[Népal] Causette Professionnelle

Bon... Par où commencer ?
Toute la joyeuse troupe était parée à se bouger l'arrière-train, donc direction l'ambassade tibétaine...
Après un rapide dernier coup d'oeil vers le palais du Potala où mister Logan s'était faufilé, et Vita' donna l'ordre d'avancer.

Un pas.
Quel beau paysage...
Deux pas.
Merde, c'est où déjà l'ambassade ?
Trois pas.

A peine la jeune blondinette eu-t-elle fait fonctionner les nerfs de ses jambes qu'elle aperçut une pancarte touristique quelque peu à sa droite. Courant nerveusement vers cette affiche ô combien utile, elle eut la superbe surprise de constater qu'il y avait une traduction anglaise de ce qui semblait indiquer des lieux importants.
Coup de bol s'il en est : Entre l'annonce d'un temple à visiter, des boutiques souvenirs de quelques lieux cultes et d'une agence de tourisme, il y avait le bureau des affaires étrangères... Et pas loin de là !
Vitalie eut un sourire, fit signe à ses collègues et suivit les indications qu'avait fourni la pancarte.
Droite.
Gauche.
Gauche, puis rue adjacente.
Tout droit.
Droite.

Pouf ! Ils tombèrent en moins de cinq minutes sur l'Ambassade tibétaine, sans soucis, sans emmerdes, ce qui eut pour effet de faire pousser un petit cri de victoire à Darshaw. On se réjouit d'un rien, parfois...
Après quoi, la demoiselle gravit les deux/trois marches qui menaient à l'intérieur du bâtiment, et lorsque la bande du M.I.L pénétra dans une salle surchauffée -Dieu que cela faisait du bien !- une petite femme qui ne devait pas plus mesurer d'un mètre trente, le visage joyeux et ridé, sortit de derrière son comptoir et s'avança vers la jeunette à forte poitrine qui se demanda un instant si la mamie savait causer l'anglais.
-Bonjour, commença la bonne femme d'une voix chaleureuse mais qui n'avait rien d'un accent british.
Et merde...
-Hm, bonjour, répondit la chef-chef avec un sourire d'excuse. Vous... vous parlez anglais j'espère ? Nan parce que sinon je vais trimer, je parles pas un mot de...
A la vue d'Aby, la petite personne se figea, et Vitalie se retourna pour voir ce qui l'hypnotisait de la sorte. Lorsqu'elle vit qu'il s'agissait de la jeune et jolie renarde, la miss se tapa le front avant de déclarer haut et fort :
-Pas la peine de la regarder comme ça !
Et pour toute réponse, la bonne femme se mit à parler très vite dans une langue totalement inconnue, en faisant des gestes immenses, incohérents, comme si l'apocalypse lui tombait en plein dans la culotte, et elle commençait à pousser quelques hurlements sauvages.
La rebelle tentait tant bien que mal de calmer la folle de service, et deux minutes plus tard, elle aperçut un très grand homme qui sortait d'un couloir sombre pour lui apporter son aide. Il attrapa les épaules de l'hôtesse et dit d'une voix étrangement joyeuse :
-Moeva Ospuk, cessez donc de jouer la comédie ! L'homme se tourna ensuite vers la blondinette. C'est une grande comédienne, vous savez. Elle adore mettre les gens dans l'embarras.La folle avait cessé de crier et souriait malicieusement, à présent. Vitalie lui lança un regard médusé, déclenchant l’hilarité de Moeva.
-Je me présente, Matthew Taylor, reprit Monsieur Bonne-humeur en tendant une main forte et rude à la chef-chef. Vous devez être une envoyée d'Arok, n'est-ce pas ?
-Darshaw. Hm, plus ou moins, oui, répondit Vitalie en acceptant la poignée de main. Il lui semblait inutile d'évoquer un Arok mort et en cours de reconstruction. Après tout, ce n'était sans doute pas les problèmes de ce Taylor. Voici mes coéquipiers, Withmore, Armstrong et Taboï. Nous sommes venus pour avoir quelques informations supplémentaires, concernant...
-Oui, suivez-moi, surenchérit Matthew avec un sourire d’une blancheur stupéfiante. Nous serons plus à notre aise dans mon bureau.

Ainsi, la petite troupe fut invitée à s'asseoir sur des sièges usés, en cuir marron, dans une petite salle climatisée (une véritable horreur climatique), et l'homme qui devait avoir une bonne trentaine d'année, chercha automatiquement dans les tiroirs de son bureau. Vitalie le détailla longuement : Blond, grand, plutôt musclé, quelques rides aux coins des yeux, il semblait ne jamais cesser de sourire. Et sa peau très pâle, sa peau de bébé, le rajeunissait vaguement. On aurait dit un grand enfant (l’effet Kinder…).
Pendant que Taylor s'excusait -ses recherches dans les tréfonds de ses tiroirs prenant plus de temps que prévu- Darshaw senti son portable qui vibrait dans une des poches de son pantalon. Elle dégaina l'arme téléphonique et regarda furtivement le texto envoyé.
Michael Logan...
Un mince sourire se dessina sur ses lèvres puis Vitalie tapa une réponse à la vitesse de l'éclair.

Code:: Excellente n0uvelle ! ^0^ On devrait pas tr0p tarder, cela dit.
PS : Et qu0i ? C'est t0n séj0ur dans le temple qui t'0uvre les yeux ? Ca fait un m0ment que j'attends de prendre du b0n temps... ;)

-Ouf, enfin trouvé ! clama Taylor dans un gros soufflement. Voyons voir... Ah tiens, voici. C'est lui.
Et il montra au M.I.L un portrait minutieusement dessiné du captif. Un moine chauve, au visage heureux, et où la tendresse se lisait dans le regard.
-Il est retenu dans les grottes Afghanes, par là... Attendez…
Et Matthew chercha de nouveau dans le méli-mélo de son bureau.

Vite rentrés, vite rentrés... C'est vite dit...

[Désolée du retard ^.^'' ]

On était encore loin du printemps, et la petite compagnie était pourtant en altitude. Cependant, il faisait très bon dans les rues de Lhassa. Pas chaud bien sûr, mais la météorologie était douce et agréable. Abigail béni alors sa furrure animale, qui était sans doute pour beaucoup dans le fait qu'elle n'ai ni chaud ni froid, et à voir les autochtones, les humains d'ici avaient plus froid qu'elle.

*Comme quoi, ma mutation n'a pas que des désavantages...*

Pensa la renarde japonaise en souriant malicieusement, une fois n'est pas coutume.
En somme, cette petite promenade dans la capitale lui fit du bien, et lui regonfla le moral. Et le fait de pouvoir se promener sans son masque et sa capuche y était aussi pour quelque chose: cette sensation de liberté, de bien-être, d'être en phase avec le monde qui l'entourait... Voila quelque chose d'extrêmement nouveau et appréciable aux yeux de Kitsune. Et également, tous les regards bienveillants qu'elle recevait, il y avait de quoi la rendre plus optimiste et sereine que jamais! Pour un peu, la jeune fille en serait devenue philanthrope, c'est dire...

Néanmoins, Abigail ne se laissa pas aller à la volupté. Pas que cette dernière ne l'intéressait ou ne lui plaisait pas, mais il fallait bien songer au travail, au moins un petit peu. Il était en effet bon pour la renarde, de ne pas oublier que la raison de sa présence dans cette ville n'avait rien à voir avec un quelconque séjour touristique. Le lèche-vitrine pour les souvenirs attendrait donc.

Le petit groupe de mutants arriva donc à bon port, plus précisément au bureau des affaires étrangères, où ils étaient sensés, d'après ce que Aby avait compris, retrouver une personne qui leur donnerait l'ordre de mission. C'était donc là que tout allait vraiment commencer... Une petite montée d'adrénaline parcourut le corps de la japonaise qui se sentit frissonner un court instant. Elle se reprit néanmoins, et suivit ses camarades dans un petit bureau. Dès leur arrivée, elle sentit qu'avec cette petite personne, elle était reluquée comme elle aimait si peu, le mot est faible, l'être. Bon, songea-t'elle, tout le monde ne peut pas réagir bien en me voyant. C'était donc aussi l'occasion pour de vieilles douleurs, de se rappeler au bon souvenir d'Abigail. Mais le regard insistant et pas forcément bienveillant de la petite dame n'était pas pour lui faire garder son sentiment d'optimisme, sa "positive attitude". Elle se sentit alors se crisper un peu, et l'envie de remettre sur le champ sa capuche sur ses oreilles se fit plus pressante.
Mais après l'intervention de la chef du M.I.L., un homme apparut, et sembla raisonner la dame. Le comportement de cette dernière changea du tout au tout, ce qui n'était pas pour plaire à la renarde, qui perçut la "blague" comme une plaisanterie de mauvais goût. La demoiselle comprit alors ce que signifiait le mot "bêtise", pour rester polie. Il faut croire que certains humains ne sont pas très gentils...

L'homme se présenta, puis après un court dialogue avec Vitalie, il les invita gentiment à le suivre dans un bureau où ils furent courtoisement invités à s'asseoir. Ce monsieur parût déjà bien plus sympathique aux yeux de Kitsune que la dame qui les avait "chaleureusement" accueillis. Et puis, il n'avait de cesse de sourire, ce qui amena Aby à penser qu'il était gentil comme personne. Ce sourire lui allait très bien d'ailleurs. Mais elle arrêta de le dévisager pour s'asseoir sur une grande chaise, où la jeune fille se mit à remuer les jambes, par stress. C'était la pression qui s'accentuait, car à présent, elle ne pouvait plus faire marche arrière. Cependant, elle n'arrivait tout de même pas à savoir si elle était pressée que ça se termine, ou si au contraire, le temps pouvait ralentir. Ses doigts fourmillaient un peu malgré tout... Sans doute qu'il lui tardait de faire ses preuves, tout autant qu'elle en avait peur. Autant dire que sur le moment, Abigail était partagée, entre deux états.
Elle se contenta cependant de continuer à remuer ses pattes, en tâchant de ne pas laisser paraître sa tension. Même si elle ignorait que peut-être, ses camarades l'avaient déjà remarqué.

Invité

Charlie jeta un regard dubitatif à la photographie que leur présenta Matthew Taylor et retourna s’asseoir sur son siège, où il commença à jouer distraitement avec les accoudoirs en cuir élimé. Homme d’action s’il en est, notre homme n’appréciait nullement les longues conférences et n’aimait pas voir ses mains inoccupées. Quant au regard dubitatif, il ne mettait pas en doute l’authenticité de la photo –bien que pour Charlie le petit moine chauve et souriant qui posait ressemblait on ne peut plus aux standards qu’on était en droit d’attendre dans la catégorie moines petits et chauves- mais simplement l’utilité d’une telle conversation.

La mission était pourtant simple : récupérer un moine A retenu par des individus Y dans les grottes X. Parler à machin W et trucmuche B n’allait pas aider A, qui devait sérieusement commencer à s’ennuyer parmi les Y de X. Mais que pouvait-on y faire si B et W étaient l’étape bureaucratique nécessaire sur la route de X où les Y se trouvaient ? Sans compter que A ne devait finalement pas s’ennuyer tant que ça dans X, s’il était vraiment un A typique, même parmi les Y que B et W considéraient comme si dangereux.

Bref, toute cette histoire de lettres, notre capitaine la laissait à Vitalie. C’était elle la cheffe, c’était elle qui planifiait le détail et discutaillait avec le gratin. Pour sa part, Charlie se serait contenté de s’infiltrer dans les grottes et de dérouiller du méchant tout en faisant en sorte que le moine ne s’en prenne pas plein la poire(1).

L’autre problème qui laissait grandir l’impatience de Charles, c’était le sourire qui ne quittait pas la bouche de Taylor. Par principe, Charlie se méfiait de tout et de tout le monde, et particulièrement des braves types au visage poupon. Rien de telle qu’une telle façade pour dissimuler une véritable ordure grimaçante. Et puis un type qui souriait tout le temps, cela n’était pas normal. L’homme devait avoir les commissures des lèvres en béton armé, ou quelque chose dans le genre, pour ne pas se départir un seul instant d’une expression aussi aimable. Et même pas capable de ranger son bureau correctement… Ils allaient perdre un temps fou avec cette paperasserie !

Baladant son regard sur les occupants de la pièce pour s’occuper l’esprit tandis que ses mains torturaient le vieux cuir des accoudoirs, le mercenaire vit Vitalie taper à tout vitesse ce qu’il supposait être un message sur son téléphone portable et se fendre d’un charmant sourire presque rêveur qui ne pouvait signifier qu’une chose : il y avait du mâle là-dessous. Sans doute des nouvelles de ce mécano de Logan. Tiens, en voilà encore un qui commençait doucement mais sûrement à taper sur les nerfs de Charlie, qui en avait eu ras le bol lors du vol de ressentir sans arrêt l’animosité que Spyke éprouvait visiblement à son égard. Withmore avait une préférence pour les types directs, et vu comment Logan s’était comporté avec lui et faisait traîner la cheffe en longueur, il n’avait rien d’un type direct. Bah, pour l’heure il était parti on ne sait où régler on ne sait quoi, et il n’y avait qu’à espérer qu’il soit de meilleure humeur à son retour.

Délaissant rapidement Taylor qui fouillait dans ses tiroirs et Aube qui n’avait .-étonnamment- encore rien dit, Charlie termina son examen des lieux par Abigaïl, assise sur le grand fauteuil de la pièce, les pattes s’agitant sans cesse. La p’tite était nerveuse, ça se voyait comme sa truffe au milieu du museau, et Withmore s’amusait secrètement du stress de la nouvelle recrue. Il espérait seulement qu’elle serait plus concentrée une fois en pleine action. Cette première mission allait lui permettre de faire ses preuves, ce qui ne serait pas un mal. Charlie, lui, n’imaginait pas avoir besoin de faire ses preuves pour quoi que ce soit(2), et si c’était sa première sortie avec le M.I.L, il avait sans doute eu plus de «sorties » de ce genre que tous les autres membres de l’organisation réunis dans ce bureau.

Charlie poussa un soupir, espérant que Taylor allait bientôt finir par mettre la main sur ce qu’il tenait tant à leur montrer. Tapotant des doigts sur le bras de son siège, Withmore tourna la tête pour s’adresser à Abigail :

« Nerveuse ? Normal pour une première sortie. Reste concentrée, et suis ton instinct. Ca se passera bien. »

Charlie lui sourit, et se renfonça dans son siège. Il n’y avait pas de raison que ça se passe mal, du moins pour l’instant. Mais si Taylor ne se dépêchait pas, là, Withmore ne répondrait plus de rien…

_____________________________

(1)Quitte à taper sur les ravisseurs avec si besoin était.
(2)Sauf peut-être en ce qui concernait les épreuves de macramé.

Invité

[HRP : Mais heu, moi j'avais dit que j'étais restée près de l'hélico... bon alors... désolé pour le retard]

Finalement Aube avait suivi le mouvement. Et ce pour plusieurs raisons, tout d'abord il fallait bien qu'elle voit comment se débrouillait Vitalie avec les deux autres zigotos, car après tout ce n'était pas de tout repos d'être cheffe ! Et ensuite elle ne voulait pas rester seule avec Kelian, il aurait flanqué le bourdon à un régiment d'humoristes. Même si, il est vrai que les humoristes sont en général des êtres torturés et mal dans leurs peaux.

Mais elle avait suivit et maintenant elle était avec tout le petit monde dans le bureau particulièrement en désordre. Alors il la trouvait sa carte ? Parce que ok, ils étaient censé le retrouver, mais de là à survoler l'ensemble du territoire mondial à la recherche d'une indication aussi vague que : une grotte ! Ils risquaient d'y passer plusieurs vies et ce n'était pas la meilleure chose à faire pour ramener le monsieur en entier.

Enfin Aube était au chaud, elle était à coté de sa cheffe et elle était encore détendue donc pas de soucis. Elle regarda tour à tour les gens présents dans la petite pièce exigue et soupira, est-ce que l'un d'entre eux serait blessé ? Non ! Ne pas penser à cela pour le moment, rester calme et détendue et penser au beau temps, à Twilight par exemple. Oui, un bon truc à faire, alors comment pouvait-il aller ? Etait il sage dans son école ? Non, le connaissant il faisait les quatre cents coups, même plus certainement car quatre cents pour un jeune homme remuant tel que Twi ce n'était pas assez. Il devait s'être attiré de nombreux ennuis, avoir reçu autant de punitions et continuer à embrasser son Julian. Lui c'était un bon gars, un peu comme Aby, trop gentil. Mais si Twi était là pour dévergonder Julian, qui aurait cet honneur pour Aby ?

Là, elle était revenue sur les membres du MIL et donc pensait à la mission. Il se grouillait de la trouver sa carte ? Parce que sinon d'ici cinq minutes Aube allait appréhender ! Chose à ne surtout pas faire ! C'est pourquoi elle se leva et alla bien gentiment donner un coup de main à l'homme pour trouver une carte des grottes Afghannes !

[b]C'est pas là, vous avez déjà regardé, attendez, je vais faire une pile pour mettre ça de coté. Oups ... tombée ! Désolée, mais bon ça ne change pas trop de l'ordre dans lequel les papiers étaient rangés avant ... Quoi ? J'ai pas compris ? Ca veut dire quoi ? [b]

Et ainsi de suite, elle déblayait le bureau pendant que l'autre l'insultait visiblement dans un langage fleuri, mais Népalais ! Donc incompréhensible pour la jeune femme. Et elle finit pas dégager LA carte ! Celle dont elle avait besoin ! Et zou, direction la popoche et hop on remercie le monsieur.

[b]Cheffe ! Je crois que j'ai ce qu'il nous faut, on peut y aller, je commence à m'ennuyer et je crois que ce monsieur à besoin de ranger son bureau, je ne comprends pas pourquoi, mais il y a des papiers partout par terre, c'est étonnant non ? [b]

Elle évita le livre qui lui était lancé, certainement dans un moment d'égarement, par leur contact et sortit rapidement en tentant de ne pas rire. Sous certains cotés, Aube était pire que Twilight, mais il ne faut pas le lui dire, il risquerait d'en prendre de la graine. Et alors imaginez la tête de Fraust après une visite du délégué dans son bureau ? Ou pire ... celle d'Iwëne !

Tout et rien à la fois Nombre de messages : 2 Date d'inscription : 22/10/2007

La discussion avait était engagé depuis un moment et Matthew fouinait sur son bureau désordonné à la recherche des fameuses photos des sites probables ainsi que de la carte les situant les uns par rapport aux autres.

C'est à ce moment qu'Aube arriva pour prêter main forte à ce brave Matthew dans ses fouilles quasi archéologiques. Elle déblaya le bureau par pile, envoyant littéralement tout par terre et elle finit par découvrir les dites photos et carte soigneusement rangées devinez ou? Sous le sous-mains de notre cher Matthew. Endroit on l'on met habituellement tout ce qui est précieux ou confidentiels. Enfin le tout était que les documents de Matthew qui avaient étaient habilement rangées par strates temporelles gisaient ça et là sur la moquette grise du bureau.

Mi-amusé mi-irrité par l'intervention de ce soldat Matthew lança quelques phrases en népalais. Comme ça ils interprèteraient comme ils voudraient ces... rebelles.

Lorsque les soldats quittèrent le bureau, Matthew saisit un livre qui trainait encore sur son bureau et le jeta en direction d'Aube. Le bouquin frappa le montant de la porte et Matthew lança un regard mêlée d'amusement et de sadisme à l'écart d'Aube.

[HRP : Voilà, vous avez la carte, vous avez Arok et Logan au café. Au boulot! On as un moine à sauver les enfants!!]