Réponse à Fellipe

Arok se dirigeait vers l'atelier électronique de cet effronté de Spike, le fax de Fallipe à la main. Vassili était déjà parti s'équiper. Arok toqua à la porte de l'atelier et rentra dans la petite pièce. Il vit Logan entrain de trafiquer un truc sur son établi.

Arok l'interpella et lui demanda s'il était possible de répondre immédiatement à Fellipe. Il écrivit ensuite le fax à envoyer :

Citation :

Authorisation 543C


Expéditeur : Base du M.I.L.

Lien : Inconnu



Sujet : Travail accepté


Salut Fellipe.

Merci d'avoir penser à nous pour cette mission. Nous allons décoller d'ici deux petites heures. D'ici là j'aimerais que tu m'envoies un peu plus d'infos sur l'objet en question ainsi que le lieu ou il se trouve. Quel genre d'équipements prendre. Risque d'affrontements importants??

Merci de ta réponse dans les plus bref délais.

Colonel Arok

Il tendit alors la feuille à Logan et lui dit :
"Dans deux heurs, trois au plus tard fait en sorte que l'hélico soit en état pour nous amener au Panama. Tien moi au courant de la réponse de Fellipe dans les plus bref délais!! Je vais à l'armurerie chercher ce qu'il me faut."

Sur ses mots le colonel s'éloigna vers l'armurerie.

Logan leva le nez de son dernier projet expérimental de munition perce-blindage pour se retourner en direction du représentant de la plus haute autorité du M.I.L., j'ai nommé: le colonel Arok, of course!

Spyke attrapa le fax et roula avec sa chaise jusqu'à la machine qu'il délocka manuellement, pour une fois. En quelques instants, le fax était parti à bon port. Logan avait bien sûr pensé au petit détail que le colonel avait zappé: donner un numéro de portable au destinataire, vu que s'il répondait un fax lorsque le M.I.L. serait parti, et bien çà ne servirait à rien!

"Bien mon colonel, la bête sera prête dans moins de deux heures montre en main!"

Répondit enfin le technicien du M.I.L. à son supérieur, avant de se lever et de prendre quelques outils pour vérifier l'appareil, ainsi que un gilet en kevlar sans manche portant l'insigne brodé du M.I.L., sur lequel il passa une cartouchière vide. Enfin, il ouvrit son armoire pour embarquer son joujou préféré, le Benelli M3, dans le cas où il aurait à participer de façon plus "active" à la mission.

Avec tout cet attirail entre les mains, Michael vérouilla mentalement la machine qui passa alors en mode crypté, et quitta la pièce direction l'héliport...

[From l'armurerie]

Le colonel venait de croiser Vassili, devant l'armurerie, en se rendant dans l'atelier de Spyke pour voir si Fellipe avait répondu au fax.

Le colonel se retrouva donc au milieu du bordel de Spyke. Il chercha le fax sous les papiers qui envahissait le bureau lorsqu'il se rendit compte que le dit fax se trouvait sur la chaise...

*Qu'est ce qu'il fait la ce fax??* s'interrogea le colonel
*Il en fait quoi??* le colonel hésita un peu à toucher le fax. Il sentit ce dernier de très loin grâce à son fort odorat. Aucune odeur corporelle sur le combiné... Ca va... On peut toucher...

Le colonel attrapa l'antiquité... C'est vrai qu'à cette époque encore très peu de personne communiquaient par fax mais cela en faisait du coup un moyen de communication oublié par les espions...

Il posa finalement l'engin sur le bureau, au milieu des papiers... Il y eut un petit *Crack* lorsque le colonel posa le fax sur le bureau...

*Tant pis... On va avoir des sous de toute façon. Alors je le lui repayerait...!*
Car c'était bel et bien la raison qui faisait que le colonel était aussi excité qu'un enfant de six ans la veille de Noël. Le M.I.L. allait renflouer ses caisses et c'était un point particulièrement réjouissant pour le colonel...

Seulement Fellipe n'avait toujours pas répondu... Le colonel décida donc d'attendre environ dix minutes. Ce qui laissait donc le temps à Vassili et Kelian de se rendre à l'héliport...

Authorisation 542C


Expéditeur :Centre relationnel Cortez


Lien : Inconnu



Sujet : Catégorie A , Travail urgent , Commanditaire inconnu ...



Hola , je te fait passer un document joint pour la localisation amigo ! POur le matos , prends du lourd , tu risque d'avoir des cabrons assez nombreux et lourdement armés ! Prends aussi de quoi passer le mur d'entrée , ils sont pas assez loco pour ouvrir la porte ! POur ce qui est de l'objet , il se trouve dans un coffret métallique estampillado par les lettres P-01 . Je te conseille aussi de prendre avec toi des outils para ouvrir le coffre blindé ...

Une fois que tu aura récupéré l'objet passe me le remettre , je te donnerais les dineros ....

Buenos dias .....


Fellippe Cortez

COmmunication Ended

La réponse ne se fit pas attendre longtemps. en effet, a peine le colonel avait il laché le fax que ce dernier cracha un bout de papier. Le colonel l'arracha un première fois... Puis une deuxième.

Tenant un morceau de fax dans chaque main il reconstitua l'information. ainsi donc ils allaient être confrontés à du lourd?? Il fallait prendre de quoi ouvrir la porte... et le coffre...

Le fax émis un petit couinement pour attirer l'attention du colonel et cracha un autre bout de papier.

Il s'agissait de la pièce jointes que mentionnait Fellipe. Sur ce fax était inscrites les coordonnées du lieu à attaquer.

Le colonel fourra les trois bout de papiers dans sa poche, et remonta à l'armurerie. Il avaler les marches quatre par quatre. Arrivé devant l'armurerie il ouvrit la porte et rentra.

Il regarda combien d'emplacement était encore libre sur son gilet par balles...

*...3...4...5... 5poches de libres!*

Le colonel pris trois grenades à fragmentation et deux chargeurs de plus. Les deux chargeurs occupants une seule poche il tira un petit tiroir pour prendre un peu de C4 et là horreur!! Ce dernier avait disparu!!

*Quelqu'un d'autre à du le prendre pour une autre mission!* songea le colonel un peu ennuyé. Il attrapa alors une caisse en bois ou il mit une dizaine de grenades à fragmentation pour Aube et Kelian...

*Sacré Fellipe! Pouvait pas le dire avant?? De quoi j'ai l'air moi maintenant??* pensais le colonel.

Ce dernier allait sortir avec sa caisse en bois comportant finalement plusieurs grenades de tout types ainsi que pas mal de chargeurs. Le colonel ferma la porte du pied avant de retourner dans la salle pour prendre avec lui une barre à mine qu'il examina avec attention

*Sa devrait faire l'affaire pour ouvrir ce coffre... Sa peut même servir d'arme de discussion massive avec les fortes têtes...* cette blague fit sourire le colonel qui attaché la barre à mine de la Jackie Industries à sa ceinture.

Il sortit, souleva la caisse en bois et se dirigea vers l'héliport!