient pas fait attention.

Invité

Le voilà qui mettait ses mains sur la tête et qui entamait de lui précisé qu'il pourrait être utile. Mais rien ne prouvait qu'il disait vrai et tout comme rien ne prouvait qu'il mentait. Maintenant restait à savoir si oui ou non l'envoyer voir le big boss était brillant. Déjà que ce dernier aimait autant que lui être déranger pour des points d'importance moindre, le déranger pour un type qui risquait fort bien de finir cobaye n'était pas très brillant. Déjà qu'il avait été en contact avec les deux rescapés de l'attaque de Londres qui étaient maintenant cobaye, lui en faire voir un autre serait idiot; peut-être même suicidaire. Quoiqu'il était impossible de nier que Maxwell aimait bien se rendre dans ce bureau, sachant très bien que le fait qu'il soit mutant incomodait le big boss, mais bon, ça, c'était un autre point.

Il décida de lui passer d'abord et avant tout le neutralisateur de pouvoir, ainsi, les deux membres de sa division pourraient partir. Il fit donc signe au membre armé de dagues de passer le colier à ce Paris avant de leur faire signe de dégager pendant qu'il avançait vers l'être venant d'arriver. Il avait prit sa décision, l'envoyer en cellule puis d'informer le big boss de la situation. Après tout, le grand patron était assez grand pour décider lui-même s'il voulait le rencontrer et si oui ou non il méritait sa chance. Car ça, ce n'était pas son dommaine; lui, il ne faisait que s'occupé d'appliquer les codes de sécurité, les missions et de repèrer les nouveaux membres de la Red Division.

"Bon, aller suit-moi sans faire d'histoire."

Maxwell fit descendre l'ascenseur jusqu'au rez-de-chaussée. On entendit un 'ping' sonord juste avant l'ouverture des portes. Le général posa une main sur le rebord de la porte pour qu'elle ne se referme pas et attendit l'entré de Paris.

Invité

Visiblement le mutant réfléchissait a savoir de ce qu’il allait faire ou non de Félix au final ce dernier se vit mettre un collier pourqu'il ne puisse plus utiliser ses pouvoirs, enfin de compte les deux hommes partirent et le mal coiffé appela un ascenseur, Félix ne savait pas vraiment où il allait se retrouver, ni ce que le mec comptait faire de lui, si ça se trouve Félix allait être enfermé quelque part ou alors on n’allait le conduire auprès de quelqu’un de plus compétant qui allait décider que faire de lui ça se présentait plutôt mal enfin heureusement il avait toujours tout son arsenal dans on manteau notamment ses deux hachoirs il était étonné que Maxwell ne l'ai pas fouillé afin de luiretirer tout son arsenal.

-Monsieur Maxwell puis je savoir ce que vous compter faire de moi ?

Il avait prononcé ses mots en entrant dans l’ascenseur alors que celui-ci commençait a bouger, Félix espérait qu’il aurait une réponse au sujet de qu’es ce qu’on allait faire de lui, ainsi que de l’endroit où il allait se retrouver, Félix au manière d’agir de l’homme mal coiffé il avait compris que c’était qu’un lourdaud qui agissait, et qu’il ne pouvait rien faire de son propre chef.

Invité

Le mutant se décida enfin à venir, ce n'était pas trop tôt. On voyait clairement que la tâche ennuyait Maxwell au plus haut point. Dire que c'était sensé être un SL-2! Si ça en aurait vraiment été un, il aurait du avoir à lever son arme - ou au moins l'un des membres de sa division qui l'accompagnait aurait eu à le faire. Mais non, il ne s'agissait que d'un type qui ne posait aucune résistance qu'un gardien de sécurité aurait très bien pu conduire en cellule de lui-même. Ce que les humains pouvaient être trouillard parfois...

Le général retira sa main de la porte et appuya sur le bouton pour refermer les portes. Il entra le code de sécurité à l'endroit prévu et fit descendre la cage d'ascenseur au sous-sol, là où se trouvait les cellules, communément appelé 'cage' par certains cobayes. Ce n'était pas Maxwell qui allait contre-dire cette appelation, mais il ne s'intéressait pas lemoindrement aux cobayes qui nommait cette endroit de la sorte. La plus part d'entre eux ne faisait pas le moindre effort pour remédier à leur situation en intégrant une division, ils étaient donc complètement innutile à l'avis du général.

-Monsieur Maxwell puis je savoir ce que vous compter faire de moi ?

Comme si il allait répondre à ça. Ce type lui faisait perdre son temps royalement en plus de l'ennuyer au plus haut point! Avoir su qu'il s'agissait encore d'une fausse alerte, il aurait prit avec lui la fiolle de vodka qu'il buvait avant l'alerte! Mais non, il était là, dans un ascenseur incroyablement lent en compagnie d'un mutant qui se mettait à poser des questions! C'était le comble, voilà une autre soirée gâché. Innutile de préciser que Maxwell ne répondit pas alors qu'il s'appuya contre le mur du petit espace restrin.

Un 'ping' sonord se fit entendre alors que la porte s'ouvrait. On pouvait voir un long couloir très mal éclairé démuni de toute fenêtre. Il n'y avait que des cellules de cobaye où un espace réservé au numéro de la cellule et au nom de l'occupant était placé sous une minuscule fenêtre juste assez grande pour permettre la vision des cobayes dans leur cellule. De temps à autre, on entendait les cobayes parler, demandant de sortir ou alors essayant au mieux de parler à l'être dans la cellule voisine ou alors d'en face. C'était un spectacle assez pathétique et difficile pour un être au coeur sensible.

Avant de sortir de l'ascenseur, Maxwell posa la main sur le rebord de la porte pour éviter qu'elle ne se referme. L'autre main prète à saisir son fusil en cas de besoin, il tourna la tête un instant vers le gardin de sécurité qui se trouvait à côté de l'entré du couloir.

"Hé! J'ai du travail pour toi!" fit le général à l'adress du gardin de sécurité en montrant de la tête le mutant dans l'ascenseur. "Toi, ne fait pas le moindre mouvement brusque le temps de la fouille."

Au premier mouvement brusque où suspect, Maxwell lui envoirait une balle. Qu'importe ce qu'il allait faire, il s'agissait d'un SL-2 et le général avait la permission de tirer sur l'individu faisant l'objet de l'alerte, il n'allait tout de même pas se priver d'utiliser la métode d'immobilisation la plus efficace tout de même?

Invité

Visiblement ce salopard de Maxwell ne voulait pas lui répondre il devait se sentir supérieur puisqu'il était chargé de la sécurité des lieux, aucun doute ce Maxwell était vraiment quelqu'un de très pénible mais bon il allait bien falloir faire tout ça si il voulait pouvoir intégrer efficacement la GC, le type mal coiffé resta sans bouger a attendre que l'ascenseur soit enfin en bas, le cuisinier n'avait pas voulut attaquer le superviseur il ne connaissait pas sa puissance, ça allait devenir ennuyeux il aurait peut être du rester a la faculté.

Quand l'ascenseur ouvrit Félix découvrit un long couloir, l'éclairage était plutôt sombre le jeune homme pensa alors savoir où il se trouvait dans une salle de torture, il en avait déjà vu quand il faisait partie de la Mafia, il avait même déjà vu des gens se faire torturé, ainsi que les différents supplices qu'on pouvait leur faire subir, quand soudain le mutant au pouvoir cinétique entendit une voix qui demandait a sortir, là il comprit que c'était simplement des cellules, cela le fit sourire, peut être que maxwell s'en apercevrait.

Maxwell désigna un gardien qui allait s'occuper de le fouiller sous l'œil attentif du responsable de la sécurité, qui semblait montrer des signes de nervosité, s'était plutôt normal vu la situation par contre ça allait etre vraiment pénible d'etre fouillé entre ces hachoirs, ses couteaux de lancer, ses shurikens, son lance pierres, ses billes.

-Ouais, ouais je sais

Félix se laissa tranquillement fouillé, en temps normal il aurait rien dit mais Maxwell le faisait tellement chier qu'il n'avait pas put s'empêcher de lui montrer que lui aussi pouvait devenir méprisant si il le voulait, si le chef de la sécurité voulait se battre ça lui posait pas de problème même si leurs niveaux n'étaient pas identiques enfin théoriquement il n'allait rien se passer et l allait tout simplement mettre Félix en cellule

Invité

Le gardien de sécurité s'occupait de son travail sous le regard impacien du général. C'était pénible à la longue! Enfin... jusqu'à ce qu'il sorte des hachoirs, des couteaux, des shurikens, un lance pierres et des billes des poches du mutant. Pas mal intéressent comme arcenal, mais quel idiot il faisait ce Paris! Il avait tout ça en sa possession, les mains libres et plusieurs moment d'attaquer et il n'avait même pas tenté le coup! Deux possibilités, soit il désirait vraiment venir en aide à la GC, soit il était tout aussi trouillard qu'un humain face à un mutant. Mais enfin bref, là n'était pas la question car ça, il n'en avait rien à faire; ce type ne lui serait d'occune utilité. Mais bon, peut-être serait-ce différent pour le big boss, qui pouvait le savoir?

Enfin, l'agent fit signe à son supérieur qu'il avait terminé en rangeant ce que possèdait Paris dans un coffret avant d'aller le porter à l'armurerie lorsque quelqu'un d'autre viendrait prendre ça place. Maxwell fit alors signe à Paris de sortir. Une fois ceci fait, il laissa se refermer la porte de l'ascenseur.

"Suit-moi."

Il serpenta dans les couloirs sombres jusqu'à arrivé à une cellule ne portant pas dutout de numéro, simplement un espace vide surmonté d'une fenêtre. L'intérieur était comme toute autre. Fait complètement de béton, petit et carré, un lit trop dur et minuscule lavabo avec un miroir à son sommet sur le mur d'en face. Cette cellule-là n'avait pas de fenêtre. Il fit signe à Paris d'entrer.

"Quelqu'un passera possiblement te voir demain si ton cas est intéressant."

Invité

Comme il s'y attendait la fouille fut longue, c'était super chiant en plus la garde était con il avait oublié les aiguilles scotchés dans le dos du mutant qui gardait toujours des atouts au cas ou ça irait mal, visiblement le petit Maxwell comprenait pas pourquoi le mutant n'avait pas attaqué mais, rien ne pressait il avait intérêt a faire gaffe a ces arrières, une fois que la fouille super longue fut finit le cuisinier fut conduit dans une cellule.

"Quelqu'un passera possiblement te voir demain si ton cas est intéressant."

Il espérait bien que quelqu'un allait passer il ne comptait pas croupir ici tout ce temps, avec un peu de chance il aurait un retour au pire, c'était pas une séquestration qui allait le tuer loin de là, c'était pas la première fois qu'il était isolé ainsi, d'ailleurs il avait plutôt vécu sa vie dans sa solitude que avec des gens, l'européen regarda sa cellule il avait un lit, un lavabo et même une glace pour une cellule c'était plutôt pas mal, il pensait que il n'aurait pas droit au lavabo et encore moins au miroir, par contre les voix des autres mutants qui se faisaient entendre de temps en temps, c'était si pitoyable et dérangeant il pouvait se la fermer non.

Félix s'allongea sur son lit, il était loin d'être moelleux mais quand il se souvenait des séances de torture auquel il avait assisté certains avaient passé leur nuit a être quelques secondes la tête dans une bassine ensuite on remonte, et ensuite on le remet dedans. C'était d'ailleurs une des meilleurs méthodes pour tirer des infos fiables, même si la méthode était peu orthodoxe, ensuite il avait finalement rencontré Alex, ha Alex, pour elle, il avait été prêt a tout abandonner mais finalement même si c'était la meilleur chose qui lui était arrivé de rencontré Alex, ça avait été aussi la pire, Félix commença a dormir alors qu'il pensait encore a son ex secrétaire.

Arbitre Nombre de messages : 368 Date d'inscription : 21/11/2006

3h15 du matin...

Tu es réveillé par les gardes qui tambourrinent sur les barreaux de ta cellule. L'un ouvre, puis ce soit deux gardes armés de matraques électriques et de pistolets à seringues hypodermiques.

Un homme arrive alors, en blouse blanche et portant une malette. La cinquantaine, le crâne dégarni, des lunettes et un rictus sinistre en guise de sourire.

Les gardes attrapent une chaise et te font asseoir dessus de force, puis ils t'y attachent solidement. Le scientifique prends une chaise et s'asseoit en face de toi, sa malette sur ses genoux.

"Monsieur Paris, bonsoir. Excusez l'heure tardive de ma visite, mais des études ont montrés que les sujets sont plus réceptifs une fois tirés de leur sommeil. Je me nomme Edward Sylberstein, surnommé "the butcher", ce qui veut dire le boucher. J'exerce ici les fonctions de psychiatre, psychanalyste et accessoirement tortionnaire."

L'homme ouvre sa malette et la tourne vers toi. Dedans, une quatorazine d'outils de torture de toutes sortes, des pinces, des aiguilles, des seringues, et des larmes diverses... Son rictus s'agrandit.

"Il est très rare, monsieur Paris, que des Mutants se présentent spontanément pour être... "Embauchés" ici, vous savez. Dans votre cas, j'aimerai savoir... Seriez-vous téméraire outre-mesure, suicidaire ou complêtement abruti?"

Le début des "tests" commençaient...

Invité

Avant qu'il ne puisse demander quoi que ce soit ou faire quoi que ce soit le voila qui se retrouvait avec deux gardes qui le collait sur une chaise et l'attachait le professeur s'assis en face de lui et finit par se présenter.

"Monsieur Paris, bonsoir. Excusez l'heure tardive de ma visite, mais des études ont montrés que les sujets sont plus réceptifs une fois tirés de leur sommeil. Je me nomme Edward Sylberstein, surnommé "the butcher", ce qui veut dire le boucher. J'exerce ici les fonctions de psychiatre, psychanalyste et accessoirement tortionnaire."

Ouais en gros c'était un espèce de psychopathe qui devait s'occuper de questionner Félix pour voir ce qu'il était ce qu'il pensait et ce qu'il valait au yeux de la multi nationale, ça allait encore être un moment de galère super chiant en plus ça risquait d'être super pénible et super galère. Après l'ouverture de la mallette Félix se demandait ce que ce boucher voulait lui faire après tout il était grand et vacciné, il existait pas de sérums de vérité alors a quoi bon tout ce matériel médical.

"Il est très rare, monsieur Paris, que des Mutants se présentent spontanément pour être... "Embauchés" ici, vous savez. Dans votre cas, j'aimerai savoir... Seriez-vous téméraire outre-mesure, suicidaire ou complètement abruti?"

Alors ça c'était quelque chose de marrant Félix ne put s'en empêcher il se mit a rire c'était vraiment trop fort, qu'un mec de la GC lui dise ça, une fois Félix calmé ce dernier déclara:

-Cher Edward, je me suis bien rendu de mon propre chef pour être embauché ici, téméraire et suicidaire ça reviendrai a la même chose ici, un abruti peut être mais on peut pas dire qua la bêtise soit motivante, je pense Edward que si j'avais envie de venir c'est pour deux raisons. En un que je puisse enfin avoir ce putain de pouvoir qui se stabilise complètement j'en avais marre d'attendre a la faculté je voulais des résultats immédiats et ça la GC peux me l'apporter et en deux je veux enfin pouvoir me sentir puissant, je veux que ces petites larves d'élèves de la GC qui sont arrogants puisse chier dans leur froc dès qu'ils me verront.

Dans ces dernières paroles il n'avait pu s'empêcher de penser a Matteo ce mutant dont il ne connaissait meme pas le pouvoir qui avait traité si injustement le cuisinier, il avait même eu envie de le frapper oui ça Félix l'avait vu dans son regard, l'européen pourrait enfin connaître la puissance et la force qui lui servirai a montrer de quel manière il pouvait être puissant.

Arbitre Nombre de messages : 368 Date d'inscription : 21/11/2006

Alors que tu riais, le professeur demanda à l'un des gardes de rapprocher de lui une table qui se trouvait non loin. Le professeur y posa sa malette, avant de reporter son attention sur toi et sur tes réponses.

"Huhuhu... Vous vous croyez à la maison du bon dieu, ici? Vous croyez pouvoir venir et réclamer qu'on s'occupe de vous d'un claquement de doigt? Vous avez tout faux, monsieur Paris."

Le professeur se leva, puis fit quelque pas dans la pièce...

"Vous tombez vraiment au mauvais endroit, monsieur Paris. Comment voulez vous que l'on vous croit capable de loyauté, puisque vous avez déjà trahis Fraust et les autres mutants "libres" ? Qui nous dit que vous serez loyal à la GC, quelles garanties avons-nous?"

Invité

Oh visiblement la réponse ne satisfaisais pas le petit docteur, Félix devait paraître un peu prétentieux en ayant des buts pour aller a la GC, mais maintenant qu'il était la autant continuer jusqu'au bout

"Quel importance maintenant que je suis ici cher docteur il en me reste plus qu'a faire ce qu'on me demande si je ne veux pas avoir un fin prématuré ce qui serait fâcheux"

Le professeur fit quelques pas et finit par déclarer

"Vous tombez vraiment au mauvais endroit, monsieur Paris. Comment voulez vous que l'on vous croit capable de loyauté, puisque vous avez déjà trahis Fraust et les autres mutants "libres" ? Qui nous dit que vous serez loyal à la GC, quelles garanties avons-nous?"

-C'est vrai que on aurait put confondre cette endroit avec le pays des merveilles. Pourquoi je vous trahirai pas vous alors que j'ai trahit Fraust, au cas ou vous seriez pas au courant je suis Félix Paris si vous avez fait quelques recherches, vous devez savoir que mes parents dirigent un empire gastronomique s'étalant sur la totalité du globe, et bien qui peux nuire a ces affaires entre la GC et les mutants libres de Fraust, en plus ces mutants la sont des proies de la GC.

Si vous trouvez pas ça suffisant c'est dommage car je peux rien vous donnez de plus, enfin a part si vous me mettez une bombe dans le crane.

Le jeune mutant s'était exprimé avec sincérité il n'était plus vraiment maitre de son destin alors il attendait de voir ce que la roulette de l'avenir allait lui accorder comme futur

Arbitre Nombre de messages : 368 Date d'inscription : 21/11/2006

Le rictus du professeur s'agrandit, il se retourna vers toi.

"Mauvaise réponse..."

Il se rapprocha de la table où était posée sa malette, et parcourut des doigts quelques instruments...

"En entrant ici, vous avez renoncé à tout ce que vous aviez. Demain, vous n'aurez plus d'amis, plus de famille, plus rien. Non, en fait, dès le moment où vous êtes entré ici, vous avez renoncé à être ce que vous êtes. Vous n'êtes rien, tout simplement. Et sachez que vous ne représentez rien pour la G.C., absolument rien."

L'homme sortit de la malette 4 aiguilles en bois, ave à une de leur extrémité, une petite capsule rouge. Il les contempla avec malice, puis revint s'assoeir devant toi, ses trouvailles entre les mains.

"Vous êtes un peu trop orgueilleux, monsieur Paris. D'ailleurs, pourquoi vous et-ce que je vous appelle ainsi... Monsieur E652-MOL... L'orgueil n'est pas une qualité à avoir ici... Ecrasez-vous donc... Vous n'avez aucun poids, aucune influence ici, vous n'êtes qu'un sujet... Si vous voulez qu'on vous porte plus d'estime, il y a du travail..."

D'un coup d'un seul, le professeur Sylberstein te planta dans l'avant-bras droit une des aiguilles...

"Ces petites aiguilles sont merveilleuses... C'est les amérindiens d'amazonie qui fabriquent çà pour leurs sarbacanes... La petite poche ici, contient un poison neurotoxique particulièrement désagréable. Une fléchette suffit à tuer un petit animal en quelques secondes. Chez les humains, une flèche dans le cerveau à le même effet. Son action dans le sang est plus lente, et ô combien plus pénible... Bientôt, vous allez sentir une bien désagréable sensation de brûlure dans tout le bras... Disons... 10 minutes... J'espères que vos prochaines réponses seront plus satisfaisantes, çà m'éviterai de gaspiller d'autres aiguilles..."

Le prof' sortit un petit papier de sa poche, et questionna:

"Où se trouve la Faculté?"

Invité

Ha visiblement cette affreux docteur complètement tarer n'était pas satisfait de sa réponse il voulait que Félix abandonne tous pourtant toutes ses données sur la faculté tout l'argent qu'il possède ainsi que tous es souvenirs bah lui Félix Paris n'en avait pas vraiment envie, avant qu'il se mette a sortir des aiguilles avec un air de fou, cette espèce de malade voulait le faire souffrir pour avoir des réponses une sensation de brulure commença a parcourir tout son bras, même si cela n'était rien pour lui avec ce qu'il avait souffert lorsque les objets lui explosaient dans les mains, il fallut qu'il fasse semblant d'avoir mal pour que ses réponses paraissent sincère

-Argh espèce de salaud, arrêtez ça merde ça va je vais vous le dire il faut aller a Djakarta se rendre contre la baie et demander a un homme de vous conduire lui seul connaît l'exact emplacement avec le directeur de la faculté.

Félix paraissait essoufflé, il aurait bien craché sur le professeur mis il se retient qui sais que cet enfoiré avait encore prévu comme plan.

Arbitre Nombre de messages : 368 Date d'inscription : 21/11/2006

Le professeur considéra un instant ta réponse, avant de conclure.

"Ni faux ni juste... Les membres des escadrons G.C. de Londres connaissent parfaitement la position de cette île, info que nous avons aussi ici. Vous vous en tirez pas trop mal..."

Pan... Deuxième aiguille, dans le bras droit toujours. Le prof regarda à nouveau son papier, et le rangea dans sa poche.

"Voyons... Je vous donne 1 minute pour me vendre 3 Mutants de la Faculté. Soyez précis: noms, ages, nationalités, pouvoirs, faiblesses... Top chrono..."

Le Boucher attendait avec une nouvelle feuille de papier, prêt à prendre des notes...

Invité

Super il le savait c'était donc un test pour savoir si il était prêt a être sincère face au boucher, que es ce que c'était chiant et ce fut encore plus chiant quand il sentit une aiguille lui traverser le bras, il avait une minute pour citer 3 mutant avec leurs noms leurs âges leurs nationalités leurs pouvoirs, et leurs faiblesses, Félix commença donc a toute vitesse

-Zira Maï 17 ans, Américaine pouvoir faire apparaitre des lianes, faiblesses elle n'arrive pas a utiliser son pouvoir si elle est la cible d'une attaque multiple

il passa au deuxième

- John Maricachi, 27 pouvoir d'influer sur les sons faiblesse si vous vous bouchez les oreilles il ne peut rien sur vous

Il passa enfin au dernier

-Boris Zanov, 24 ans ancien cobaye de la GC a présent il est russe pouvoir organique tigre, faible en combat a distance

Félix avait lancé sa dans un souffle il avait du mal a prendre sa respiration désormais, il ésprait avoir remplit le délai d'une minute.

Arbitre Nombre de messages : 368 Date d'inscription : 21/11/2006

"Très bien, très bien..."

Nota le professeur Sylberstein en grattant son stylo sur sa feuille, toutes ces informations. Finallement, peut-être que ce ne serait pas nécéssaire de lui laver le cerveau, à celui là. Quoique, si çà pouvait lui mettre du plomb dans la cervelle...

"Monsieur Ross, voulez-vous bien aller chercher notre nouvelle amie, je vous prie?"

Demanda l'homme à l'un des gardes, qui sortit de la cellule... Sylberstein demanda à l'autre de détacher Félix et de lui enlever les aiguilles qu'il avait au bras. Mais ce n'était pas fini.

Le garde sortit quelques instants plus tôt revint avec une jeune fille, aux mains liées derrière le dos, qu'il poussa sans ménagement dans la cellule.

"Monsieur E652-MOL, je vous présente mademoiselle Ann Stuart. Elle a 16 ans, et c'est une mutante. Il s'avère qu'elle appartient à un groupe de mutants, et elle refuse de livrer ses congénaires. Pauvre jeune fille, regardez moi ce visage angélique... Cà a de la puissance, mais refuserait de faire du mal à une mouche..."

La jeune fille semblait en effet terrorisée, elle se réfugia dans un coin de la pièce...

"Voulez-vous bien, monsieur E652-MOL, faire dire à cette demoiselle le nom de ses complices, et la position de leur repaire? Sans vos pouvoirs, bien entendu, çà ne serait pas drôle sinon..."

Un rictus sadique prit place sur les lèvres de Sylberstein, qui se recula un peu pour te laisser faire... La jeune fille commença à t'implorer:

"Pitié! Tu es comme moi, alors ne me fais pas mal! Nous sommes frère et soeur!"

...

Invité

Pour une fois la réponse semblait le satisfaire le docteur, soudain il demanda a ce qu'on amène une nouvelle personne, Félix aperçut un une demoiselle fort mignonne mais attaché, on avait enfin retiré les aiguilles des mains businessman, ça lui faisait vraiment du bien, il fallait maintenant faire craché les informations sur l'endroit où se cachait les mutants qui étaient ses compagnons, elle commençait déjà a implorer Félix de pas lui faire de mal.

-Mais petite tu es a la GC, tu va de tout façon te faire torturer, que ce soit par moi ou un autre ça change rien, en plus a quoi bon gardez le secret de tes compagnons, ils sont vraiment là pour toi en ce moment tu t'apprête a vivre le pire moment de ta vie et eux ils se la coulent douce dans leur cachette.

Félix s'approcha et lança sa tête a toute vitesse vers le nez de la demoiselle qui craqua sous l'impact elle avait du sang partout et semblait légèrement abasourdie, Félix lui donna une claque pour qu'elle se reprenne un peu, et quelle fasse attention a ce qu'il dise

-Maintenant tu vis que je plaisante pas et que tu va devoir parler, pour ça le meilleur moyen, est d'y aller le plus lentement et douloureusement possible, pour ça rien de tel que les os de la main je vais commencer par t'écraser le doigt, et me tenir en équilibre avant de le briser en deux, heureusement que tu a dix doigts, en plus si tu a pas parler au bout des dix on aura la gentillesse de te les retirer en te les enlevant un par un, je suis sur qu'on a une scie mais j'espère qu'elle est pas électrique ça coupe tellement vite les électriques, tu n'aura pas le temps de sentir la douleur.

Il prit l'index de la fille et commença a l'écraser avec le pied

-Bon après je casse l'os et ensuite je te déchire le muscle et dire que je dois faire pour tes dix doigts enfin tu parle quand tu veux.

Aussitôt dit aussi tôt fait il casse l'os du doigt la petite fille, ce qui fit place a un hurlement déchirant pire que lorsqu'il lui avait brisé le nez

-Alors tu parles? Où sont tes petits copains ?

(Si il faut aller plus loin j editerai mais je trouve que c'est déja pas mal)

Arbitre Nombre de messages : 368 Date d'inscription : 21/11/2006

Après le coup de tête que tu lui avais donné, la jeune fille cria, son nez était brisé. Elle t'implora encore, mais tu lui écrasa et brisa un doigt... Les eux inondés de larmes, elle comprit que tu ne l'épargnerais pas...

D'abord elle te cracha sur le visage, sa salive était un peu jauneâtre d'ailleurs. Si par malheur tu t'en étais pris dans les yeux, attends-toi à ce que çà te brûle. Cette salive est assez acide et urticante.

"Tu, tu es... Pire qu'eux! Je ne donnerai jamais mes frères à un mutant comme toi!"

A ce moment là, la jeune mutante ouvrit la bouche, et une langue particulièrement longue et verdâtre en sortit, ornée d'un petit piquant à son extrémité. Pas de bol, la langue te fouetta le cou, et le dard s'y planta... La jeune fille se mit à fouetter l'air avec sa langue, pour que tu n'ai pas l'idée de t'approcher à nouveau d'elle...

"Oh, j'ai oublié de vous avertir, monsieur E652-MOL... C'est une mutante organique de type reptilien... Il parait que le dard au bout de sa langue ainsi que sa salive sont venimeux..."

Sylberstein ricana, amusé de te voir dépassé par les évênements... Ton visage doit commencer à te démanger fortement...

Invité

Félix avait commencé à torturer la jeune demoiselle, finalement elle finit par lui cracher dessus, le cuisinier savait que c'était pas de la salive normale, ça allait encore donné lieur a un problème c'était sur en plus l'autre qui me mettait a brailler qu'elle était fidèle ça le faisait chier elle tenait vraiment a souffrir la petite, soudain la langue de la jeune femme s'allongea légèrement et elle planta un dard dans le cou de Félix.

Sylberstein, avait l'air de se marrer de la situation il lui expliqua encore un tas de truc super chiant sur la mutante en gros fallait pas qui s'approche de la bouche de la mutante, il allait commencer par dégager, la gonzesse de ce coin aussi lui administra t il un bon coup de pied au niveau de la tête, la mutante retomba sur le ventre au milieu de la pièce, elle avait l'air d'avoir un peu mal, il s'assis immédiatement sur la fille et lui saisit les bras, il s'empressa aussitôt de déboiter son épaule gauche pendant que la petite criait.

-Bon écoute t es chiante et tu m'énerve jusque là j'avais été gentil mais t'a tellement dépassé les bornes que ce coup ci tu va vraiment souffrir, ton épaule gauche est déboiter comme ça tu me fera pas chier avec maintenant ton bras droit ha, je vais m'amuser a le déboiter et ensuite a le remboiter puis a nouveau le déboité tout ça jusqu'à ce que tu me dise où sont tes copains

Il commença a lui déboiter le bras droit avant de lui remboiter, il lui déboita une second fois le bras et attendit quelques secondes pour voir si elle avait quelque chose a dire

Arbitre Nombre de messages : 368 Date d'inscription : 21/11/2006

La mutante hurla de douleur à chaque déboîtage/réemboîtage d'épaule, alors que tu lui écrasais le dos de tout ton poids. Elle tenta de se débattre comme un ver de terre, en remuant sa langue dans tous les sens pour tenter de te fouetter le visage...

Elle jura, puis tenta autre chose. Avec sa langue, elle réussi à attraper ton poignet et à le tirer en avant pour te faire basculer. A ce moment là, elle lâcha lepoignet puis sa langue s'enroula autour de ton cou, avant qu'elle ne l'enserre férocement, te provoquant au passage, en plus de la strangulation, une vilaine brûlure urticante...

"Vous êtes un mauvais tortionnaire..."

Commenta le professeur Sylberstein, un air amusé au visage.

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