E637-MOL : Will Raincraft

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Le corps inconscient du jeune cobaye fut déposé sans douceur sur le sol froid de la cellule, son nouvel habitat pour les prochaines années à moins qu'il ne progresse et ne devienne membre d'une division. Ce serait possible après tout, tout était possible à la GC. (Même mourir dans d'atroces souffrances c'est dire).

Valentin regarda sans un seul signe d'émotion le nouveau cobaye : E637-MOL, son nouveau matricule à partir de maintenant. Ce serait quelqu'un d'autre qui s'occuperait des tests pour connaitre son pouvoir. Mais Valentin était curieux et la curiosité de Valentin demandait toujours des réponses.

Il lança un seau d'eau glacée sur le visage du cobaye et demanda d'un ton calme.

Sais-tu que tu as un pouvoir mutant ? Si oui parles m'en immédiatement !

Ce n'était pas un conseil, mais pas du tout ...

Invité

Will faillit s'étouffer lorsque l'eau glacé du seau lui était arrivé en pleine tête, le faisant tousser à cause de l'entrée de cette dernière dans ses poumons. Que faisait il à terre ? Et pourquoi venait il de se prendre un grand seau glacé en pleine poire ? Il vit l'ange bizarre non loin de lui, le seau encore à la main. Ainsi, c'était lui le petit plaisantin qui venait de lui balancer le seau d'eau en pleine poire. Puis il regarda autour de lui. Où était il donc. Et quesqu'il lui était donc arrivé ? Que faisait il ici ? A terre et trempé ? Avant qu'il n'ait le temps de répondre à une seule de ses questions, L'ange lui aboya :

Sais-tu que tu as un pouvoir mutant ? Si oui parles m'en immédiatement !

Que, quesqu'il avait donc. Et pourquoi voulait t'il s'avoir de quel pouvoirs était doté Will ? Et pourquoi lui parler comme sa. Il regarda rapidement autrour de lui? Une cellule. Ce fut la première chose à laquelle il pensa en voyant la pièce. Il se tourna vers l'ange, et lui lacha:

-Où suis je ? Quesque tu m'as fait !? Et si tu veut savoir si j'ai un quelquonque pouvoir, tu peut te brosser !

Mauvaise idée, trés mauvaise idée... Mais sa il ne le su malheureusement pour sa personne que trop tard.

Invité

Mais il se prenait pour qui E637 ? Un homme libre ? Il n'était rien, rien du tout et Valentin lui avait tout pouvoir sur lui. Il pouvait lui faire ce qu'il désirait et cela ne serait certainement pas agréable du tout. Valentin était impatient de mettre en application quelques leçons de torture qu'il avait lues dans son livre de chevet : Mille et une façons de torturer un otage sans le tuer, du débutant à l'expert.

Il avait déjà expérimenté les pages 12, 145 et 354 mais il lui restait tant de choses à tester. Comme par exemple enfoncer la tête de l'interrogé dans une cuvette de toilettes et tirer la chasse plusieurs fois, effet d'étouffement garanti. Mais il fallait une cuvette de toilette, chose peu transportable. Il allait essayer autre chose avec le petit garçon qui se trouvait dans la cellule. Cela allait être fort amusant.

Il ouvrit la porte et entra dans la cellule pour s'approcher du cobaye. Il lui fit un beau sourire sadique et tendit les bras pour l'immobiliser. Et hop un air bien dur qui maintenait le cobaye en place. Mais pas autour de sa tête, il fallait qu'il reste en vie pour souffrir...

Valentin approcha sa main du visage du jeune homme avant de la descendre vers son torse et de le caresser lentement.

Tu es à ma merci, combien de temps vas-tu résister quand j'aurais commencé à m'amuser avec ton corps. Je peux te faire hurler de douleur, ou bien encore te rendre aussi doux qu'un agneau entre mes bras. Alors comment veux-tu souffrir ? Quelle torture souhaites-tu ? Ton corps n'est plus à toi mais à moi à présent, que pourrais-je bien lui faire subir ?

Il se recula et admira la statue devant lui. Si ce jeune mutant ne répondait pas, il risquait d'être très rapidement dompté par un ange très très sadique.

Invité

Will voulu se lever, mais l'ange sadique en avait décidé autrement. Il était rentré dans la cellule, et avait tendu sa main vers lui. Soudain, il se sentit pris dans un étau, incapable de bouger , mis à par la tête qui était resté libre. Ainsi, c'était sa qu'il avait ressentit dans cette ruelle. C'était lui qui l'avait bloqué ainsi, le forcant à l'aider. Et c'était lui encore qui s'avancait maintenant vers le pauvre Will, un sourire au visage et quelque chose dans le regard qui fit froid dans le dos de notre prisonnier. Il avait toujours fait confiance à son instinct. Et aujourd'hui, ce dernier lui disait de façon claire et pressé "Casse-toi vite de là ! Ce type est complètement taré !". Mais pour la première fois depuis qu'il était dans la rue, Will ne put pas suivre ce conseil. Et il vit l'ange démonique s'approcher de lui, approchant sa main de son visage, Will faillit d'ailleurs la mordre, avant de la descendre sur son torce et de commencer à carresser ce dernier, fichant la chair de poule ainsi qu'une impression et expression de dégout a Will.

Tu es à ma merci, combien de temps vas-tu résister quand j'aurais commencé à m'amuser avec ton corps. Je peux te faire hurler de douleur, ou bien encore te rendre aussi doux qu'un agneau entre mes bras. Alors comment veux-tu souffrir ? Quelle torture souhaites-tu ? Ton corps n'est plus à toi mais à moi à présent, que pourrais-je bien lui faire subir ?

Puis cette phrase dite, il se recula un peu pour observer Will, la lueur dans son regard gagnant en intensité, tout comme la terreur de Will. Ce dernier cracha, et son jet atterit sur la botte de l'ange

-Va rotir en enfer !

Invité

Heu quoi ? Rôtir ? Oui un bon rôti c'est délicieux, surtout quand c'est bien cuit et bien ficelé. Ficelé ? Mais ça c'est une idée ... Valentin regarda sa chaussure salie et l'essuya sur la jambe de son prisonnier.

Alors tu as encore le choix, la manière douce : tu me dis ce que je veux savoir et je te laisse en paix. Ou bien la manière forte.

Puis il se mit derrière son prisonnier immobilisé et sortit un couteau de sa poche. Il posa la lame sur le cou de sa future victime tout en soufflant doucement sur la peau. L'air froid renforçait l'impression de chair de poule qui ornait le cou délicat du jeune homme. Il se lécha les lèvres et commença son travail de découpe. Et hop on coupe les vêtements laissant apparaitre le dos nu, puis on passe doucement la lame sans appuyer sur la peau pour ne pas la trancher. Mais au moindre mouvement brusque du cobaye le sang pouvait perler. La douleur n'est jamais nécessaire dans un moment de torture, la peur peut souvent se suffire à elle-même. Valentin murmura à l'oreille de son prisonnier.

Dernière demande avant que je m'amuse avec ton corps, tu crois que tu vas aimer sentir les lambeaux de ta chemise s'enflammer sur ta peau ? Sachant qu'ensuite je pourrais aussi m'amuser avec le reste de ton corps. Alors petit, n'as-tu pas peur ?

Il désactiva son pouvoir sur le corps du gosse et se recula en souriant perversement. Il allait s'amuser réellement avec ce petit cobaye, enfin, sauf s'il avait ses informations. Mais que le gamin ne résiste pas le décevrait particulièrement...

Invité

L'ange essuya le cracha, qui avait attérit sur sa chaussure après une joli courbe dont le galbe pouvais faire penser à celui d'un arc-en-ciel ou bien à celui créer lorsque un ballon rencotre le pied d'un footballer, et qu'apprès avoir fait une brève connaissance, ils se repousse plus ou moins fort et loin selon le footballer et son envit, sur le pantalon de son petit prisonnier récalcitrant qui commencait a comprendre à qui il avait a faire. Et que il pourrait surement mourrir "malencontreusement" de la main de l'ange démaniaquement taré.

Alors tu as encore le choix, la manière douce : tu me dis ce que je veux savoir et je te laisse en paix. Ou bien la manière forte.

Allons bon. Le voila qui lui donnait des choix sur lequel il hésité. Il savait qu'il avait un pouvoir, sa c'était indeniable, et d'ailleur cela lui avait pourrit la vie plus que autre chose, mais il ne connaissait pas ce pouvoir et ne savait pas en quoi il consistait exactement. il savait que parfois, il pouvait souder deux objet ensemble, sous le coup d'un émotion forte, mais sa connaissance de son pouvoir s'arrété ici. Il ne savait pas du tout se qu'il pouvais faire de plus avec ce don qu'il avait reçu de son père. Pus il vit son geolier se mettre derrière lui, et endendit le bruit de quelque chose que l'on sort d'une poche. La morsure de l'acier qu'il sentit rapidement sur son cou le renseigna très rapidement et très clairement sur ce que ce tarè avait sortit de sa poche, avant de lui coller contre son cou. Il sentit ensuit l'air froid que lui envoyé son bourreau, chose qui accentua son effet de chair de poule au niveau de son cou. Puis la pression de la lame en acier tranchante du couteau s'estompa, le temp que son t-shirt cris son agonis avec un "shrisch" au moment oçu ce dernier fut coupé. Puis la morsure de la lame fut de nouveau présente, dans son dos cette fois ci. puis son bourreau lui murmura à l'oreille :

Dernière demande avant que je m'amuse avec ton corps, tu crois que tu vas aimer sentir les lambeaux de ta chemise s'enflammer sur ta peau ? Sachant qu'ensuite je pourrais aussi m'amuser avec le reste de ton corps. Alors petit, n'as-tu pas peur ?

N'as-tu pas peur ? Au que si il avait peur, il avait les fois, tout comme le jour où ses parents se sont fait tuer. Cette peur qu'il ressentait, c'était la même qu'il avait ressentit ce jour la. La peur de mourrir. Mais il tenta de la cacher, avala sa salive, et répondit d'une fois qui manquait de force:

-Je ne te ferais pas se plaisir.

Invité

La pauvre petite chose tremblotante, elle ferait presque pitié à Valentin, enfin seulement presque parce que tout le monde sait bien que Valentin est un sans coeur... Et quand il trouve un jouet qui lui résiste on croirait qu'il devient comme un bébé. Vous savez le genre de bébé adorable mais qui déteste qu'on lui résiste et qui finit par balancer le jouet sur le sol pour qu'il se casse. Et bien Valentin allait casser le jeune homme en face de lui. Par physiquement, mais mentalement. Il allait lui apprendre à faire des cauchemars digne du film d'horreur le plus horrible qui soit.

Il regarda le dos offert et décida de prolonger l'attente, la douloureuse attente du début des hostilités. Et pour cela, rien de mieux que de se rapprocher encore du cobaye et de finir par le coller contre un mur. Plaqué entièrement contre le corps de Valentin. L'ange décida de s'amuser de manière très conventionnelle et il attrapa froidement le bras du garçon avant de commencer son oeuvre. Leçon page 389, comment dessiner sur la peau : Prendre un couteau bien affuté et tracer des motifs simples pour débuter. Et c'est ce qu'il fit, il entailla la peau nue et commença le tracé d'une courbe partant du dos de la main pour remonter vers le coude. Le sang écarlate commença à couler alors que le regard de l'ange se faisait noir.

Sais-tu jouer avec du sel ? Tu sais, ce qui fais qu'une blessure est bien plus douloureuse ?

Gardant sa victime plaquée contre le mur il approcha sa bouche du cou délicieusement offert, et tel un vampire étrange il déposa ses canines sur la peau tendre du jeune mutant. Miam, le goût de la frayeur ...

Invité

L'ange semblait serieusement atteint, et plaqua sa proie, car il n'y avait d'autre nom à donner au petit malandrin qui se faisait torturer, tel un chat qui s'amuse avec une toute petite souris sans defence avant de la manger. Et la, la petite souris sans defence, c'était Will. Il sentit que l'autre en plus de ça se plaquait contre lui, augmentant son dégout envers le démon qui lui servait de bourreau gratuitement, sans engagement et avec un forfait douleur physiques et mentales. Puis le démon sadique lui attrapa le bras, le bloquant pour l'empécher le moindre geste, et commenca son oeuvre. Avec son couteau, il commenca à entamer la peau de Will qui cria de douleur sous l'effet de la lame lui rentrant dans le bras, lui découpant la peau et faisant couler son sang, des larmes lui venant rapidement au yeux pendant que cet espèce de fada commencait son oeuvre de torture, lui ouvrant le bras du dos de la main jusqu'au coude. Will hurlait de douleur, se débattait, mais rien à faire, l'ange continuait son oeuvre imperturbablement, maintenant sa victime qui hurlait de douleur.

Sais-tu jouer avec du sel ? Tu sais, ce qui fais qu'une blessure est bien plus douloureuse ?

Puis il approcha sa bouche du cou de notre victime dans une style qui n'était sans rapeller le style inimitablement vampirique d'un certaint comte Von Dracula, vampire de sa profession, le bourreau déposant ses canines sur son cou pendant que ce dernier tentait de contenir ses cris avec un succes mitigé, se délectant de la peur et de la douleur que ressentait Will

Invité

Les oreilles de Valentin, tout aussi belles que le reste de son corps, s'étaient habitués au fil des ans aux cris des cobayes. Et encore là, il n'était pas trop démonstratif, il avait encore de la voix et n'était pas devenu incapable de parler à cause de la douleur et des cordes vocales abimées. Là c'était simplement l'échauffement et Valentin se demandait toujours comment un enfant aussi jeune pouvait résister aussi longuement à la douleur sans craquer.

Il garda son corps collé à celui du cobaye, marquant ainsi sa domination évidente et pris son autre bras sans aucune douceur. Il mordit le cou du prisonnier tout en reproduisant le dessin sanglant et en se délectant des cris.

A quoi cela te sers-t-il de te taire ? Dis moi ce que tu sais sur ton pouvoir et la douleur partira. Sinon je peux aussi marquer le reste de ton corps, imagine un instant ce que cela ferait si je décidais de dessiner sur ton dos, ou bien sur d'autres zones encore plus sensibles.

La lame passait et repassait devant le visage du cobaye, Valentin était de plus en plus avide de sang. Cela faisait si longtemps qu'il n'avait pas torturé un nouveau cobaye, il pouvait le faire hurler, l'entendre supplier que la torture cesse enfin car après tout, les simples coupures n'étaient pas mortelles, mais diaboliquement douloureuses. Et si cela ne suffisait pas, il pouvait aussi broyer les os des mains ou bien faire bien pire.

Valentin se recula, laissant le cobaye se demander ce qui allait ensuite lui arriver. Car dans une séance de torture, l'attente du prochain coup était aussi terrible que le coup en lui-même. Il s'installa dans un fauteuil d'air et regarda son oeuvre. Magnifique, deux bras en sang avec des marques parfaitement symétriques, il n'y avait pas à dire, Valentin était un artiste.

Invité

Il hurlait, hurlait de douleur sous les traitement de son boureeau angélique, qui, non content de lui avoir taillardé un bras du dos de la ùain jusqu'a coude, lui provocant des douleurs intolérable et des cris qu'il avait tenté de retenir, sans un grand succes.. Et son bourreau s'acharnait, Lui mordant le cou, et tout en entaillant son autre bras avec le même couteau. Ses deux bras le faisait souffrir le martyr, découpé par la lame du couteau de cet ange de la mort, mais étrangement, il ne voulait pas s'avouer vaincu. Etait-ce du sadomasochisme ? Non, juste qui Will ne voulait pas craquer aussi vite face a son bourreau, Il ne voulait pas dévoiler si vite ce que ses parents avaient payé de leurs vie, il ne voulait pas salir leur mémoire en révélant son pouvoir à cet énergumène diabolique. Il resistait donc, s'accrochant au dernier regard que lui avait lancé ses parents, dans un état presque second. Il arrivait a baisser légèrement la douleur que lui infligait l'autre grace à leur souvenirs, mais es que cela tiendrait longtemps ? Ça, il ne le savait pas. Mais resisterait le temps qu'il faudrait.

A quoi cela te sers-t-il de te taire ? Dis moi ce que tu sais sur ton pouvoir et la douleur partira. Sinon je peux aussi marquer le reste de ton corps, imagine un instant ce que cela ferait si je décidais de dessiner sur ton dos, ou bien sur d'autres zones encore plus sensibles.

Et voila que son bourreau se retirait, observant son oeuvre d'art avec un regard qui disait long sur la satisfaction qu'il éprouvait à les voir, toutes ces scarifactions qui ornait les bras de Will. Il s'amusa a faire passer son couteau devant les yeux de Will, se délectant de sa peur comme d'un nectar. Il faisait durer pour lui filer encore plus la frousse, mais Will lui dit:

-Tu....tu t'arrete ?....Ben alors ? ... Tu n'as plus.....D'idées petit loup ?, réussis t'il a articuler avec effort.

Invité

Orgueil mal placé, quand tu nous tiens. Parce que là c'était de l'orgueil pur et simple qui poussait Will à résister encore et toujours à l'envahisseur. Mais malheuresement pour lui, pas question de potion magique pour l'aider à se sortir de la situation dans laquelle il s'était fourré tout seul comme un grand. Et Valentin n'était pas du tout impressionné par la résistance qu'il mettait en avant. Quel imbécile, ils avaient tout leur temps et lui continuait à faire comme s'il n'était pas en danger ! Pourtant Val n'était pas le plus grand danger de la GC, bien au contraire, lui il ne voulait qu'une seule petite réponse et ensuite il le laisserait tranquille. Mais au lieu de ça, rien, il restait là à hurler et sa voix était de plus en plus faible, pauvre petite chose fragile. Il allait falloir l'aider à préserver sa voix.

L'ange le regarda avec un grand sourire et ramassa le torchon qui lui avait servi de t-shirt avant de le figer dans l'air grace à son pouvoir. Il s'approcha et le contempla quelques secondes, le sang qui s'écoulait de ses blessure ne filait plus hors de son corps, mais au contraire restait prisonnier de l'air durci. Cela donnait un effet des plus esthétiques et Valentin se surprit à avoir envie d'un appareil photo pour immortaliser cet instant. Mais pas le temps, il avait d'autres choses à faire et le cobaye le retardait. Donc, moralité, il fallait accélérer la torture. Valentin épongea le sang sur le sol avec le t-shirt tout en maintenant son pouvoir actif. Et ensuite il approcha le tissus souillé du visage du prisonnier.

Tu as soif j'espère. Si tu veux parler hoche la tête d'avant en arrière, sinon tes cris m'ennuient.

Il força la bouche du cobaye à s'ouvrir en appuyant sur son bras et enfourna le t-shirt trempé de sang comme un baillon. Puis, il désactiva son pouvoir tout en approchant une fois encore son couteau. Cette fois c'était le torse du jeune homme qui était visé, un endroit où la peau était très très sensible et où la douleur serait fortement présente. Mais Valentin n'avait que faire de la douleur, aucune des blessures n'étaient mortelles, simplement douloureuses, des coupures faisant ressentir la douleur. Et là, sur le torse du jeune mutant il allait passer à l'art figuratif. Un jeune ange avait besoin de religion alors quoi de mieux qu'un lutrin (présentoir pour faire reposer la bible dans les églises) en forme d'aigle pour marquer sa patte ...

E637-MOL : Will Raincraft Predigerkaigle1hyperbon

E637-MOL : Will Raincraft Predigerkaigle1hyperbon

HRP tu en as de la chance non ? Autre chose, tu vas devoir décider très vite ce que tu comptes faire, sinon la perte de sang te fera t'évanouir...

Invité

L'autre avait sourit lors de la tentative de raillerie de Will qui n'avait pas eu l'air de l'énerver, la tentative, pas la pauvre loque qu'est entraint de devenir Will, soyon d'accord, au contraire, il sembler aussi calme que lorsque il découpait les bras de notre petit prisonnié, enfin, il ne semblait pas très calme lorsqu'il le faisait, jubilant plus que autre chose, mais bon enfin l'effet estompé n'était pas au rendez-vous. Le bourreau ramassa alors ce qu'il restait de son t-shirt, c'est a dire des lambeaux, et épongea le sang de will étant tombé au sol avec. Mais entre le moment où il avait récupéré ce reste de t-shirts, et le moment ou il était devenu une petite femme de mménage pour prisonnier, le sangf des blesure de Will avait arrété de couler. Il s'était ficger en lair, ne sortant plus de la plaie. Puis il approcha les lambeaux souillé de sang du visage de Will.

Tu as soif j'espère. Si tu veux parler hoche la tête d'avant en arrière, sinon tes cris m'ennuient.

Que voulait il dire par:"tu as soif j'espère" ? il allait encore lui balancer un sau d'eau en pleine poire, il aller le laisser comme sa, agoniser lentement lorsque le sang se remettrait à s'écouler ? L'esprit de Will commencait déja à se brouiller, et sa vision s'en faisait ressentir, plus flou et pleine de pappillon noir qui devenaient de plus en plus nombreux, obscurcissant sa vision. L'autre lui mit les lambeau dans la bouche en appuyant sur son bras pour l'obliger à l'ouvrir. L'autre arréta le pouvoir qui maintenait le corps de Will, et ce dernier s'effondra. Il n'en pouvait plus. Le douleurs et le manque de sang lui faisait avoir des hallucination. Il voyait sa mère et son père derrière son bourreau. Sa mère et son père qui lui souriaint tout deux. Il réussit a articuler un "maman..." tout en tentant de tendre un bras vers eu. Mais la douleur était trop forte. Il les vit qui commencait à disparaitre, devenant de plus en plus translucide, en lui faisait un au revoir. Il gémit incapable de les rétenir, et tenta lme tout pour le tout. Utilisant ce quilui restait de force, ainsi qu'une force dont il ignorait l'origine, il poussa soudain Vallentin au moment où ce dernié ne s'attendait pas, le faisant tomber sur les fesses. Il se releva, au bords de l'inconscience, et eu juste le temps d'atteindre les barreaux en fer des cellules. Au moments où il tomber inconscient, , une douleur immence à la jambe, il s'appuya sur les barreaux. Il y eu un flash de lumière, et Will fut à terre, respirant à peine, prèt a mourir. Les barreau avait changé de forme. Il était devenu une hirrondelle, libre et fragile. Will ne réagissait plus. Sans le vouloir, il l'avait montré, cette chose qui l'empéchait de vivre correctement depuis plusieurs années. Son pouvoir de mutant.

Invité

Et un nouveau cobaye dans les pommes, ce n'était pas agréable du tout ça. Il fallait trouver un moyen qu'ils durent un peu plus longtemps. Enfin, cela aurait au moins permis à Valentin de découvrir le pouvoir qu'avait le gars, mais ce n'était pas amusant. Il allait falloir l'étudier de prêt ensuite. Et éventuellement le soigner... mais ce n'était pas le plus pressé.

Valentin sortit de la cellule et fit signe au garde d'appeler l'équipe médicale. Les tests et les soins suivraient.

TERMINE pour Val et pour ta première journée à la GC.