[Alliée M.I.L] Anna MacDowell

NOM : MacDowell
PRENOM : Anna
SURNOM : Nena, Anna Banana
ATTITUDE DOMINANTE : Mauvaise humeur, sarcasme, rabat-joie.
FONCTION/JOB : Sois disante « étudiante » en informatique, elle est davantage hackeuse et bosse pour quelques sociétés.
CARACTERE : « Bordel », « merde » « ‘fais chier », voila certaines des expressions qu’Anna répète à longueur de journée. Sombre d’esprit, la jeune fille est constamment en train de râler, à se plaindre de cette « putain de vie » qui n’est autre, à son sens, qu’une interminable aventure ennuyeuse et monotone. La routine –comme toute autre chose, finalement- est sans doute ce qui l’insupporte le plus en ce monde. Il ne se passe pas un jour sans que la jeune MacDowell s’acharne à entreprendre quelque chose de nouveau, une activité qui lui fera oublier sa lassitude excessive. Introvertie, la demoiselle est du genre à n’accepter aucune aide extérieure ; elle déteste parler aux inconnus et ceux-ci le ressentent bien. Glaciale et pleine de sarcasme, lorsqu’Anna prend la parole ce n’est jamais pour être cordiale et bienveillante. Pour être exacte, il s’agit souvent d’une poussée de jurons suivit d’un « casse-toi, tu pollues mon espace vital ! », accompagné d’un regard on ne peux plus expressif.
Cependant, malgré son caractère de cochon et ses manières grossières, la jeune MacDowell est une demoiselle fort intelligente, qui a beaucoup de conversation, une culture grandissime et une vue innovatrice sur l’existence et l’être humain en général –mais pour arriver à discuter convenablement avec elle, encore faut-il faire parti de son cercle (très réduit) d’amis.
PHYSIQUE : Là, vous touchez un point sensible. Anna, persécutée depuis son plus jeune âge, a bien du mal à accepter ce corps dépourvu de grâce et de beauté. Le visage bien qu’ovale, deux grands yeux presque difformes y sont incrustés et ont pour fâcheuse manie de s’ouvrir comme des soucoupes de diamètre imposant. Sous ces ronds oculaires, la plupart du temps, se reposent des cernes inquiétantes, et au dessus se trouvent des sourcils tellement épilés qu’ils en sont presque inexistants. Sa bouche proéminente, rugueuse et rouge sanguine n’est pas sans rappeler celle de certains Pokémons –sujet qui fit place à bon nombre de moqueries depuis l’école primaire. Hormis ces deux éléments, le reste du corps est fin, trop fin, si frêle qu’il en est anorexique et paraît malade. Ses bras, ses jambes, son ventre, où le peu de chair aime à ne pas se poser, sont d’une maigreur affolante et bien des fois les médecins en ont déduis un mal-être intérieur. Pourtant, ce n’est pas comme si Anna jeûnait à chaque repas et refusait toute sucrerie. Au contraire, c’est un goinfre inconditionnel qui ne cesse de s’empiffrer et de manger tout aliment gras et nutritif. Alors que cette distinction morphologique naturelle devrait faire rêver tant de filles, tant de mannequins, ce n’est pas le cas : Personne ne souhaite ressembler à Anna MacDowell, aucune demoiselle n’envie sa poitrine plate, invisible.
Une raison supplémentaire d’en vouloir au monde entier.
HISTOIRE : Si noire et si désolante qu’elle sera passée sous silence. En bref : Une vie sans père, la haine d’une mère, la douleur d’une enfant ; peu importe. Si Anna est ce qu’elle est aujourd’hui, c’est bien à cause de cette rancœur, et rien ne pourra effacer le passé. « Merde » ajoute-t-elle.
AUTRES : Nena est dotée d’une intelligence remarquable et l’informatique n’a aucun secret –ou presque- pour elle. « Une tête » comme disent ses employeurs, elle n’a pourtant aucunement l’ambition de travailler comme chercheur ou d’obtenir un poste haut placé. Les petits boulots mal payés, voilà ce qui lui convient.
AMIE DE : Vitalie Darshaw.
ENNEMIE DE : Les sociétés à qui elle a détruit le système informatique pour en avantager une autre (ses employeurs, donc).
SOUS LES ORDRES DE : Personne officiellement mais c’est avec plaisir qu’elle aide Darshaw, sa vieille amie, et son « groupe de mutants armés » comme elle s’adonne à les appeler.
COMMANDE : Croyez-vous sincèrement qu’Anna ait les compétences pour être une bonne cheffesse aimable, souriante et qui adore son boulot ? Non, vous avez raison ; ce serait une des images les plus ridiculement utopiques.