[Washington] Mauvais souvenirs en pagaille... [PV Vita]

Un sursaut.

Où suis-je ? C'est quoi ce bruit ? Pourquoi est-ce que j'ai mal au dos ?
J'ouvre grand mes yeux, je regarde autour de moi. J'ai peine à me repérer. Springday Washington... je n'y suis pas revenue depuis quelques mois, non ?
Et ce vacarme que peu de monde semble entendre... des coups de feu ?
Aïe Aïe, ma colonne vertébrale me tiraille, et ma tête pèse lourd. Je me relève d'un bond. Non, pas possible... J'étais par terre quelques secondes auparavant ? Qu'est-ce que je fichais sur le bitume, on m'explique ?
Des lycéennes m'observent, et je vois que près de moi se trouve un banc... Tape sur la tête. Quelle poisse ! A tous les coups, je me suis débattue dans mon sommeil, j'me suis cassée la gueule, et j'ai causé à des personnes de mon imaginaire... Impossible de me rappeler mon rêve. J'espère que ce n'était pas trop embarrassant. Pas de phrases du genre « Mon canard, c'est le voisin qui l'a volé pour le mettre sur le toit rose ! », pitié. Ni une scène émouvante où y'a toute la famille et un gâteau d'anniversaire. Berk.
Rooooh, et puis, de toute façon, rien à battre. Si ces filles me dévisagent qu'elles le fassent, j'les reverrai jamais de toute façon. Elles savent pas c'que c'est d'être insomniaque, c'est clair...

Bon. Soupir. Etirement pendant quelques minutes. Qu'est-ce que je fous là ? J'me rappelle m'être assoupie, et avant ça... Danni... Et avant ça ? Le match de base-ball... Et avant ça ? Retrouvailles de profs... Et avant ça ?
Hmmm... Ola... Un type... Jack Clay ?

Bordel de nom de Diou ! Il est quelle heure ? J'ai dormi longtemps ?

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Vitalie s'empara en vitesse de son téléphone portable. Après vérification elle soupira : sa sieste n'avait pas duré plus d'une heure. Mais c'était sans doute suffisant pour égarer un Jack Clay. Quoique, elle n'avait pas attendu de fermer les yeux pour le perdre, hein ?
Pas inquiète pour lui -c'est un grand garçon, après tout- mais pas avide non plus de prolonger ses instants de solitude, elle se dit qu'elle pourrait sans doute l'inviter à prendre un verre et ensuite aller au feu d'artifice qui était prévu à l'autre bout de la ville. Histoire de passer le temps en bonne compagnie, quoi...

Miss Darshaw s'éloigna du bâtiment en lui lançant un dernier coup d'oeil nostalgique. Ces années de lycée avaient été de sacrées années et elle en garderait toujours un bon souvenir. Même avec la présence de Danni et d'autres gourdes sur le tableau. La vie était truffée de crétins, alors autant se faire à l’idée rapidement et vivre à fond les bananes.
Prenant une rue, puis une autre, la jeune chef-chef du MIL se retrouva bientôt devant une masse de badauds qui s’affairaient autour d’un véritable carnage. La jeune fille haussa un sourcil : elle n’avait donc pas rêvé, il y avait bien eu des coups de feu. Elle se demanda qui avait bien pût s’amuser à semer la pagaille dans une ville si tranquille. Les dames étant venues chercher leurs gosses à la maternelle piaillaient des « Quelle horreur ! » à tout va, et même si Vitalie n’en pensait pas moins, elle, elle eût le mérite de s’écarter de la scène. Les autorités n’étaient pas encore là, ce n’était qu’une affaire de minute, et elle n’avait pas spécialement envie de s’emmerder à regarder des inspecteurs et autres secours demander à toute cette populace de dégager.
Elle pouvait très bien le faire toute seule.

Cherchant vivement dans le répertoire de son téléphone, elle trouva le numéro de Jack Clay et appuya sur la touche « Appeler ». Tandis que les sonneries se succédaient, elle s’engagea dans un autre chemin.
C’était bizarre, quand même, des fusillades à un endroit pareil. Vitalie se surprit à penser qu’il était fort probable que les types aient rencontrés Danni Madden l’énervée de service. Elle l’avait quitté en rogne totale –à son habitude, cela dit- et aurait très bien pût se défouler les nerfs sur eux. Elle avait les flingues et les arboraient fièrement, du genre « J’tue quand je veux, voyez ! Bwahahaha ! ».
Riant de son idée qu’elle trouvait parfaitement ridicule (ça ne lui allait décidément que trop bien ce rôle de tueuse que ça en devenait caricatural), la jeune fille réussit enfin à avoir son partenaire au bout du fil. D’une voix un peu désolée, elle commença :
-Jack ? C’est Vitalie. Heu… Bon, je crois qu’on s’est un peu paumé de vue nous deux, hein !
Elle eût un joli petit rire. En fait, elle n’était pas si embêtée que ça.
-Dis, t’es où, là ? J’espère que tu t’es pas trop perdu dans c’te ville, ah ah ! Si ça te dit, on va prendre un verre ! J’connais un café sympa.
Elle se tût un instant, entendant les sirènes de police.
-Au fait, t’as vu ça ou non ? Des jolis cadavres bien sanguins pas loin du bahut… C’quelque chose. Les gens sont pas habitués ici. C’est plutôt tranquille, bon chic bon genre ; on voit que ça à la télé.

Rien de trop choquant pour elle, cela dit : c’était presque la routine. Ses yeux s’habituaient.

« Une camarade de recherche pour te retrouver » ?
Fallait pas prendre Vitalie pour une courge non plus ! Comme si on trouvait quelqu'un de vraiment serviable à Washington D.C. Tout n'était qu'intérêt et faux-semblant, du moment que ça ne dérangeait pas la petite vie tranquille. On se souriait entre voisins, alors qu'on fond de sois on crevait d'envie de mettre le feu à leur casbah…
Si Jack Clay avait vraiment trouvé quelqu'un qui veuille l'aider, c'était une envoyée du bon dieu cette camarade ! « Jack Clay, j’ai vu en toi la lumière. J’ai sût, dès l’instant où nos regards ce sont croisés, que mon destin était de t’aider à retrouver celle que tu cherches. Laisse-toi guider, Jack Clay, fais-moi confiance. C’est Dieu qui m’a mis sur ton chemin. Blablablabla… ».
Ouaip, c'était louche cette histoire... Si c'était un rencard, pourquoi invitait-il Vitalie à les rejoindre ?
Trop gentleman pour la faire poiroter ?
Pas assez de culot pour la remballer ?
Trop embêté de s'apercevoir que sa camarade, et bah, en fait c'est un travesti, et subitement besoin d’aide ?
Situation délicate ?
Inconfortable ? Une diarrhée ?
Ou...

Oh non.

PERVERS !

Jack Clay, vous êtes grillé direct !

Vitalie soupira. Elle se disait que les mecs étaient vraiment tous pareils : obnubilés par le cul et les plans à trois. Le magicien, elle avait eût l’audace de le croire un peu plus sage. Il ne lui avait pas fait la coure pendant le voyage, et y'avait pas vraiment eût d'approche directe ou indirecte. Si ça se trouve que Logan lui avait raconté des trucs, et alors là... Bah voilà le résultat : il avait des idées tordues.
Pendant un instant, la demoiselle se demanda si elle avait vraiment envie de le rejoindre. Après tout, y'avait la famille qui l'attendait à la maison, les préparatifs du mariage, tout ça... Arfg ! Non, pas ça ! Vite, rejoindre le soldat !

S'engageant dans la rue où se trouvait le café -qu'elle connaissait bien d'ailleurs, pour y être partie moult fois sans payer son verre- elle ne pensa pas à lever la tête vers la terrasse. Pour sûr qu'elle aurait fait demi-tour direct.

Non, au lieu de ça, la miss Darshaw avançait, limite en sifflotant. Elle se fit siffler, d'ailleurs, lorsqu'elle passa devant un groupe de braves garçons, accoudés à une table. Sourire en coin, on sait que t'es divine, Vita'.
Avec sa minijupe et son t-shirt du très bon groupe Prodigy (taillé pour les femmes, hein, n'allez pas imaginer le morceau de tissus noirâtre dix fois trop grand), elle était tout simplement canon. Provocante, un peu, mais sans se la jouer bimbo. La vraie classe.

Bref, pour en revenir à l'instant présent, et bien, ça se gâtait... S’arrêtant sur la terrasse, après avoir fait le tour de l'intérieur, elle jeta un rapide coup d'oeil aux tables, espérant repérer Jack l'éventreur. Elle l'aperçut, à moitié caché derrière un gros gaillard assis à la table de devant, et elle commença à avancer dans cette direction. Sa partenaire, elle, était d'autant plus cachée par le gorille qui se trouvait dos à elle.
Miss Darshaw arriva donc à hauteur de la table, et elle regarda d'abord Jack. Un sourire.
Puis, se tournant vers la « camarade ».

VLAM. G.C.D.L.G.

Gros
Caisson
Dans
La
Gueule

Danni ? Qu'est-ce qu'elle foutait là ? Elle sirotait sa boisson, avec son air narquois, comme toujours... Vitalie zieuta tour à tour le magicien, puis la cow-girl, avec une moue hilare.
Alors, ça y est, Jack avait décidé de faire le malin ?
Passons aux salutations, voulez-vous.
-Danni, lança miss Darshaw, avec un sourire amusé. Alors, toujours aussi nymphomane, t’as pas changé…
Elle s'adressa ensuite à Clay.
-Cette fille est une rageuse, ‘fais gaffe. Elle n'aurait aucun remord à te casser les côtes en te pissant dessus.
Un temps où Vitalie ne se priva pas pour masquer son dégoût. Elle fit une grimace à Clay, du genre qui voulait dire « elle est à gerber cette nana » -grimace que Danni ne pût voir.
-Je compte pas faire la causette avec cette espèce d'animal.

Et pas de « chuis navrée » en plus. Y'avait aucune raison.

- Très bien très bien, reste donc là à faire le pot de fleur. Bon, j'ai déjà vu mieux au niveau de l'esthétique, il faut bien avouer, mais bon, puisque tu ne comptes pas desserrer les dents...

Et puis, depuis le temps où j'ai voulu voir ça, la grande Vitalie Darshaw se taire...

A ces crachats –non, ça ne pouvait être des paroles tellement c'était laid-, Vitalie ne pût se retenir de rire. Elle regarda Madden, à la fois méprisante et réellement amusée. Cette cow-girl était vraiment une moins que rien.
Et elle se prétendait être à la hauteur d'un tel rôle que rivale de l’époustouflante, de la grandissime, de la sublime Vitalie Darshaw ? La blondinette avait toujours trouvé l'idée farfelue : c'était Danni et quelques autres filles qui les avaient qualifiées d'ennemies, prête à tout pour surpasser les scores de l'autre.
Il fût un temps, certes, où Vitalie, en pleine crise d'adolescence, avait crût déceler en la rouquine le potentiel nécessaire pour lui faire face. Cela ne dura pas plus d'un mois : Miss Darshaw comprit qu'elle avait eût tord de l'estimer, mais ce délais suffit à Madden pour s'illusionner des pires sornettes.
Vitalie se moquait de Danni ; peu lui importait qu'elle vive ou qu'elle meure. Si on lui demandait de la tuer lors d'une mission, elle le ferait sans regret. Pas par soucis de vengeance ou autre conneries du genre, non, parce qu'elle n'en avait vraiment rien à faire.
Il y a un proverbe qui dit que le contraire de l'amour n'est pas la haine : il s'agit de l'indifférence.
Vitalie se disait que ça résumait bien la situation, de son point de vue tout du moins.
Cela dit, la miss était humaine, et même si Danni n'était rien, un rien peu devenir agaçant. Il faut du temps, mais elle peut y parvenir sans grands soucis. C’est là son seul et regrettable atout.
Et comme Darshaw connaît bien ses limites, elle ne préfère pas prendre de risque. Elle dit, d'une voix charmée :
-Tu crois vraiment que je compte te faire cet honneur, Danni ? Tu es bien la personne la mieux placée en ce monde pour savoir à quel point je n'offre mes faveurs qu'à ceux qui le méritent. Toi, en l'occurrence, tu ne me fais même pas de la peine. Si ç’avait été le cas, j’aurais peut-être cédé à ton fantasme. Mais non. Tu m'épuises et rien de plus. Quand ta haine se consommera-t-elle enfin, seule chance de racheter ton âme des enfers ? La colère te rend tellement plus laide que tu ne l'es déjà...
La jeune fille soupira, lassée de cette conversation. Elle n'avait rien du chien hargneux qu'était Madden ; non, elle, elle se contentait de dire ce qu'elle pensait, de pincer là où ça faisait mal. Qu'on lui fiche la paix, tiens !
Elle revint à Jack quelques secondes, le temps de l'informer :
-Bon, si tu traînes avec cette chose, c'est tes affaires. Moi, j'me casse, j'ai mieux à faire. Y'a un feu d'artifice à l'autre bout de la ville, et puis un coin sympa à visiter, c'est plus beau à regarder et ça tape pas sur les nerfs. Si tu crèves pas entre temps -j't'ai prévenue, hein, qu'elle était dérangée- tu m'appelles, qu'on se prévoit un truc demain, ou quelque chose du genre... Allez, à plus. Bonne fin d'après-midi !
Et sur ce, elle tourna les talons sans même leur jeter un regard. Jack était à plaindre : il se faisait embobiner comme tous les mecs.
*Danni, une fois qu'on l'a baisée, y'a plus rien à découvrir.*
Des années que la cow-girl lui collait aux basques par son désir inassouvi de vengeance, et y'avait jamais rien eu d'intéressant à en tirer. Vitalie en avait conclut que Madden n'était bonne qu'au lit, mais rien que de l'imaginer en petite tenue, ça ne la révulsait pas, ça la laissait de marbre. Y'a plus stimulant, faut dire, qu'un froid total.

En repassant devant les autres tables, elle croisa un serveur qui amenait des bières à des clients. Elle se saisit de l’une d'entre elle, jeta deux pièces sur le plateau et se tira à grandes enjambées.
Portant le goulot à ses lèvres, la demoiselle se demanda si les cons avaient été créés par Dieu pour pimenter l’existence ou si c’était l’être humain qui s’ennuyait et avait entrepris de propager cette maladie.
Une chose était sûre : Madden, elle s’en serait bien passée.

[Hors-RP : Libre à vous de la rejoindre un peu plus tard...]

Une bombe atomique, dans ce cas. Mais le genre de Vitalie, avec un corps merveilleux et un portable Veganuts qui se met à vibrer. Jack dans la galère ? La jeune fille soupira. C'était tellement prévisible étant donné son rancart. Danni, ou comment passer du temps avec la poisse en personne.
Sans l’appel de Clay, Vitalie aurait joyeusement laissé la rouquine siliconée dans la misère. Mais ce n’était pas le genre de Madden de demander l’aide de celle qu’elle considérait comme sa rivale. Plutôt mourir que de mettre de côté son trop grand et détestable ego, n’est-ce pas ?
Enfin, le problème était que Vitalie avait horreur qu’on abîme ses chers MILiens. Et ce n’était surtout pas une fille comme Madden qui allait la faire renoncer à ajouter son grain de sel. Darshaw ne venait pas pour elle.
Nouveau soupir. Vita’ avait des raisons de penser que c’était cette peste qui avait engagé le combat. Il n’y avait qu’à se rappeler l’agressivité dont elle avait fait preuve envers de simples étudiantes. Impulsive jusqu’au bout des ongles. Et pénible. Surtout pénible, en fait.

Vitalie s'empara de son arme qu'elle avait rangée dans sa valise, cachée sous des pulls. Si la mutante se trouvait chez elle en cet instant, ce n'était pas pour papoter avec la famille. Elle était simplement venue chercher son vieux ballon de Basket-ball pour faire quelques paniers au terrain près de la villa. Mais le message reçu, elle avait dut troquer la balle contre le gun.
-Si avec ça on ne m’adule pas jusqu’à la fin de mes jours…, marmonna-t-elle.
Elle sortit de sa chambre d’adolescente et traversa le grand salon, attrapant au passage son blouson qu'elle avait jeté sur le canapé en arrivant. Sa mère et sa soeur étaient assises autour de la table et semblaient encore régler des affaires à propos du mariage. Elles étaient plongées dans la lecture d'un magazine jusqu'à ce que Vitalie passe devant elles, en vitesse. Les deux femmes relevèrent la tête.
-Tu ne vas plus au terrain, chérie ? demanda gentiment Mme Darshaw.
-Nop, répondit sa fille en ouvrant la porte.
-Mamaaan, regarde ces fleurs ! Elles seraient parfaites suspendues au dessus de l'autel !
La conversation ne dura pas plus longtemps, et tandis que Vitalie rejoignait sa tendre moto, Mme Darshaw et Carmen se remirent à parler noces.
Vita' fixa le casque sur sa tête, puis elle fit ronronner le moteur, ce qui l’apaisa. Quand elle démarra, un sourire apparut enfin, et elle rit.
-Foutue Danni !
L'enthousiasme était revenu.
Pendant les quelques cinq minutes de voyage, Vitalie put savourer le vent fouettant ses vêtements, glaçant son cou découvert. C'était une véritable morsure, mais la vitesse était des plus délectables. Elle accéléra encore, puis, tournant dans une rue, fit un dérapage merveilleux. Dommage qu'il n'y eût personne pour l'admirer, ç'aurait été d'autant plus drôle.
Descendant donc de l'engin avec empressement, elle prit toutefois le temps d'envoyer un texto au magicien : « Ferme les yeux ! »
Une surprise, n'est-ce pas ? Vitalie avait l'habitude de surgir, tel le diable de sa boîte. Pour se faire, elle retira son cache-oeil qu'elle enroula autour de son poignet. Moins d'une minute lui suffit pour se rendre invisible et rejoindre la porte principale. Celle-ci était fermée, ce qui l'énerva prodigieusement. Vita' braqua son flingue et tira. Deux balles et un coup de Doc’s plus tard, et la porte se faisait plus coopérative.
En entrant, la jeune fille sentit l'agressivité des balles. Déjà, au dehors, ça faisait un boucan monstre, mais alors là, ça lui tapait vraiment sur le système ! Et quand Vitalie n’est pas contente, elle a un peu de mal à contrôler son don. Résultat des courses : avant de n'avoir pu repérer Jack et Madden, la blondinette émerveillait la salle de sa somptueuse lumière. Les cris de surprises des mafiosos ne se firent pas attendre. Il fallait juste espérer que Clay avait suivit ses conseils.
Enfin bref, quand bien même Vitalie était invisible, il ne fallait pas oublier que les brutes aimaient bien tirer n'importe où, d'autant plus lorsqu'elles étaient déconcertées. Alors, on roule hyper rapidos jusque sous une table et on observe enfin la salle. Une sorte de bar. Fiou ce que c’est original !
En peu de temps, Vitalie repéra son ami Jackie. Comme le flash disparaissait sérieusement, la jeune fille en lança un nouveau. Puis, direction les demoiselles en détresse ; Vita réussit à chopper le bras de Clay.
-On se tire !
Ah oui, bonne idée.