[HENTAI] Repos mérité

Fraust arriva enfin dans la chambre qu'il avait attribué de façon exceptionnelle à Corail, avec celle-ci dans ses bras.
Il la déposa délicatement sur le lit, l'allongea et la borda. Elle semblait si mal en point, toute pâle et tremblante...
Fraust posa une main sur son front, il sentit que la fièvre n'était pas tombée...
"Il te faut dormir maintenant..."
Lui murmura t-il, en lui prennant la main. Quelque part, çà lui faisait mal de voir Corail dans cet état, déjà il avait eu peur quand Tara s'était emparée de son corps, mais là, il devait bien s'avouer qu'il n'était pas indifférent devant elle...

Fraust écouta avec attention le récit de Corail. Il commença alors à comprendre un peu mieux ce qui s'était passé. Mais cela ne changeait en rien ce qu'il pensait d'elle, au contraire.
"Tu te trompes... Je n'ai jamais eu autant envie de te protéger que maintenant."
Il serra dans ses bras la jeune fille, et lui murmura quelque chose, tout bas...
"...Je serais là, je veillerais sur toi, quoi qu'il puisse m'en coûter."
Puis Fraust essuya les larmes de Corail, et l'embrassa, resserant son étreinte.

A la phrase de Corail, Fraust fit une moue enfantine.
"Hey, comment peux tu penser çà de moi!!!"
Répondit-il. Il fallait qu'il se venge pour cet affront. Et la sentence serait... Quelques bonnes chatouilles bien senties!
Il passa ses doigts électriques le long de la taille de sa petite amie, lui chatouillant les côtes, riant comme un enfant...
"Tu sais quoi? Je t'apprécie trop pour avoir de la pitié pour toi!"
Dit-il en lui tirant la langue. Il ponctua sa phrase d'un baiser bien sentit...

La question de Corail fit rougir férocement Fraust. Il n'avait pas vraiment l'habitude d'extérioriser ses sentiments, alors il était assez gêné. Mais cette gêne pouvait, s'il ne répondait pas, donner une fausse réponse à Corail.
Bref, il était assez hésitant à exprimer ce qu'il ressentait, car de plus il ne savait même pas ce dont il s'agissait.
"... Je pense que... j'ai des sentiments pour toi... des choses à dévelloper..."
Voyant qu'il se perdaient dans ses explications, le coeur battant comme jamais, il acheva sa phrase dans un long et passionné baiser.

Fraust poussa un "ouf!" intérieur de soulagement, voyant que Corail s'était contentée de sa bête réponse bafouillée. Il fit se prolonger ce délicat et délicieux baiser.
Puis la même question lui brûla les lèvres...
"Et... Et toi, que ressens-tu... pour moi?"
Fraust s'était légèrement redressé. Ses yeux s'étaient plongés dans ceux de sa petite amie, il se noyait presque dedans... Et son coeur battait anormalement vite...

Voyant Corail rougir fit sourire Fraust, en effet cela la rendait encore plus mignonne selon lui. Et à sa réponse hésitante, son sourire s'élargit encore davantage.
"Ah... Euh, bien..."
Voyant qu'il bafouillait enore, et ne trouvait pas ses mots, le jeune homme décida de parler avec des gestes. Il donna donc un tendre et langoureux baiser à Corail, en la serrant dans ses bras délicatement mais fermement, d'une certaine façon pour signifier son envie de continuer leur relation...
Fraust était un grand maladroit pour les choses sentimentales, il le savait mais essayait malgré tout de faire de son mieux pour extérioriser l'affection qu'il portait à la jeune fille...

La question de Corail fit rire légèrement Fraust. Comment pouvait-elle penser qu'il la considèrerait comme tel?
"Non, pas du tout..."
Sur ces mots, il embrassa Corail, resserrant un peu plus l'étreinte.
"...Tu es une fille bien..."
Un léger rougissement plus tard, Fraust dérobait un nouveau baiser à sa petite amie, en faisant glisser ses doigts le long de sa joue...

Lorsque, toute tremblante, les larmes aux yeux, Corail dit à Fraust qu'il allait mourrir, celui-ci s'asseya à côté d'elle, et lui prit la main.
"Non, je ne mourrais pas..."
Répondit le recteur dont la voix trahissait une légère inquiétude.
Tara vivant dans le corps de Corail, en prennant possession par moments, Fraust en était à se demander comment il devrait faire si Tara voulait le tuer... Serait-il obligé de faire du mal à Corail?
Fraust chassa très rapidement cette pensée, ne voulant même pas imaginer ce qu'il devrait faire. Mais il avait peur que çà lui coûte. Très peur en fait, bien qu'il n'en laissa rien paraitre...
Fraust regarda Corail, lui fit un petit sourire, et lui donna une bise sur la joue...
"Faisons une promesse, d'accord? Si un jour, l'un d'entre nous a des problèmes, l'autre viendra à son secours... Tu veux?"

"Tu n'as pas à l'être..."
Répondit doucement Fraust. Après tout, ce n'était pas de sa faute si un esprit avait prit possession d'elle.
"Saches que je serais toujours là pour toi, d'accord?"
Fraust embrassa longument Corail, la serrant autant qu'il pouvait contre lui... Après ce long moment passionnel, il acheva sa pensée sur un:
"Je ne te laisserai pas... jamais..."
Après quoi il se blottit contre sa bien-aimée, enfouissant son visage dans son cou...

A la question de Corail, Fraust se dit qu'elle avait raison, ils ne connaissaient que peu de choses l'un de l'autre, et pour faire évoluer leur relation, il faudrait en penser par là.
Le recteur fit rouler ses doigts, produisant ainsi quelques éclairs dansants sur sa main.
"Je suis l'unique Mutant électrique au monde. J'ai été entièrement crée en laboratoire, sur la base d'un nourrisson humain que j'étais, gracieusement donné par ma mère pour quelques billets..."
A ses quelques paroles, Fraust se tût. Il n'aimait guère parler de son passé, mais il savait qu'il fallait passer par là, pour Corail. Son regard s'obscurcit alors...

"L'unique puis entendant la suite elle baissa les yeux, pour reprendre une fois qu'il eu fini, Je... je suis désolée...Je ne savsais pas que l'on méttait des mutants en labos, ou du moins qu'on en créeait...comment peut on donner son enfant..."


C'était maintenant a son tour de montrer se qu'elle savait faire...Elle ferma les yeux, et se concentra sur la chemise que portait Fraust, et quelque dixieme de seconde plus tard, elle lacha son proprietaire pour venir dans la main de la jeune fille...Elle rouvrit les yeux un leger sourire aux lèvres...Puis elle ce décida a montrer la partie qu'elle maitrisait le mieux, elle tendit sa main qui devint d'un vert électrique projetant une lumière de la même couleur, et fit voler une lampe a travers la pièce...

Comment peut-on donner son enfant... Voila une question qui avait traumatisé Fraust pendant toute son enfance. Il n'avait jamais trouvé la réponse...
Puis le recteur se sentit soudainement un peu nu. Corail lui avait dérobé sa chemise sans qu'il s'en aperçoive. Ce qui fit naître un sourire sur le visage du jeune homme.
Enfin, elle utilisa un étrange rayon vert pour déplacer une lampe dans les airs. A son tour, il pointa un doigt vers l'objet en question, et lui envoya un éclair statique, qui lui aussi permettait de déplacer des objets à distance. Il accompagna alors le rayon de la jeune fille pour rammener la lampe à sa place.
Fraust tendit ensuite sa main avec un grand sourire légèrement pervers, voulant se rhabiller si Corail le lui permettait bien sûr!

La petite blague de Corail fit rire Fraust. Il ne savait pas encore où la jeune fille voulait en venir, mais l'idée l'amusa.
Le jeune homme se laissa entraîner dans les bras de sa douce, se laissa embrasser avec plaisir, faisant jouer sa langue avec celle de Corail.
Sans le faire exprès, il bascula sur elle, l'allongeant sur le lit et se retrouvant au dessus d'elle. Il eut un doux rire d'enfant suivit d'un sourire simple mais joli, et reprit possession des lèvres sucrées de sa petite amie... Ce qu'il pouvait les adorer...
Finallement, Fraust bascula sur le côté, et reprit ses embrassades, sans laisser le temps à Corail de reprendre son souffle...

La petite phrase hésitante de Corail fit son effet, Fraust voulait maintenant savoir ce qu'elle n'avait point dit.
"Tu crois que quoi? Allez, dis-moi tout!"
Demanda t-il sur un ton taquin, un sourire coquin aux lèvres...
Par la suite, il remarqua que la jeune fille se faisait plus entreprenante, ce qui ne déplaisait pas au Mutant électrique. Les mains posées sur les fesses de sa douce, il donna de nouveaux baisers enflammés sur les lèvres puis dans le cou de Corail.
Au final une de ses mains remonta le long de la taille de sa petite amie, pour pouvoir la serrer un peu plus fort contre son torse, sous lequel son coeur battait si fort...