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 Hailey Summer "Whirlwind" Daniels

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MessageSujet: Hailey Summer "Whirlwind" Daniels   Hailey Summer "Whirlwind" Daniels EmptySam 28 Avr - 19:54

NOM : Daniels
PRENOMS : Hailey Sumer
SURNOM (Facultatif): Whirlwind
AGE : 19
DATE DE NAISSANCE (nous sommes en 2051): 8 mai 2031
SEXE: féminin
NATIONALITE: australienne
PERMIS (En rapport avec votre âge!): moto


TYPE DE POUVOIR : matériel
DESCRIPTION DU POUVOIR : manipulation de l’air (Whirlwind à le pouvoir de manipuler par friction l’air qui l’entoure, le concentrant en une pure énergie venteuse dont la forme la plus courante est une sorte de second vêtement protecteur constitué d’air tourbillonnant le long de son corps)
DESCRIPTION DU POUVOIR PAR NIVEAUX :
Niveau 0 : Lorsque Whirlwind est en situation de grave danger ou sous le coup d’une émotion forte (grosse colère, stress intense), l’air qui l’entoure se rassemble en de minces tourbillons qui circulent autour de son corps, la faisant décoller de quelques centimètres et l’envoyant généralement se cogner dans tout mur ou autre surface solide selon la sacro-sainte logique universelle.
Niveau 1 : le pouvoir se déclenche à nouveau sous le coup d’une émotion forte ou d’un danger, mais si Whirlwind est toujours aussi maladroite dans son contrôle, le vent tourbillonnant le long de son corps lui offre cette fois une protection limitée sous la forme d’une aura venteuse servant de bouclier énergétique limité.
Niveau 2 : Là encore, elle ne contrôle que difficilement l’apparition de son pouvoir. Mais elle progresse dans son utilisation, arrivant à ne plus se cogner partout lorsqu’elle flotte à quelques centimètres du sol. De plus, elle arrive, par friction de l’air, à augmenter l’efficacité de son bouclier venteux sur une surface donnée un court instant, ce qui lui coûte de l’énergie. Sous le coup d’une émotion forte (et oui, toujours), elle peut balancer des petites décharges énergétiques d’air. Avec l’adresse, la visée et la subtilité d’un hippopotame ivre en rut, ayant tendance à provoquer de petites explosions de vent un peu partout sans grandes conséquences...
Niveau 3 : Bien que son bouclier se manifeste automatiquement de manière incontrôlable (et souvent burlesque à défaut d’être impressionnant) lors d’une situation difficile, elle est maintenant capable de le faire apparaître à volonté pour peu qu’elle se concentre et qu’elle y investisse assez d’énergie (ce qui n’est guère utile en situation de crise, mais au moins c’est plus contrôlable qu’une activation instantanée). Sinon, elle balance toujours des rafales énergétiques de vent sous friction qui font « woosh » un peu partout quand son corps estime qu’il a besoin de décompresser.
Niveau 4 : Rien de réellement changé par rapport au bouclier d’air, si ce n’est qu’elle arrive à s’élever du sol d’un ou deux mètres. Malheureusement, son habileté en vol sera à ce niveau digne du colibri héroïnomane en vole. Quant aux rafales d’air frictionné, elle sera enfin capable de les produire à mesure sous peine d’un coût en énergie et ne risquera plus de faire « woosh » n’importe où dans la rue, ce qui est plutôt gênant.
Niveau 5 : L’habileté en vol augmente légèrement, ainsi que l’altitude. Whirlwind devint capable de mieux contrôler son pouvoir lorsqu’il se déclenche de manière automatique sous stress, émotion forte ou autre danger. Elle commence à comprendre qu’elle peut manipuler l’air qui se trouve autour d’elle par friction afin de faire autre chose que des coups de vents explosifs qui font « wooosh » (un niveau, un « o » de plus !)
Niveau 6 : Si elle ne vole toujours pas vraiment, elle est désormais capable de contrôler correctement sa lévitation tant que ça ne dépasse pas les quelques mètres d’altitude. Son bouclier gagne en intensité et il lui faut de moins en moins d’efforts pour la maintenir efficacement sur une longue durée. C’est une véritable seconde peau d’air tourbillonnant qui lui colle dorénavant au corps formant une armure énergétique extrêmement résistante. Ses rafales explosives gagnent en intensité (et en « o » dans les «wooosh »), tandis qu’elle commence à manipuler de plus grande surface d’air qui, sous sa maîtrise (relative…) de la friction, peuvent se transformer en réelles poches d’énergies sous haute pression.
Niveau 7 : La Whirlwind vole carrément, comme Superman sans le costume ridicule, mais un Superman plutôt erratique et beaucoup moins aérodynamique. M’enfin elle vole, c’est le principal. Son bouclier d’air devient capable de stopper tout projectile physique ou énergétique selon l’énergie qu’il reste à notre tourbillon humain. De plus, son pouvoir sur les molécules d’air est tel qu’elle peut le façonner à sa volonté, allant de la création d’une tempête énergétique sous friction à la naissance de vide d’air plutôt explosifs. Whirlwind devient une incarnation du vent même, n’ayant plus besoin de respirer et pouvant résister à n’importe quelle pression sur des durées de plus en plus longues.
EFFETS SPECIAUX DU POUVOIR : l’énergie nécessaire à la manipulation de l’air sous cette forme est si intense qu’elle finit par circuler en permanence dans le corps de Whirlwind, la forçant de temps en temps à décharger un surplus énergétique en un maelstrom incontrôlable. Ne pas être dans les parages à cet instant est chaudement recommandé. De plus, si Whirlwind attend trop longtemps et use de ses limites pour repousser une telle décharge, elle finira par la libérer de manière encore plus intense, processus aussi dangereux pour elle que pour les alentours.
CIRCONSTANCES DE L'APPARITION DES POUVOIRS : (Mutation naturelle ou provoqué. Si c'est une mutation provoquée, par quel laboratoire? Voir le Background ou MP à Fraust!)


PHYSIQUE :
plutôt grande et élancée, Hailey possède une sature assez athlétique, bien qu’elle ne se soit jamais vraiment préoccupée de sa ligne. Possédant une dite ligne d’ailleurs plutôt svelte et des courbes agréables sans être tape à l’œil, la jeune femme possède un port aérien lorsqu’on l’aperçoit, ce qui ne l’empêche pas de trébucher sur tout ce qui bouge (ou pas) quand elle n’est pas concentrée.

Son visage est assez fin, bientôt dépourvu de toutes les rondeurs de l’adolescence. Agréable sans être hors du commun, il est ouvert et avenant, encadré par une abondante chevelure d’un brun gris un peu étrange dont Hailey prend soin du mieux qu’elle peut.

Ses yeux, d’un gris vert étonnant, s’accordent parfaitement au reste de sa personne, reflétant une grande intelligence teintée d’un amusement bon enfant.

D’un point de vue vestimentaire, Hailey prend soin de se son apparence sans pour autant se soucier de la mode ou du regard que les autres portent sur elle. Elle choisit des habits qui lui plaisent, c’est tout, et force est de reconnaître qu’il lui arrive la plupart du temps d’avoir bon goût (sauf le matin après une nuit trop court, où elle a tendance à tirer mollement de ses placards les premières nippes qui tombent sous sa main fatiguée). En général, elle porte un débardeur ou un t-shirt de teinte peu voyante, comme le noir ou le gris, parfois avec quelques touches de blanc. Elle se contente ensuite d’une paire de jeans sombres élégants ou d’une jupe sobre aux motifs qu’elle trouve élégant. Sinon, elle porte souvent par-dessus son haut une large chemise flottante accordée au reste de l’habillement ou une veste de même facture. Côté chaussures, elle porte n’importe quoi pourvu que ses pauvres petits petons traumatisés s’y sentent à l’aise, quitte à porter la même paire de vielles bottines noires (ses actuelles) dix ans s’il le faut !

CARACTERE : Hailey est intelligente, même très intelligente. Si son esprit navigue aux portes de la surdouance, elle a fini par en avoir marre de passer son temps et sa vie à le faire fructifier et a dernièrement décidé de s’accorder plus de temps à elle. Elle est passé d’un caractère bosseur à un caractère assez flemmard, et n’a pas plus d’ambition qu’une chaussette, au grand désespoir de ses proches.

Souriante, Hailey est une jeune femme plutôt décontractée et tolérante qui n’est guère timide. Elle va facilement vers les gens, mais si ceux-ci ne l’intéressent pas elle finit vite par s’en lasser et finit rapidement par aller voir ailleurs telle une brave abeille butineuse sur le chemin pavé du miel de la vie.

C’est là un grand défaut d’Hailey : elle se lasse très vite, et il est difficile de garde son attention sur un projet sur une longue durée. Néanmoins, quand elle le veut bien, elle fait preuve d’une redoutable efficacité et, aussi bornée qu’obstinée, ne lâche plus prise une fois à fond. Toute la difficulté est de la motiver…

Hailey aime faire la fête et profiter de la vie depuis qu’elle a décidé d’arrêter de vivre comme la parfaite petite élève surdouée qu’elle était. Elle est généralement de bonne humeur, même si elle est d’une nature plutôt distraite, et elle s’énerve vite, mais jamais longtemps (à moins d’avoir pour cela une trèèès bonne raison).

Hailey est une fille qui ne demande qu’à vivre sa vie tranquille, sans devoir sans arrêt exploiter son potentiel (ben oui, c’est fatigant !) qui tient par-dessus tout à sa liberté.

PARCOURS (enfance, adolescence...): Hailey Summer Daniels est née dans une ville australienne qui, comme tant d’autre, luttait pour redresser la faible situation de l’Océanie. Heureusement pour elle, elle vécut dans un cadre relativement aisé malgré tout : son père était alors major dans le corps d’armée australien. Ce n’est pas pour autant qu’elle vécut dans une base militaire, non ; elle eut la chance de vivre dans un des petits lotissements aisés plutôt bien épargnés par la crise mondiale.

Très vite, il apparut que la petite Hailey était très intelligente malgré sa propension à se cogner contre les pieds de table et à confondre les hochets avec les fers à friser (un spectacle pour le moins indescriptible). Malgré les bosses et les points de suture, Hailey vécut une vie de petite fille sans soucis, et fut très vite inscrites dans un centre scolaire spécialisé qu’on considéra digne de son niveau. Sans se plaindre, Hailey travailla de toutes les forces de son gros cerveau pour satisfaire papa, maman, le professeur Sims et Noireaud le hamster de la classe. Des classes, elle en sauta d’ailleurs plusieurs, jusqu’à obtenir un premier diplôme universitaire à l’âge de dix-huit ans.

Entre temps, concentrée qu’elle était sur les études, Hailey ne menait pas une vie sociale extraordinaire. Elle était jolie, mais ne prenait pas le temps de se mettre en valeur et n’avait jamais songé à sortir le soir (un concept alors aussi incongru qu’abscons pour elle). Entre les cours, les thèses, les devoirs et l’entraînement militaire que les amis de son major de père lui procuraient (elle avait le don de se mettre tout le monde dans la poche) et qui l’amusaient follement, on ne peut pas dire qu’elle ait eu une vie sociale bien remplie. Malgré tout, elle eu la chance de rencontrer l’amour avec un étudiant partageant ses cours, Erik.

Mais un beau jour, la réalité frappa Hailey de plein fouet, tel l’interro surprise de philo les élèves insouciants : elle en avait marre. Oui, parfaitement, elle en avait marre d’être intelligente. Ce qu’elle voulait maintenant, c’était un peu d’insouciance que diable ! Pas de sa faute si elle avait été dotée d’une intelligence trop grande pour ses ambitions (équivalentes à celles de la pantoufle moyenne, on l’a déjà dit). Alors ni une, ni deux, elle arrêta ses études en plein doctorat et passa son permis de moto afin de parcourir gaiement les steppes australiennes. Son père, le major Daniels, ne poussa pas de hauts cris ; il se contenta d’hocher la tête d’un air vaguement déconfit tout en se bourrant une bonne pipe avec du tabac tout frais. Après tout, libre à elle de faire ses expériences, maladroite comme elle est, autant voir ce que ça allait donner…

Décidant alors de profiter de la vie, elle s’empara de ses économies (intelligemment fructifiées du temps où ça l’amusait encore), elle se sépara du sympathique Erik. De toute façon, ils avaient réalisé qu’ils étaient devenus meilleurs amis qu’amants. Avec l’aide de son brillant ami, elle monta alors sur pieds le programme de sa folle jeunesse perdue.

Et puis ce qui devait arriver arriva (ben oui, sinon que ferais-je sur ce forum, je vous l’demande ?) : son pouvoir mutant se manifesta. Elle n’en parla qu’à Erik, qui ne la repoussa pas, et à son père. Soucieux de ce que pouvait devenir sa fille si des hautes pontes l’apprenaient, il organisa son départ du pays, toujours aidé du brave Erik.

Et c’est ainsi qu’une jeune australienne des plus atypiques parcourt maladroitement la campagne anglaise au volant de sa moto bien aimée, décidée à ne pas laisser gâcher la vie par un pouvoir qui faisait d’elle un climatiseur en folie… L’ennui, c’est que ça allait encore être fatigant… Avec un soupir, Hailey Summer Daniels mis les gaz et continua son chemin, sous les yeux hagards d’une poule aussi chanceuse qu’imprudente : on ne l’y reprendrait plus à traverser la route de nuit ; les étrangers au volant ? Tous des malades !

SIGNES PARTICULIERS : Hailey est maladroite. Vraiment. Lorsqu’elle n’est pas concentrée (donc la plupart du temps ; hé ho se concentrer c’est fatigant, elle a pas que ça à faire !), elle a tendance à se cogner dans les meubles et à laisser tomber tout ce qu’on lui fourre dans les pattes… Elle possède sinon une moto dont elle est très fière, baptisée « Tornado » (si si, elle a donné un nom à sa moto !), qu’elle conduit aussi bien qu’elle se dirige dans une pièce semée d’embûches domestiques…

Elle possède aussi une paire de lunette, qu’elle ne met que rarement. Non pas par coquetterie, simplement par distraction (sigh…). De plus, elle est bien entraînée au corps à corps, ayant profité de l’univers militaire de sa jeunesse.

Enfin, dernier trait et pas le moindre, Hailey est chanceuse. Pas une de ces chances qui vous font gagner un million à la loterie, non : une de ces chances qui vous suit toute la vie et qui agace les gens, comme perdre son porte-monnaie dans une rue malfamée et le récupérer intact des mains d’un motard patibulaire qui s’appelle Mickey.
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