[Nawel] Réveillon insolite

L'Ecosse...Un pays symtahique se trouvant en europe, emplie de mythes et légendes...Un coin pas mal pour un assassinat de Noël, meme s'il y faisait très froid...Bon, vous l'aurez compris. Hitori était encore en mission, meme pour le réveillon de Noël la faucheuse ne s'arrétait jamais. Le plus stupide dans cette histoire c'était que cette fois-ci la cible avait environ 70 ans et elle avait déjà un pied dans la tombe. Quelle utilité de tué un viellard qui allait certainement mourire de crise cardiaque avant la fin de l'année, je vous le demande.

Les messieurs big boss de la GC étaient assez tetu et ne voulaient pas entendre grand chose a ce sujet, surtout venant de la part d'une simple tueuse. Ainsi pendant que eux étaient en train de feté un bon Noël au chaud, chez eux, dans leurs pays d'origine Hitori était en train de se les pellé a Huit heure trente trois du soir, devant la porte d'un énorme château qui n'avait meme pas de sonette. Ce viellard était riche, pourtant il était trop radin pour avoir une sonette et un pallier. Ca commençait bien...Pour le reste il n'y avait plus qu'a esperé que la nouvelle cible d'Hitori n'allait pas clamsé avant d'ouvrire la porte tellement il était vieux. Ca serait quand meme dommage d'avoir fait tout se voyage pour qu'il finisse avec une mort naturel sur le dos. Et donc la demoiselle cogna sur la porte trois fois, avant de s'arreter et d'attendre qu'on ne vienne lui ourvire au plus vite.

La solution était de le tuer juste après qu'il ait ouvert la porte pour ensuite se faire un bon sprint jusqu'à son prochain vol. La mission serait donc fini en a peine quelque minutes. Tant mieux. Meme si l'Ecosse était un pays qui dans l'ensemble avait l'air assez sympas Hitori n'aimait pas vraiment le froid et avait envie de prendre des vacances bien meritée pour Tahiti ou un autre pays pour vacanciés de ce genre...Après tout un bon professionnel se devait de prendre de bonne vacances pour pouvoir mieux travaillé le reste de l'année.

Le seul problème c'est que la jeune tueuse ne se doutait pas qu'un type au cheveux blanc allait débarqué de nul part et qu'il la forçerait a passer un Noël avec un tas de monde sans importance tous plus chiant les uns que les autres. Décidément cette mission de routine allait s'averé etre un véritable calvaire, mais bon...Au moins la jeune femme aurait l'occasin de manger de la bonne cuisine et de boire du bon vin.

Nous voici donc à Glasgow, capitale de l'Ecosse, en plein centre de cette vieile ville remplie d'histoire. Un taxi s'arrête devant le parc d'un immense château à l'allure à la fois sinistre, inquiétante, mais extrêmement faste. C'était la demeure d'un illustre savant de ce siècle, un dont on peut dire qu'ils ont changé le monde ces dernières années, avec ses travaux brillants sur le génome humain. Le pofesseur Mac Intosh, peut-être le seul scientifique au monde ayant de la sympathie et du respect pour l'espèce Mutante, puisqu'étant l'un de ses dignes pères...

Le taxi s'arrêta, donc, et un homme aux cheveux d'argent en descendit, avec un sac de voyage sur l'épaule. Vous avez reconnu Fraust, le recteur de la Faculté, l'un des Mutants les plus côtés et les plus recherchés au monde... Mais que diable fichait-il en Ecosse? Et bien, quelques jours plus tôt, il avait reçu un appel du professeur Mac Intosh, qui semble t-il venait de quitter la Genetics Corporation. Il avait apparement des choses à révéler à la presse, mais avant tout à Fraust, concernant les nouveaux programmes et les objectifs de la firme multinationale. Ce qui pouvait s'avérer être un élement d'une importance capitale pour érradiquer cette dernière. C'est pourquoi Fraust avait prit le premier avion, répondant de ce fait à l'invitation du prof à passer la nuit du 24 au 25 décembre dans sa demeure, pour lui transmettre donc, quelques infos forts utiles...

Fraust marchait donc vers l'imposante bâtisse, et sa grande porte était maintenant en vue. En continuant de marcher en sa direction, Fraust aperçut bientôt une silhouette devant celle-ci, sûrement une autre personne d'invitée pnsa-t'il, vu que le prof lui avait dit qu'il y aurait plusieurs convives. Mais arrivé à quelques mètres, il ne reconnu que trop bien cette personne pour l'avoir rencontrée deux fois, dont l'une avait amenée un combat assez difficile... La tueuse à gage de la GC!!

"Mais c'est pas vrai!! Que fais-tu ici?"

En réalité, cette question avait été inutile, car la réponse, Fraust la connaissait... Le prof avait raison de se sentir menacé par la GC, elle devait sûrement être ici pour exécuter un contrat sur la tête du pauvre homme, à tous les coups, cela semblait évident... Le recteur posa donc son sac de voyage par terre devant la porte, et se tint à côté de la demoiselle, la regardant d'un regard incisif. Allaient-ils devoir se battre juste là, devant cette porte, alors qu'elle avait peut-être déjà sonné?...

Et non! C'était impossible...Enfin de sonner je veux dire...Bah ouais...Le Mac Intosh était trop radin pour s'acheter une sonette, donc la demoiselle avait simplement foutu des coups de poings a la porte et on était toujours pas venu lui ouvrire d'ailleurs...Mais il fallait dire que de voir Fraust ici c'était assez surprenant. Que diable venait-il faire ici...? Embeter Hitori certainement. Enfin, pour ce soir sa mission n'avait rien a voir avec la faculté, alors peut etre que le recteur lui lacherait les basques et lui permettrait de faire ce qu'elle avait a faire sans trop bronché.En tout les cas la demoiselle répondit a son interlocuteur.

« Je suis en voyage d'affaire... »

C'était drole parce que...Sa phrase semblait etre de l'humour sur l'instant présent, cependant la demoiselle ne plaisantait jamais et n'avait pas l'habitude de sortire des blagues en pleine mission. De plus elle ne savait pas vraiment pourquoi, mais quelque chose lui disait ue l'apparition soudaine et étrange de Fraust allait rendre sa tache encore plus pénible. C'était vraiment pas le moment...Tssss, Fraust ne pouvait-il donc pas feté Noël chez lui, bien sagement au chaud avec ses chers élèves qu'il défendait au prix de sa propre vie? Non, bien sur que non il fallait qu'il vienne mettre des batons dans les roues a une femme d'affaire qui vendait ses services aux plus offrants.

La jeune femme tourna soudain la tete vers la porte. Quelqu'un approchait et s'était enfin decider a venir ouvrire la porte. Comme par hasard le bruit de ses pas étaient accompagné par le celui de la chasse d'eau des toilettes...Hitori ne savait pas qui était venu ouvrire, mais en tout cas il avait bien choisie son moment pour avoir des problèmes d'estomac celui la. Il était vraiment, vraiment hyper dégueu. Décidément c'était un véritable désavantage d'etre aveugle et de se servire de ses autres sens pour se dirigé...En tout les cas Fraust ne pourrait plus engagé de combat maintenant et il avait interet a se tenir tranquille s'il ne voulait pas voir un massacre se produire devant ses yeux en pleins repas de Noël. Après tout la seule et unique personne qui interesseait la jeune femme en cette nuit était le viellard.

Alors çà c'était la meilleure, elle était elle aussi en voyage d'affaire, comme par hasard...

"Voyage d'affaire, tu parles! Je sais bien que tu es mandatée par la..."

Fraust cessa de ruminer sur Hitori en entendant le bruit d'une chasse d'eau, suivit de bruits de pas se rapprochant. On entendit même un bruit de trompette, le vieil homme devait probablement se moucher. Une chose était probable, c'est qu'il avait choppé la mort avant que cette dernière ne l'emporte. Mais passons. Après un "teuheuheuheuuu!" des plus sinistres, le bruit du loquet de la porte que l'on retire se fit entendre, et un grincement plus tard, le professeur apparut dans l'embrassure de la porte...

*Diantre! Il a sacrément vieillit, le prof...*

En effet, le professeur Mac Intosh était plus blanc que neige, enfin physiquement on s'entend. Vêtu d'un de ces immondes pulls en laine aux mailles grossières, un pantalon écru à moitié taché au niveau du bassin, et une canne venait parfaire le tableau. La légende n'était plus du tout ce qu'elle était...

"Fraust! Mon petit, comme tu as grandis!"

Le professeur s'avança encore un peu plus, et tendit avec difficulté une main sur laquelle une petite trainée de morve pouvait se voir. Serrant les dents, Fraust la serra en notant toutefois:

"Professeur... J'ai 22 ans maintenant, je ne suis plus un petit... ^^;; "

Alors que le professeur lâchait enfin sa main, qu'il essuya rapidement, Fraust tourna la tête vers Hitori. Et au même moment, il eut un pressentiment, et à ce moment précis, il se dit que ce réveillon là...

*Cà va pas être de la tarte...*

"Et qui est cette jeune personne, Fraust?"

Demanda Mac Intosh, qui pointait du doigt la jeune tueuse de la GC. Su le moment, Fraust se dit que si il disait la vérité, Hitori ne chercherait pas de complication et tuerait le prof. En plus, fallait avouer que, dans la précipitation, il était pas évident de trouver une réponse de circonstance! La preière chose qui vint finallement à l'esprit de Fraust fut donc:

"Hein?... Ah bah euh... C'est... Ma femme!! ^^;; "

*Put*** c'est vraiment une idée de c** que j'ai eu, quand même...*

"Ahhhh, je comprends mieux! Mais c'est qu'il a bon goût ce petit! Enchanté mademoiselle!"

Le viil homme tendit alors sa main encore morveuse à Hitori, et cette fois c'est Fraust qui se retint de rire, chose assez difficile d'ailleurs, au vu de la situation... Du coup, il préféra s'occuper à ramasser son sac de voyage en dissimulant tant bien que mal son sourire en coin...

Quoi...? Sa femmme...Une main pleine de morve...? C'était quoi tout ces trucs bizarre. Et en plus ce gros tas répugnant croyait qu'Hitori allait lui serré la main, hein? C'était meme pas la peine d'y pensé, en plus la demoiselle avait été élevée au japon et au pays du soleil levant on ne se serrait pas la main pour se salué. Heureusement d'ailleurs parce que sinon il n'y aurait pas eu qu'une seule victime dans le coin...

Restait plus qu'a reglé le problème de la « femme »...Ce Fraust aurait quand meme pu trouvé une meilleur excuse. Bah! Ca lui allait bien aussi. Après tout qui ne revait pas de se marié avec un canon comme notre chere Hitori...Décidément vieux comme jeune les mecs étaient tous des pervers. Bon! Au moins la jeune tueuse allait bientôt pouvoir entré dans ce château et se réchaufé. Pour le reste la jeune femme daigna enfin répondre au professeur et le salua elle aussi, mais a sa manière...

« kon'nichiha ! » Dit-elle avec un ton mélodieux, accompagné d'un très jolie sourire hypocrite qui ne lui allait pas dutout...

Ca avait du bon d'etre élevée par des Yakuza finalement...Au moins ca lui évitait d'avoir a serré la main de n'importe qui.

En tout les cas Hitori avait merveilleusement bien joué la comédie, et son japonais était dénué de tout accent puisqu'elle avait appris cette langue a son plus jeune age. En outre notre chere tueuse arrivait toujours a se tiré de situations périlleuse avec beaucoup plus de facilités que notre cher Fraust. Hitori avait vraiment de très grandes capacités de survie et était assez maligne pour s'infiltré n'importe ou, meme dans une soirée de Noël en étant habillé comme un véritable croque mort.

*Okay...Je rentre, je bois un bon triple wisky, ensuite je conclue mon affaire et je démarre pour Tahiti.*

Il ne restait plus qu'a attendre que le vieux ne se décide enfin a etre galant et ait l'idée d'invité la demoiselle a enyré au chaud...Fraust lui pourrait resté dehors s'il le désirait, après tout il ne faisait pas partie des plans de la tueuse et n'avait rien a faire la.

*Tsssss...Mais quand meme dire que je suis sa femme...*

Elle ne savait pas vraiment pourquoi, mais Hitori sentait que cette histoire de mariage allait pas lui etre avantageuse. Et puis maintenant qu'elle avait vue la tronche complètement dègue de sa victime il fallait que la demoiselle trouve un moyen de la tué, mais surtout elle devait le faire sans touché ce Mac Intosh, sinon ca serait un aller simple pour le lit d'hopitale jusqu'à la fin du mois.Pauvre Hitori...Le jours ou on lui donnerait une mission ou elle ne risquerait pas sa peau n'était pas encore arrivé.

Fraust fut assez déçu que Hitori esquive le serrage de main gluante, d'une façon aussi basse en plus, çà oui c'était un coup bas après ce que lui venait de faire... La soirée s'annonçait extrêmement longue et surtout tordue, çà pouvait facilement se deviner. Toujours est-il qu'après le salut de Hitori "à la japonaise", le professeur rangea sa main dans sa poche, et se sortit de devant la porte pour enfin laisser entrer Fraust et sa "femme"...

"Entrez donc, il ne fait pas chaud hein!"

Fraust laissa par courtoisie son épouse entrer la première, puis passa à son tour le cadre de la porte, lorsque le professeur lui murmura ces mots:

"Tu as bien choisi, mon petit! Et en plus, elle à des fesses magnifiques à ce que je voit! "

"Hein? Ah euh... oui ^^;; "

Dire que çà ne faisait que commencer...

Après s'être un peu avancés dans le couloir d'entrée, nos héros arrivèrent dans une sorte de living décoré de façon très rustique, de vieux tableaux hideux sur les murs, des trophées de chasse même, plusieurs divans de cuir, déchiré par endroits, et en arrière plan, une grande cheminée dont les flammes crépitaient...

Plusieurs personnes étaient là, tenant un verre à la main, debouts ou assises, et tous tournérent leur regard vers les deux nouveaux arrivants... Le professeur fit rapidement les présentations.

"Voici Fraust et son épouse!"

Au nom de Fraust, des murmures parcoururent la pièce, et le regard des différentes personnes devint soit empli de méfiance, soit chaleureux et admiratif.
Le professeur présenta ensuite notre couple d'un soir aux différents convives: il y avait là une paire de journalistes, un autre éminent savant, quelques proches du professeur Mac Intosh, ainsi que ses deux gardes du corps et le personnel. Au total, une petite dizaine de personnes. Déjà, çà commençait à jaser chez les journalistes:

"C'est Fraust, le mutant le plus côté au monde... Je le voyais plus imposant quand même!"

"Arrêtes, t'as vu son regard, on dirait qu'il est capable de tout détruire! Il à l'air supra balèze!"

"Bof... En tout cas, sa femme est un véritable canon... Tu crois que c'est une mutante aussi, John?"

"Je ne sais pas, mon cher Andrew, mais c'est clair, elle est très canon!"

L'une des domestiques, une jeune fille brune habillée comme une soubrette tout droit sortie d'un film pour adultes, servit un verre de vodka à Fraust, et demanda à son épouse ce qu'elle désirait boire...

Ce profésseur était dégueu et en plus c'était vraiment un pervers de première a regarder les fesses d'une femme qui avait l'age d'etre sa fille, voir meme sa petite fille...Et en plus il s'imaginait qu'Hitori ne l'avait pas entendu. Bah! de toute façon ca serait certainement un des derniers commentaires qu'il ferait sur les fesses d'une femme...Pour le reste les invités avaient vraiment l'air monotone, mais ce qui interessait la tueuse pour l'instant c'était surtout les deux gardes du corps qui se trouvaient la...Pourquoi avaient-il laisser le viellard aller ouvrire la porte tout seul et surtout pourquoi étaient-il si éloigner de la personne qu'ils devaient protegé...? Peut etre que finalement il y en avait plus que deux dans le château. Oui, ca devait surement etre ca, ou bien alors les gardes du corps du vieux étaient vraiment incompétent. En tout les cas les autres invités étaient vraiment bruyants et en plus ils n'arrétaient pas de parler pour faire des commentaires aussi stupide qu'inutile. Et puis cette histoire de couple c'était juste du vent, mais au moins Fraust offrait une bonne couverture a la jeune tueuse. Ainsi Hitori allait peut etre se résigné a passé la soirée ici, en compagnie d'une bande de débile mentale tous plus riche les uns que les autres...Après tout il fallait que la demoiselle soit sur et certaine de pouvoir éliminé sa cible sans qu'une centaine de garde du corps ne déboule de nul part pour venir lui barré la route. Ses supérieurs en avaient un peu marre des massacres, aussi ils lui avaient demander un assassina avec un peu plus de finesse pour le soir de Noël. C'est vrai que ca serait bizarre de voir sur la une du journal un titre du genre: « Spéciale massacre de Noël en Ecosse... ». Pour le reste Hitori avait de la chance, la soirée ne demandait pas de vetements particulièrement cher qui appartenait a la haute couture et ce n'était pas non plus une soirée deguisé. Et enfin la demoiselle daigna répondre a la domestique.

« Un triple wisky suffira, merci. »

La tueuse commençait bien...En tout les cas il fallait esperé qu'elle tenait l'alcool car sinon Fraust pourait voir le résultat qu'un assassin saoul pouvait donner...Et croyez moi c'était pas très concluant niveau propreté. Et donc après avoir prit la commande de l'épouse de Fraust la domestique fit un signe de tete a une sorte de major d'homme ou je ne sais quoi d'autre qui y ressemblait...Il était torse nu et il fallait dire que ca lui allait plutot bien...Le beau gosse débarassa donc Hitori de son chapeau et de son manteau, cependant la demoiselle préféra gardé ses lunettes de soleil. Ainsi presque tout le monde pouvait déjà deviné que la jeune femme était touchée par la cecité. Après tout il n'y avait que les aveugles pour gardé des lunettes de soleil en pleines nuit.

Pour le reste l'heure de passer a l'action était arrivée. La demoiselle allait dabord s'occupé des deux gardes du corps présent dans la pièces, mais avec le plus de discrétion possible bien sur. Donc pour l'instant la question qui restait en suspend était, qu'elle serait la réaction de Fraust en voyant que sa chere épouse avait commencé a faire ses premiers pas en direction des gardes du corps...?

Fraust avait bien remarqué l'attention que Hitori avait porté à cet espèce de gorille à moitié a poil qui lui avait pris son manteau et son chapeau. Il croyait quoi, celui-là, qu'il pouvait se permettre d'agir ainsi avec la femme de Fraust? Et bien il se fourrait le doigt dans l'oeil jusqu'au cerveau, si tant est qu'il en ait un. Le gars s'approcha alors de Fraust pour le déposséder de ses affaires... Ce dernier lui tendit son sac de voyage, puis lui lança sa veste.

"Monte donc çà dans ma chambre, Georges."

Le gorille fit une moue et monta donc çà dans la chambre de Fraust et... Une minute! Ils allaient réellement dormir dans la même chambre, dans le même lit???

*C'est pas possible, je suis en plein cauchemar...*

le professeur tira Fraust de ses pensées, et lui demanda comment les choses se passait à la Faculté. Fraust commença alors à relater les dernières incursions de la GC, en regardant du coin de l'oeil ce que faisait sa "femme". Purée! Il n'avait pas tourné le dos une minute que déjà elle commençait à faire des siennes. Il se retourna vers le prof, et lui demanda de patienter un instant. Il marcha alors à pas rapides vers sa femme et l'attrapa par le bras alors qu'elle était arrivée à deux mètres des gardes du corps. Il leur fit un sourire confus et s'expliqua:

"Elle est aveugle, sans moi elle se dirige très mal, veuillez l'excuser! ^^;;"

Après quoi le couple fit demi-tour et se redirigea vers le centre de la pièce. Fraust tenait toujours fermement Hitori par le bras, il s'arrêta un instant pour lui murmurer à l'oreille:

"Puisque tu ne veux pas te tenir tranquille, tu vas rester avec moi toute la soirée...."

Il mit alors sa main dans celle de la jeune fille, la tenant malgré tout toujours aussi fermement, et ils se rapprochèrent du prof qui reprit la conversation. C'était tout de même un monde çà, même aveugle elle était décidé à exécuter les ordres de ses supérieurs à la lettre. Qu'importe, c'était dommage pour elle mais Fraust était là, on aurait pu dire que il était là au moment où on avait le moins besoin de lui, enfin la tueuse, mais elle aurait bien du mal à s'en dépétrer... Surtout si elle voulait exécuter le prof, qui détenait des infos capitales sur la GC...

"Et bien, vous semblez follement amoureux!"

Commenta le prof.

"Uh? Ah euh oui, on s'adore!!"

répliqua Fraust, de plus en plus gêné par cette situation complêtement idiote...

Gné...? Il se prenait pour qui celui la a vouloir controlé les faits et gestes de la demoiselle...En plus il croyait vraiment que le fait de la tenir par la main suffisait...? De toute façon celle qui avait l'avantage du térrain c'était elle, car si la tueuse se décidait a faire un bain de sang, au lieu de tué que quelque personne s'en était fini de Fraust, ou plutot de ses amis. Et puis il lui faisait mal a la tenir aussi fort, c'était vraiment agaçant a la fin. Mais bon ce qui était sympas avec le fait d'etre une femme c'est que la demoiselle pouvait toujours utilisé l'excuse des toilettes...

Ainsi sans plus attendre Hitori coupa la parole a Fraust pour prendre la parole et s'adresser au professeur. Elle prit un sourire aussi hypocrite que tout a l'heure et parla avec un ton assez mielleux pour evité qu'il ne voit a quel point la jeune femme pouvait faire froid dans le dos. Fallait esperé que le viellard avait mit des fenetres au niveau des W.C pour femmes, car sinon Hitori serait obligée de coupé le mur en silence.

« Excusez moi...J'ai une envie assez préssente et j'aimerais savoir ou se trouve les toilettes si possible... »

Après cela la demoiselle se tue pour laisser le gros tas lui répondre et donc lui indiqué la direction des W.C...Pendant se temps la jeune femme essaya de se défaire de Fraust en tirallant et en secouant sa main, cependant cela restait sans resultats et en plus il avait vraiment une poigne qui faisait mal...Tssss Il allait le regretté ce soir lorsqu'il serait couché avec Hitori...Les doigts endolorie de la jeune tueuse réclamaient vengence, aussi s'il tenait a se réveillé avec tout les attribut de son corps intact il aurait interet a se mefié de sa chere épouse. Après tout Hitori n'était pas de ces femmes que l'on pouvait essayé de retenir sans s'attendre a des représailles. Et puis pour finir Fraust avait eut tort de s'exité sur le major d'homme au magnifique torse découvert car au cas ou il l'aurait oublié son épouse était aveugle et ne pouvait donc pas profité de la beauté du jeune homme, c'était juste la narratrice qui était en kiff sur lui.

Pour le reste le plan de la demoiselle aussi minable soit-il était infaillible car elle savait très bien que Fraust n'aurait jamais l'indésence d'essayé d'entrer avec la jeune femme dans les toilettes.Sa moralité le rendait donc beaucoup moins efficace qu'un combattant normal et ce soir ce n'était pas non plus le plus fort qui gagnerait, mais le plus malin. Ceux qui lisent ce topic allaient donc assisté au deuxième round entre Fraust et Hitori...Le combat continuait et il s'avérèrerait aussi acharné que le round précédent.

Elle était maline, la miss, et Fraust l'avait bien remarqué. Le coup de "j'ai besoin d'aller aux toilettes", c'était bien joué, bravo, mais le jeune homme avait compris son petit manège. Le prof répondit:

"Mais bien sûr, mais étant donné votre cécité, permettez-moi de vous accompagner. Bien sûr, je n'entrerai pas avec vous dans la cabine, à moins que vous insisitiez, oh oh oh!"

Fraust lâcha la main de sa très chère épouse en riant comme le prof, et il appela la domestique la plus proche, pas la serveuse mais une autre, pour qu'elle l'emmène jusqu'aux waters. Il était fou, le prof, de se proposer à l'emmener! Remarque, il ne savait pas que Hitori voulait lui faire la peau en même temps... Les deux demoiselles s'en allèrent donc aux toilettes, et Fraust resta à parloter avec Mac Intosh, au moins tant que ces deux là n'étaient pas loin l'un de l'autre, Fraust pouvait veiller à sa sécurité.

C'est alors que la p'tite soubrette habillée comme une fille de joie s'approcha de Fraust et se mit à lui parler:

"Tu sais que t'es mignon, toi!"

"Pardon? Nan mé euh... Je suis marié, vous savez ^^;; "

"Et alors? Cà ne me déranges pas tu sais!"

"... Okayyy"

*Put*** mais c'est quoi cette maison de fous!!*

Fraust passa quelques minutes à essayer de se dépétrer de la soubrette, sans grand succès, alors qu'il se demandait ce que pouvait bien trafiquer Hitori, qui était partie depuis un petit moment déjà...

Enfin débarassée de Fraustinounais...Hitori ne savait pas qui était cette femme en chaleur qui venait se pendre au cou de son « mari »,mais c'était tant mieux. Elle arrivait vraiment a pique. Le travail allait commencé, il ne restait donc plus qu'a se défaire de l'autre dégourdie qui l'accompagnait. Puis c'était pas parce qu'elle était aveugle qu'il fallait la traité comme une gamine non plus, Hitori était quand meme capable de faire pipi toute seule.

Une fois entrée dans les toilettes, la jeune femme referma donc la porte immédiatement, puis un pettit bruit de serrure se fit entendre accompagné d'un:

« Merci beaucoup, je serais capable de revenir toute seule... »

Il ne lui restait plus qu'a prendre un peu son temps et a s'assuré que la servante ne s'en aille. Il ne fallait pas non plus qu'elle se doute de quelque chose en voyant qu'Hitori ne resortait pas des W.C. Pour le reste la fenetre n'était pas bien grande, mais comme la demoiselle était assez mince elle n'aurait aucun mal a passé , pour ensuite revenir dans la salle ou se trouvait sa cible et les gardes du corps. La demoiselle était presque sur et certaine que Fraust s'inquiéterait et irrait voir dans les toilettes pour s'avoir si Hitori n'avait pas magouillé un mauvais plan. Ca allait vraiment faire mal...O_________O Et pas que pour Fraust, si Hitori décidait de passé par la car en dessous d'elle il y avait pleins de pique en fer et puis c'était fou a quel point elle était éloignée du sol...A son entrée au château elle n'avait pas imaginé qu'il était aussi grand et aussi haut.

Finalement c'était une très mauvaises idée le truc des toilettes...Enfin bon au moins son cher époux violent avec les femmes avait arreté de lui écraser les doigts de la main. Le tout c'était de s'arranger pour ne pas se faire attrapé de nouveau par ce brut de Fraust. Hitori avait donc déjà une idée pour cela...En effet elle se contenterait de danser avec quelqu'un, puis lorsque le recteur croirait que la tueuse aurait abondonné son travail elle repartirait a l'assaut.

Ainsi une fois resortie des toilettes la jeune femme remarqua que l'autre peau de colle était toujours la. Si elle avait vue le sourire bete que cette servante faisait en ce moment Hitori aurait certainement eux envie de l'etripé. Enfin, pour en revenir a notre sujet la combattante recommença donc a se dirigé vers le lieux ou se trouvait la fete, mais cette fois-ci elle se dirigerait vers l'un des invités pour le convié a une danse qu'il ne refuserait certainement pas. Ainsi Fraust ne pourrait pas venir cherché la demoiselle, sauf si bien sur il faisait semblant de piqué une crise de jalousie.

Bon sang, c'est qu'elle était pénible cette soubrette à force! Pas moyen de s'en dépétrer une seule seconde! Alors que Hitori revenait des toilettes (vu le temps qu'elle avait mis, apparement c'était pour la grosse comission!), une musique démarra, et les quelques convives se mirent à danser. Hitori avait calculé son coup, la preuve elle avait déjà trouvé un cavalier, enfin, elle s'était carrément jetée sur le premier venu, simplement pour ne pas danser avec Fraust. Nan mais quelle gamine, j'vous jure!

"Tu danses avec moi?"

Pas le temps de dire quoi que ce soit que la soubrette (encore elle) avait tiré Fraust par le bras pour le faire danser, profitant du fait que son "épouse" dansait avec un autre... Mais bon, il gardait un oeil sur elle. Il la connaissait suffisament bien pour savoir qu'elle ferait tout pour accomplir sa mission, qui était rappelons-le, d'assassiner le professeur Mac Intosh, lequel dansait alors avec la maitresse de maison (juste 40 ans et des poussières de différence d'âge, c'est si peu...).

"Tu danses bien mon chou!"

"Hein? Ah bon... Bah merci!"

Quel pot de colle, cette soubrette, bon Dieu! C'était à ce demander si elle n'allait pas suivre Fraust et Hitori dans leur chambre. Tout à coup, la musique s'arrêta, avant qu'une autre débute. Chaque personne changeait de partenaire, et donc, Fraust se précipita pour récupérer sa femme, au détriment de la soubrette qui se retrouva avec le majordome strip teaseur... Bien fait pour lui!!

"Alors, chérie, ta soirée se passes bien?"

Demanda ironiquement Fraust à sa femme, alors qu'ils dansaient un merveilleux slow...

Rah! C'était bien sa veine...Il fallait que la musique s'arrete, pour qu'elle change de compagnon. Fraust était vraiment collant ce soir. Bon après tout Hitori pouvait bien lui offrire une danse, avant de l'assomé dans leur chambre a couché. Ainsi la demoiselle ne préta pas tout de suite attention aux paroles de ce pauvre gamin de Fraust et posa sa tete sur l'épaule de son partenaire de danse, pour se laisser porté par la musique.

« Non, mais j'ai toute les fetes de Noël pour éliminé cet homme...De plus ce soir vous regretterez de m'avoir fait mal a la main, croyez le. »

Pour le moment le recteur pouvais essayé de passer un bon moment, sans trop se soucié de sa vie, cependant une fois qu'il serait sur son lit il lui serait fortement conseillé d'evité de dormire. Hitori était tout de meme une ennemie qu'il vallait mieux ne pas contrarié, de plus elle avait prit l'habitude de ne pas dormire pendant de longues périodes car pour ses missions il lui fallait parfois veillé des journées et des nuits entière. Fraust n'aurait vraiment pas du se montré aussi collant avec sa femme, car maintenant il allait le payé...Et oui Hitori n'était pas faite pour vivre en couple et certainement pas avec une type qui voulait commandé en tout cas. Et puis il y en avait vraiment marre que les gens essayent a chaque fois d'empeché notre jeune héroine de faire son travail correctement et de remplire ses contrats comme il se devait.

Hitori ferma ensuite les yeux et se concentra sur la musique, ainsi que sur la danse. Au final cette soirée était pas si mal que ca finalement...Pas pire que quand elle avait du danser sur des braises au pérou avec un générale complètement sadique et sado maso...Meme si Fraust était peau de colle et chiant il arrivait au moins a faire ressentir un petit quelque chose a notre chere demoiselle, de plus quand il le voulait il devait certainement etre capable de se montré très sympathique et doux. Pour l'instant Hitori ne connaissait cet homme qu'en tant que guerrier et n'avait donc pas connu d'autres choses que la violence avec lui. Ce petit moment de tranquilité si le recteur ne s'avisait pas de le gaché leur serait peut etre profitable a tout deux.

La réponse de Hitori n'étonna pas Fraust. Déjà, le boulot, le boulot, le boulot, elle ne savait parler et penser qu'à çà, fichtre! Et en plus, il fallait que çà tombe sur quelqu'un qui avait aussi une importance pour Fraust. Ne pouvait-elle pas aller assassiner quelqu'un d'autre? La Terre était tout de même assez grande, mais non, il fallait qu'elle se retrouve pile là où lui devait aller, et au même moment en plus! Si çà c'était pas un hasard à la noix, qu'est ce que çà pouvait bien être, je vous le demande... Et en plus de çà, elle était rancunière et têtue, la femme de notre cher Fraust!

"... Dis... Tu crois pas qu'on pourrait faire une trève? Je sais pas moi... Reviens dans une semaine, même pas, deux jours, si tu tiens tant que çà à éxécuter ton contrat..."

La danse que menaient nos deux héros devenait plus langoureuse, et Fraust se surprit à trouver Hitori tout à coup plus douce, plus humaine même, ce qui était assez inédit, même si au fond, il savait que sous ce masque de froideur qu'elle utilisait si bien, il y avait un coeur de braise...

Fraust ressera donc ses bras autour de la taille de Hitori, et reprit d'une voix plus douce et sincère:

"On pourrait pas faire la paix, pendant une journée, faire comme si cette guerre n'avait jamais eu lieu?"

Sur ces mots, Fraust regarda Hitori, attendant une réaction sur son visage... Elle n'était sûrement pas insensible au point de ne pas réagir à ce que venait de lui dire Fraust, tout de même?

Fraust se rendait-il vraiment compte du fait qu'il parlait a une tueuse professionnelle? Savait-il que le travail de la demoiselle n'était pas si simple...? De plus il parlait de paix, alors que Hitori elle ne faisait pas vraiment la guerre aux mutants ou du moins elle ne s'y sentait pas impliquée. Oui, meme si Hitori travaillait pour la GC mais elle ne se considérait que comme une simple tueuse a gage qui accomplissait sa mission et rien de plus. Pour elle il n'y avait aucune guerre et les mutants comme humains n'étaient que des cibles. De plus meme si elle le voulait la jeune femme ne pourrait pas laisser passer ses sentiments avant une mission. Elle avait changer cela était vrai, mais il fallait tout de meme qu'elle garde en tete que son metier nécéssitait une capacités a contenir ses sentiments. En meme temps ce que Fraust lui demandait c'était une semaine et pas plus. La jeune femme avait jusq'a la fin des vacances scolaire des enfants, ce qui représenttait donc deux semaine exactement. Elle allait donc accordé ce petit service a Fraust, cependant il était vraiment chiant parce qu'il venait de gaché les vacances a Tahiti de la belle. Les seules et unique vacances de l'années qu'elle prenait.

« Daccord...Mais grace a vous je viens de perdre deux semaine de vacances a Tahiti...Les seules vacances auxquelles j'ai droit en toute une année de travail. »

Marrant...Pour elle tué des gens ce n'était vraiment rien d'autre qu'un simple job maintenant. Elle prenait meme des congés comme les gens normaux, pour ensuite se relancé. Pire encore...ELLE PRENAIT DES VACANCES! Cette folle du travail en était capable...? C'était vraiment a ce demandait ce qu'elle pouvait bien foutre a Tahiti. La plus parts des gens s'imaginaient que la demoiselle n'était qu'une simple machine a tué et qu'elle ne s'érrétait jamais tant qu'on méttait de l'argent dedans. Il était aussi difficile d'imaginer Hitori en maillot de bain...

La vie était vraiment pleine de surprise et en plus elle venait d'accepté le délais que demandait Fraust. Par conséquent la jeune femme n'avait plus grand chose a faire ici. Pour le reste en parlant et en froçant sur les émotions de la jeune femme il venait de gaché cemoment de slow, aussi sans attendre la foin de la musique qui aurait du survenir dans 3 minutes Hitori se décolla du récteur et sans lui adressé de regard lui dit quelque mots avant de commnecer a s'éloigné.

« Profitez donc de la vie de votre ami, après le délais que je vous aurait accordé il sera mort. Pour le reste je n'ai plus envie de danser.Et ne croyez pas que vous vous en sortirez indemne pour m'avoir écraser la main... »

La tueuse ne quitterait pas encore le château, mais se retirerait vers le balcon en toute tranquilité ou elle siroterait un verre de triple wisky en pensant que finalement etre mariée c'était vraiment, mais alors vraiment pas son truc.Elle plaignait les femmes qui étaient obligées de se casé.

Ce coup-ci, Hitori avait totalement surpris Fraust de par sa réaction, qui était à l'opposée de celle qu'il pensait qu'elle aurait. Il s'était trompé, mais cela était positif puisque finallement la réaction de la jeune fille était meilleure que celle qu'il avait imaginé. Si le prof pouvait vivre encore quelques jours de plus, il aurait tout le temps de révéler à Fraust les secrets qu'il cachait concernant la GC. Hitori venait peut-être de commettre un impair, car si dans l'espace d'une semaine qui lui avait été alloué, le prof parlait à Fraust, alors sa mort serait vaine, puisque la mal aurait été fait. Cela dit, Fraust ressentit alors une profonde gratitude pour la jeune tueuse à gage de la GC, car il avait quelques idées de ce que cette concession pourrait lui coûter... Il la rttrapa donc délicatement par le bras, pour lui dire simplement:

"Merci..."

Il la laissa alors s'éloigner, apparement vers le balcon. Sans savoir réellement pourquoi, Fraust pensait sincèrement que la jeune fille tiendrait sa parole, il en avait l'intime conviction...

Il se retourna alors vers le prof, qui dansait à présent avec la soubrette, et lui demanda la permission de se retirer dans la chambre qui leur avait été alloué, à lui et son épouse... Après avoir brièvement salué les invités, il monta donc les grands escaliers, pour enfin arriver jusqu'à la dite chambre. Fraust entra, et retrouva son sac de voyage que le gorille avait bel et bien emmené, c'est bien... Le recteur regarda alors par la fenêtre, dehors il commençait à neiger sérieusement... Il retira alors sa chemise, ne gardant que son débardeur et évidemment son jean's, et s'assit sur le fauteuil dont on pouvait se demander la raison de sa présence dans cette chambre, mais bon...

Fraust ne voulait pas se coucher tout de suite, il attendrait que Hitori monte à son tour... En attendant, il sortit de son sac un livre, et se mit à bouquiner...

Le wisky ne faisait meme plus effet avec le temps. Fallait croire qu'Hitori supportait trop bien l'alcool...Enfin c'était tant mieux car après tout elle avait quand meme mieux a faire que de se saoulé en pleine opération de reconnaissance qui au départ aurait du etre la véritable mission d'assassina. Et puis voilà que la neige tombait en grande quantité...Manquait vraiment plus que ca. La jeune tueuse ne pourrait meme plus aller a l'hotel et serait obligée de rester au château pour le reste de la nuit. Bon, de toute façon Fraust était tellement préoccupé par ses affaires qu'il ne la verrait meme pas entrer dans la chambre.

D'un pas lent et régulier la demoiselle se dirigea donc vers ses quartiers puisque de toute façon elle ne pourrait apprecié la beauté de la neige. La journée, ainsi que la nuit avait déjà été trop longue et pour cette fois Hitori serait totalement insouciante et se contenterait de fermé les yeux pour dormire a coté du pire ennemie de la Genetic Corporation. Après tout il était incapable de tué une personne qui ne pouvait pas défendre, alors pourquoi le craindre?

Vers 4 heures et demi du matin le château semblait vide et il était si silencieux que lespas de la demoiselle, aussi legé soient-il résonnaient dans le silence et dans l'obscurité. En plus il faisait vraiment un froid de canard, et cela aussi bbien dehors que dans la demeure lugubre de ce pervers de Mac Intosh. Et pour courroné le tout Fraust n''aurait certainemennt pas prévu le retour de la belle, aussi il serait juste au millieux du lit, ne laissant alors que le rebord a Hitori pour dormire.

Au moins il fallait positivé...Hitori allait passé ses vacances dans un autre payyas que Tahiti pour une fois et cela la ferait connaître l'Ecosse qui en réalitait ne l'interessait absolument pas avec son climat glaciale qui donnait des corbatures et qui franchement étaient très agaçante pour une mutante dont le pouvoir était de piqué un bon cent mètre.

Et enfin pour finir la jeune femme ouvrit doucement la porte de sa chambre, pour ensuite y penetré et jeté son manteau ainsi que son chapeau sur le sol, vue que de toute façon il lui était très difficile de savoir ou se troivaient les objets inanimé. Elle ne voulait pas laisser son cher chapeat et son précieux manteau de cuire ala porté de tout le monde, la ou elle ne pourrait pas les surveillé. Et pour ceux qui se demande comment la tueuse avait bien put reprendre ses vetements qui n'étaient que des objets sans vie, et bien réflechissez un peu et vous saurez qu'ils portent la meme odeur qu'elle et qu'il était donc facile de les repairé. Mais...Etrange! Que faisait l'autre débile mentale a la coupe de porcépique blanche sur un fauteuil au lieux de roupillé?

L'heure tournait, Fraust lisait, l'heure continuait de tourner, Fraust lisait toujours... Et bien, elle avait décidé de ne pas monter dormir, la miss? Fraust en tout cas n'avait pas vraiment sommeil, et puis il devait l'attendre pour ne pas s'endormir en travers du lit, et surtout qui sait ce qu'elle ferait, profitant de son sommeil, pour se venger de sa main un peu serrée trop fort?

Toujours est-il que sur le coup des 4h35 du matin, elle arriva enfin dans la chambre du "couple". Fraust la regarda un instant faire son trin, comme on dit, avant qu'elle ne semble le remarquer...

"Ah, je te croyais noctambule, à cette heure-ci..."

Dit-il avant de poser son livre dont il avait soigneusement mémorisé le numéro de la page où il s'était arrêté, la 258... Il la regarda encore un moment avant de reprendre la parole...

"Tu peux prendre tout le lit si tu veux, je dormirai dans ce fauteuil..."

Fraust se leva alors et s'étira un peu, beaucoup même... Peut-être que finallement, le sommeil commençait à lui venir... Mais il avait besoin de parler à Hitori avant de pouvoir le trouver, ce sommeil...

"Dis-moi, j'aimerai comprendre... Pourquoi as-tu acceptée ma proposition, tout à l'heure? Je veux dire, rien ne t'empêchais de refuser, et de terminer aujourd'hui même ta mission, non?"

Fraust regardait toujours Hitori, bien qu'en cet instant il ne la voyait plus comme une ennemie mais comme une personne intègre... Il voulait vraiment essayer de la comprendre, au moins une fois, avant de devoir la ranger dans le dossier "méchants", ou dans celui des "potentiellement gentils" ...

C'était quoi encore ces questions ? C'était pas le moment de dormire la et de laisser refroidire les cervelles...?oO Fallait encore que le recteur veuille se compliqué la vie avec ses conneries de camps et de guerre. Ce qu'il ne comprenait pas c'était que pour Hitori, Fraust était un ennemi certes, mais seulement parce que ses supérieurs avaient un contrat sur la tete du jeune homme, et que la tueuse en toute bonne professionnelle serait capable de traqué les etres qui lui étaient les plus chers a sont coeur pour toujours bien faire son travail. Malgré les quelques changements qu'il y avait eux chez notre jeune héroine, elle était incapable de dire si elle était dans le camp du « bien » ou du « mal ». Tout ce que savait la combattante c'était qu'elle était la, et que grace a son travail elle réussirait a s'élevé dans une société ou humains et mutants ne pouvaient etre égaux. De plus maintenant si la demoiselle se battait c'était pour son propre profit, alors elle s'en fichait de savoir qui était l'ennemi, car au final ceux qui pouvaient représenter un réel danger pour la race des Mutants étaient simplement les etres humains.

La GC pouvait très bien se trouver etre la meilleur allié de la faculté, comme elle pouvait devenir du jours au lendemain la pires ennemie d'une organisation telle que la Shagohod. Tout cela ne dépendait pas de haine, ou de sentiments en général mais simplement de travail et de profits. Mais Fraust n'était pas un homme d'affaire, aussi il lui était peut etre impossible de comprendre ce genre de choses. Pour le reste si Hitori avait accepté de laissé ce délai au Recteur et donc de faire une petite, voir meme grosse bavure de travail, c'était simplement parce que meme si elle était une tueuse la demoiselle était aussi une femme, avec un coeur et des sentiments, de plus un etre qui lui semblait etre cher lui avait demander un service qu'elle avait envie de donner. Cependant il est claire qu'elle ne dirait jamais de manière direct a cet homme, ce qu'elle ressentait a son égard. Et puis chez les assassins, amour était aussi sinonyme de mort. Et donc après avoir défait la ceinture de son pantalon, ainsi que les deux premier boutons la jeune femme le retira, laissant alors apparaître une culotte de dentelle noire. Après cela ce fut le tour de son haut. Hitori s'assit ensuite sur le lit, dos tourné a Fraust. Et retira son soutif avant de s'engoufré dans les drats chaud du lit. Ce ne fut qu'après cette succession d'actions assez surprenante que la tueuse répondit a son interlocuteur.

« Parce que j'en avais envie. »

Enfin pour terminé, pour ceux qui ce demandent ce qu'avait notre chere Hitori dans la tete, en se déssapant devant Fraust et bien sachez que lors de certaines missions il était difficile d'etre pudique pour s'en sortire envie, et que parfois dans certaines situations il fallait accepté des fouilles au corps, mais nue. Et puis la demoiselle était une tueuse depuis son plus jeune age, aussi son éducation ne comprenait absolument pas des notions telle que la pudeur ou la honte.

Enfin...Pour en revenir a notre sujet Fraust ne pouvait pas vraiment mettre Hitori dans un camp ou dans un autre car elle ne faisait que suivre la logique et essayé de se faire des profits. Elle était la...Et c'était tout. La demoiselle se contentait de marché sur son propre chemin comme pas mal d'autres mutants appartenant a la GC, ou a la faculté, voir meme le MIL. Parfois on nn'allait pas forcément dans une organisation pour défendre les idéaux de celle-ci, mais simplement parce que cela offrait un état plus stable et qu'il y avait des perspective d'évolution. De plus le travail était une bonne façon de passé le temps, et cela tout le monde en avait besoin.

Fraust observa encore Hitori, car elle ne répondit pas tout de suite à la question qu'il lui avait posé. Cependant, lorsqu'il vit qu'elle commençait à se dévêtir, il tourna la tête vers la fenêtre, par pudisme, mais surtout par respect pour la jeune femme. Aprs tout, elle n'aurait sûrement pas appréciée qu'il la reluque sans rien dire, bien qu'il aurait pu le faire, mais ce n'était pas dans sa nature, désolé à tous ceux qui s'attendaient à ce qu'il lui saute dessus! Il se contenta d'attendre le bruit des draps que l'on soulève, qui fut suivit de près par la réponse de la demoiselle...

Parce qu'elle en avait eu envie... Fraust retourna son visage vers la jeune femme, et la regarda. Elle lui faisait dos, dommage car il aurait aimé pouvoir croiser son regard... Toujours est-il que c'est à peu près à ce moment là qu'une chose se brisa dans la tête du jeune Mutant... Un a priori, une barrière venait de tomber, faisant disparaitre le fossé qu'il y avait entre eux, ce fossé qui semblait infranchissable jusqu'alors, de par leurs affiliations opposées... Fraust avait toujours vu Hitori comme une ennemie, dans le sens où le fait qu'elle soit à la botte de la GC la mettrait toujours en travers de sa route, comme çà aurait dû être le cas ce soir là... Et pourtant, elle venait en quelques mots, de briser tout ce que Fraust savait sur elle... Elle était tout bonnement incroyable, cette demoiselle...

"OK..."

Répondit Fraust, un peu perturbé, mais pas trop non-plus... Un sourire vint se coller sur ses lèvres, alors qu'il se mit dans une sorte de position foetale pour essayer de se réchauffer. (Notons qu'il est en débardeur...)... Il prononça alors quelques mots qui résonnèrent logntemps dans la pièce...

"Tu sais... En d'autres circonstances, j'aurai pu tomber amoureux de toi..."

Oui, c'était évident que Fraust aurait pu tomber amoureux de cette belle blonde (avec un corps de rêve nous rappelle le professeur Mac Intosh), mais là, les choses ne le permettaient pas, peut-être qu'un jour, ces deux-là auraient une chance pour eux, mais ce ne serait pas pour aujourd'hui, tout simplement parce que il y avait encore et toujours cette guerre... Mais peut-être que le jour où elle serait terminée, le jour où la GC serait érradiquée, alors le destin jouerait en leur faveur... Fraust aurait vraiment aimé connaitre Hitori autrement qu'en temps qu'ennemi, et sûrement qu'ils auraient eu beaucoup à partager...

"... Bonne nuit."

Fraust calla alors sa tête contre le dossier du fauteuil et ferma les yeux, sereinement... Une chose était sûre, le lendemain, il aurait bien mal aux cervicales dans cette position... A moins qu'il ne se reveille avec un organe en moins, étant donnée la promesse que lui avait faite Hitori pour sa main... Cette pensée arracha un sourire au recteur qui ne tarda pas à trouver le sommeil

Ils ne s'étaient pas vu tant de fois que cela, les mots qu'ils échangeaient étaient pour la plus part en rapport avec leur travail ou leur devoir et pour une fois les deux jeunes gens venaient de crée un lien qui était différent de ceux que l'on pouvait avoir avec un excellent guerrier. Un lien qu'il n'était possible d'avoir qu'avec un homme ou une femme, mais il allait s'avéré éphémère car le destin de Hitori était maintenant lié a la GC, aussi si cette organisation disparéssait la jeune femme la suivrait dans sa déchéance. D'un autre coté Fraust se battrait pour sa faculté jusqu'à la mort et tant qu'il vivrait, ce qu'il avait crée existerait a travers lui, pour cette raison il risquait d'etre lui aussi anihilé s'il perdait cette « guerre », comme il semblait se plaire a l'appellé.

Ce qu'il avait dit a Hitori lui semblait parfaitement claire, et ce depuis un moment déjà, aussi il avait dépenser de la salive pour pas grand chose, du moins c'était ce qu'Hitori voulait penser. Au fond d'elle meme les mots de Fraust lui avaient plu et cela lui avait réchauffé le coeur. Ainsi un murmure perturba encore le doux silence qui avait suivie le sommeil du Recteur, celui dela tueuse...

« Moi je suis déjà tombée amoureuse... »

Mais cela il ne le saurait jamais. De toute façon les deux jeunes gens avaient encore trop de combats a se livré l'un contre l'autre et durant ces batailles emplie de douleur, de haine mais aussi d'amour il faudrait bien que l'un d'eux se décide a tuer l'autre. Leur sentiments n'avait rien a voir avec leur aspirations professionnelle, aussi ils n'étaient pas prèt a choisire. Oui, car choisire entre deux chose c'est partire vers un chemin en oubliant le deuxième. Il leur fallait donc abondonné leur idéaux ou bien leur amour et très franchement c'était plutot dur d'oublié un sentiment aussi fort que celui-ci, tout comme ils ne pouvaient tout de meme pas laisser tombé la voie du combattant qu'ils avaient prit au départ.

La voie du guerrier n'était pas facile...Elle était parsemée d'embuches et en plus les problèmes et les souffrances qu'on pouvait y voir étaient a chaque fois plus terrible et plus inhumaine. Les combattants n'étaient finalement que des fous a prendre la décision de marcher sur une route aussi sanglante et aussi douloureuse ou un sourire était sinonyme de danger, un contact de douleur et ou un sentiment était égale a un écheque. Ainsi il était peut etre possible de dire que les guerriers étaient une race a part et que l'on ne pouvait ni les consideré comme étant des etres humains, ni comme étant des mutants. Ils n'étaient que des etres qui n'avait fait que souffrire durant toute leur existence et qui ne vivaient que dans une spirale de douleur sans fin.

Et enfin pour finir lorsque les premiers rayons de soleil vinrent caressé la peau du visage découvert de la belle, elle se réveilla et sans un bruit se rabilla pour aller prendre son petit déjeuner et quitté le chateau au plus vite.

Déjà en cette matinée il y avait pas mal d'animation et les invités semblaient se régalé tout en étant heureux d'etre chacun l'un acoté de l'autre pour le 25 décembre. Aux yeux d'Hitori cela était totalement stupide car ce jours était éxactement le meme que les autres. Le ciel n'en était pas plus beau, les gens continuaient de mourire et de pleuré de part le monde et enfin ce n'était pas avec un nouveau Noël que les combat entre le MIL, la Faculté et la GC s'arréteraient.

Au moins certaines personnes étaient capable d'etre heureux et cela sans raisons véritable. Normal car il ne faut pas de motif particulier pour se sentir heureux, mais ca notre chere Hitori était encore incapable de le comprendre, aussi sans plus attendre elle s'assit sur une chaise de libre et commenca a siroté un café après avoir laché un bref bonjour a tout le monde, histoire ne pas paraître trop mal polie et de ne pas grillé sa couverture.

Les rayons du soleil frappèrent Fraust à son tour, un petit quart d'heure après que Hitori n'ait quittée la chambre. Première chose que fit le jeune homme en se levant: s'étirer, ce qui lui fit un peu mal au niveau des cevicales, c'était prévisible... C'était pas une bonne idée de camper ce fauteuil, mais bon il n'allait pas faire son rustre et imposer sa présence à Hitori, tout de même... Second réflexe: énumérer ses os, au cas où la jeune femme ait pris sa revanche dans le sommeil du jeune homme... Apparement, elle avait abandonnée cette idée, pour quelle raison, il n'en savait fichtrement rien, surtout qu'elle avait l'air remontée après lui... Peut-être était-ce à cause des mots qu'il lui avait dit avant de sombrer... Enfin bon, l'heure n'était pas aux peut-être, mais surtout à se réveiller définitivement pour ne pas apparaitre au petit-déjeuner comme un zombie...

Aussi Fraust utilisa la salle de bain pour prendre une douche froide, suivie d'une chaude... Et oui, la douche écossaise qui réveille si bien! En tout cas, une fois qu'il l'eut prise, il se sentait vraiment bien réveillé, pour sûr. Le jeune s'habilla alors, et descendit au galop les escaliers, quatre marches par quatre, pour enfin arriver à la salle à manger... Bien entendu, Fraust était le dernier convive à arriver. Enfin, à priori...

Il s'installa juste à côté de Hitori, car rappelons-le, ils étaient sensés former un couple. Il déposa furtivement une bise sur la joue de la demoiselle pour ne pas paraitre suspect auprès des convives, et commença par sucrer son café, avant de le remuer doucement avec une cuillère. A le voir ainsi faire, on aurait pu croire qu'il était légèrement atteint de snobisme, mais nan, il était simplement extrêmement minutieux, à la limite d'être maniaque...

Quelques conversations s'engagèrent autour du thème des Mutants, comme par hasard, alors que le jeune homme buvait tranquillement son café, enfin, tranquillement jusqu'à ce qu'il remarque une abscence plutôt étrange...

"Le professeur fait la grasse matinée?"

Demanda t-il, sur un ton plutôt amusé, à la domestique principale, la maîtresse de maison. Celle-ci lui répondit que le professeur n'était pas encore sorti de sa chambre. Ah bon... Ce n'était pourtant pas son genre de faire attendre quelqu'un, mais vu son grand âge, on l'excuserait... Fraust se tourna alors vers son épouse pour encore quelques heures, et lui demanda:

"Tu as bien dormi?"

Après quoi il bu deux gorgées de café, attendant une réponse de la part de la jeune femme...

Hitori était dans les nuages a boire son café dénué de sucre. Sa tartine ne lui disait pas grand chose et puis elle n'avait pas trop envie de cherché le couteau sur toute la table pour pouvoir passé du beurre dessus. La demoiselle s'était levée avec une flèmme pas possible...Puis Fraust arriva la retirant de ses nuages avec son baiser a la joue. La jeune tueuse resta donc sans bronché et puis se résigna finalement a taté les alentours de la table, histoire de voir ou était le couteau et le beurre. Finalement elle avait trop faim pour ne boire que du café, fallait juste esperé qu'elle ne fasse pas tombé quelque chose de chaud sur sa main ou qu'elle ne touche aucun résipiant brulant.

Contrairement au Recteur la demoiselle ne pronnonça aucune parole et ne tenta de s'immicé dans aucune conversation, car elles ne l'intéréssaient absolument pas. Et puis tout ce que les autres invités feraient c'était parler de mutants comme s'ils n'étaient pas humain. Difficile de se sentir accepté par la société après cela...

Ce couteau et ce beurre commencaient vraiment a etre agaçant! Ils étaient a l'autre bout de la table ou quoi...? C'était vraiment chiant de ne pas pouvoir sentir l'odeur du métal...Et donc ne voulant toujours pas demander ou se trouvaient ces fichue couteau et beurre la jeune femme renonça a l'idée de manger quelque chose. Pas grave, elle se ferait servire un truc dans un restaurant qu'elle trouverait en ville.

Puis lorsque Fraust adressa la parole a la jeune femme Hitori tourna légèrement la tete vers lui, et comme a son habitute tourna sept fois sa langue dans sa bouche, ce qui lui donnerait sept seconde pour réfléchire et decidé de si elle serait agréable ou non. La décision était prise...Dans meme pas une demi heure elle ne sentirait plus la présence du Recteur, alors autant se quitté en de bons termes pour une fois.

« Oui...J'ai bien dormie, mais j'aurais peut etre du prévoir un pull... »

Etrange, Hitori était une tueuse qui avait déjà accomplie des mission en russie et avait réussie a supporté leur hiver aussi rudeet cruelle que la mort, cependant elle était toujours aussi frileuse et détestait vraiment le froid. Cela lui rappellait peut etre le « puit ». Ce trou si froid et si terrible qui resterait gravé dans la mémoire de la jeune femme...Enfin, par simple politesse la demoiselle posa une question a Fraust qui était presque identique a celle qu'il avait posée a Hitori.

« Et vous...? Avez vous bien dormie? »

Malgré sa converture la jeune femme continuait a vousvoyé l'homme qui se trouvais près de lui. Elle ne pouvait pas trop s'imaginer etre familière avec lui et cela malgré les liens que la jeune femme pouvait bien entretenir avec cet homme. Et puis les mariés qui se vousvoyaient ca existait...

Fraust regarda un moment Hitori qui semblait chercher quelque chose sur la table, à tâtons. En voyant qu'elle avait devant elle une tranche de pain, il comprit, et se mit à son tour à chercher, du regard pour sa part, le beurre sur la table. Il était de son côté, par conséquent Hitori n'aurait pu le trouver seule. Il le posa à côté de la jeune fille, et attrapa par la suite un couteau qu'il lui mit dans la main. Il aurait aussi pu carrément lui tartiner sa tranche de pain, mais il eut peur qu'elle croit qu'il la prennait pour une idiote, alors il s'abstint. t en plus de çà, c'était une grande fille, et il savait pertinnament qu'elle saurait se débrouiller maintenant qu'il avait tout posé à côté d'elle...

"Tu aurais du me demander, je t'aurais prêté une chemise..."

Répondit-il après la réponse de Hitori. C'est vrai que dans ce pays, il ne faisait pas bien chaud, surtout en cette saison. De plus, Fraust avait regardé, et le château n'était pas isolé...
Puis Hitori renvoya la question à Fraust, qui répondit tout de suite:

"Cà a été... Malgré le froid..."

Dans sa réponse, il n'était pas seulement question d'absence de chauffage central dans les chambres, mais également de l'attitude et de la relation qu'entretenaient nos deux héros... Fraust avait l'impression, avant de tomber dans les bras de Morphée, de s'être un peu dévoilé devant Hitori, peut-être même un peu trop... Et à vrai dire, il constatait à ce moment même qu'il y avait un peu de changement chez elle. Mais leurs relations restaient tout de même glaciales, ce qu'il ne comprennait pas vraiment. (N'oublions pas qu'il n'a pas entendu ce que lui a dit Hitori pendant cette nuit...) Certes, il n'allaient pas se sauter dans les bras l'un de l'autre de sitôt, mais bon, pourquoi diable y avait-il toujours ce masque de froideur de la part de la demoiselle? D'un côté, Fraust aurait réellement aimé la connaitre dans d'autres circonstances, juste pour ne pas la connaitre comme ennemie... Mais il semblerait que les destins de nos deux protagonistes soient définitivement opposés, et que jamais ils ne pourraient se connaitre autrement qu'en tant qu'ennemis... L'avenir nous dira, peut-être, si le destin continuerait de les opposer ou si il les réunirait un jour...

Hitori fini par trouvé ce qu'elle cherchait, mais non sans aide...C'était certainement Fraust qui les avaient posé a coté d'elle. La demoiselle attrapa donc le couteau et se servit du beurre pour l'enduire sur sa tartine. En la voyant faire on aurait put croire que son travail était de la plus haute importance car Hito-chan semblait s'y appliqué sérieusement. La jeune femme y prenait tout son temps, sans bien sur oublié de bien étaler le beurre sur les cotés, et sur tout sans laisser dépasser n'en serait-ce qu'un peu. Notre jeune tueuse était donc aussi maniaque que Fraust, voir peut etre meme plus. Cela leur faisait au moins un point en commun...Puis ce fut le tour de la confiture, cependant pour ca la la tueuse n'avait absolument pas besoin d'aide, ca faisait un petit moment que l'odeur de celle-ci lui chatouillait les narine. Notre chere amie adorait le sucre. Oui, Hitori était une véritable gourmande et aimait beaucoup sentire le goût des choses sucré sur ses papilles gustative. Ainsi son petit jeu recommença de plus belle, mais cette fois-ci avec deux fois plus deconcentration et d'application.

Lorsqu'elle eut fini d'enduire une couche de beurre et de confiture a la framboise, la demoiselle se rendit compte du fait qu'elle venait de negligé le jeune homme qui une fois encore lui avait adressé la parole. Il disait qu'il aurait très bien put lui preté un pull, mais le problème c'était qu'Hitori ne demandait jamais rien a personne. La jeune femme ne pouvait pas vraiment se resigné a accepté de l'aide venant de quelqu'un...Sauf si éventuellement il était question de vie ou de mort...

« Peut etre...Mais je ne demande les choses qu'aux alliés, ainsi cela m'évite d'etre redevable a ceux que je devrais un jour détruire... »

Le ton de la jeune femme n'était absolument pas menaçant, et malgré les mots qu'elle venait de pronnonçé tout continuait, comme si Fraust et notre héroine se trouvaient dans un monde parallèle ou rien ni personne ne les entendaient. La phrase de la jeune tueuse avait beau etre étrange, voir meme provocatrice, aucun invité n'avaient fait attention aux deux mutants et rien ni personne ne s'arrétait de parler pour écouter ce qu'ils disaient. A croire qu'ils préféraient faire semblant de ne pas voir ni entendre nos deux jeunes gens. Pourtant Hitori n'avait pas été discrète et avait parler suffisament fort pour qu'on puisse l'entendre.

* Oui c'est cela...Les etres humains ne possèdent pas suffisament de noblesse et de pouvoir pour faire quoi que ce soit. La seule chose qui les sauve c'est bel et bien l'hypocrisie, ou bien les cages dans les quelle ils nous mettent. *

Provoqué les autres ou faire peur inutilement n'était pas dans la nature de la jeune femme, cependant quelque chose lui trottait dans la tete depuis un bon moment au sujet des Hommes. Oui, ce qu'elle voulait savoir c'était s'ils agissaient contre les mutants parce qu'ils les haissaient ou parce qu'ils avaient peur de ce qu'ils avaient crée. Sa réponse la demoiselle semblait l'avoir aujourd'hui meme.

Pour le reste Fraust avait cette impression de froideur sur Hitori car d'une certaine manière elle était toujours une tueuse, qui pour survivre se devait d'etre glaciale. Meme si aujourd'hui elle accepterait bien plus ses sentiments qu'auparavant, il n'était pas question pour la professionnelle de trop s'y fié. Mais il était vraie qu'entre ces deux personnage il y aurait toujours une sorte de barrière, car leur but étaient opposé, et il en était de meme pour leur façon d'etre. D'ailleur meme si un jour Hitori n'était plus l'ennemie de Fraust, il n'était pas sur que ces deux la puissent resté ensemble car avec le temps et les évènements la demoiselle était devenue une véritabble criminelle et malgré la paix elle ne s'érréterait jamais de tué. Le sang était maintenant dans sa nature et quoi qu'il arrive l'héroine de ce post serait toujours un assassin. Fraust lui était surement incapable de tué quelqu'un de sang froid, aussi il ne pourrait vivre avec les crimes de la belle.