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 Révision de l'hélico - Ya d'la joie, lalilalaaaa...

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Michael Logan
Hacker et Technicien du M.I.L.
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Michael Logan


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MessageSujet: Révision de l'hélico - Ya d'la joie, lalilalaaaa...   Révision de l'hélico - Ya d'la joie, lalilalaaaa... EmptyDim 16 Déc - 4:18

*...Ne pas s'énerver, ne pas s'énerver, ne pas s'énerver, ne pas s'énerver, ne pas...*

Se répétait en boucle notre cher Logan, tout en sortant de la cage d'escalier des niveaux inférieurs, sa caisse à outils à la main. Ouh non, il n'était plus du tout de bonne humeur, pas après ce qu'il venait de voir! Autant il n'était pas possessif, et d'ailleurs il ne sortait même pas avec Vitalie, autant il y a des gens comme çà, avec qui "çà ne passe pas". Et c'est pas juste une historie de personnes, mais là les circonstances y jouaient beaucoup aussi. C'est vrai quoi, on arrive tranquille pépère à la maison, et qu'est ce qu'on voit?? Un rigolo qui se la joue, et devant les filles en plus! Cà, c'était trop pour Spyke... Une relation de sympathie bon enfant ne pouvait absolument pas démarrer sur ces bases là, hors de question.

"Bon! Vite, il faut que je fasse quelque chose pour m'occuper l'esprit, où je vais péter une durite! Vite!!"

Logan laissa tomber la caisse à outil sur le sol, à côté de l'AH-64, et monta à l'intérieur. Il alluma les jauges, pour vérifier les niveaux de carburant, d'eau et de la batterie. Un quart de plein manquant, à remplir donc. Et l'indicateur de batterie qui ne s'allume pas. Ouh put*in. Rien que à çà, Logan sentit qu'il allait s'énerver, pour de bon. Hop, il mis pied à terre, choppa le transpal' qui traînait pas loin, et alla à l'autre bout du hangar pour récupérer un bidon de kérosène. Hop, on charge, on revient, on choppe le tuyau magique, et on remplit... Jusque là çà va.

Par contre, Logan avait dans l'idée que cette histoire d'indicateur de niveau allait les lui briser, mais alors menues de chez menues... Allez, zou, clé à molette, et on passe sur le côté pour ouvrir cette foutue trappe à batterie. Bien sûr, Logan énervé, tout lui paraissait aller 5 fois plus lentement que d'habitude, tellement il était en feu, le gars. D'abord, il s'excita sur cette clé de malheur, et la trappe s'ouvrit. Vite, un tensiomètre... Notons que quand Michael s'énerve, il faut que tout aille vite, trèèès vite, où il s'énerve encore plus, et ainsi de suite!

So, il prit donc la "tension" de la batterie, à l'ancienne. Le niveau était correct, mais çà ne résolvait pas le problème du voyant. Bon, vas-y qu'il faut démonter toute l'installation électrique! Logan tira la batterie, et la posa sur le sol, en prennant "un peu" soin de ne pas arracher les fils dans la foulée... Bon, çà c'est fait, maintenant trouver où est la panne... Et vas-y que je teste tous les câbles un par un, et que çà me fous la haine encore plus!!! Et celui-là, là, pourquoi il vient pas quand je tire dessus?

"Ne t'énerve pas, mec, ne t'énerve surtout pas... On inspire, on expire, on inspire, on expire...*

Mouais, là pour le coup, le coup de la respiration c'est du pipeau... Ah, attends, le fil il est coincé derrière, par un domino... Hein? Mais qu'est ce que c'est que ce bricolage de trou du c*l!! C'est bon pour...

"PUT*********!!!!! AHHH!!! AH LA SAL*PERIE!!!"

Bien sûr, çà ne rata pas: Logan mis les doigts sur le domino, et se prit une bonne chataîgne dans les doigts, du 450 volts qui réveille! Cà, c'était la goutte de trop... "Je craque", pensa Logan juste avant d'aller foutre un grand shoot dans la caisse à outil, qui valdingua jusque devant la cage d'escalier, éparpillant tout son contenu dans le hangar!

...

Les grandes colères sont silencieuses; aussi Logan, après ce magnifique coup de pied, se calma. Après avoir allumé une clope, qu'il tira comme un furieux, il ramassa un tournevis plat, un connecteur qu'il trouva parmis le merdier maintenant répandu sur le sol; et retourna foutre la tête dans le caisson batterie. En prennant garde de ne pas encore se n*quer un doigt avec ce domino de m*rde...
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Vitalie Darshaw
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MessageSujet: Re: Révision de l'hélico - Ya d'la joie, lalilalaaaa...   Révision de l'hélico - Ya d'la joie, lalilalaaaa... EmptyLun 17 Déc - 1:15

[Hors-RP : Je post directement tout ici, histoire de gagner du temps et par flemme.]

Au M.I.L, c'était bien connu : tout allait très vite. Mais Vitalie qui ne connaissait que depuis peu son équipe et sa façon de bosser avait du mal à suivre chaque cas avec attention. Entre Aube qui semblait ravie de faire de nouvelles connaissances et coller une étiquette de nympho à sa patronne en balançant des commentaires douteux, Logan qui débarquait avec une petite renarde inconnue et qui repartait aussitôt en grognant pour on ne sait qu'elle raison, et ladite mutante qui restait bredouille avant d'être entraînée par Aube-la-bavarde dans une visite rapide des lieux de travail, il y avait vraiment de quoi pointer les mains en perpendiculaire et de crier : « TEMPS MORT !! » pour enfin souffler, respirer.
Vitalie, perplexe et déçue par ces retrouvailles aussi promptes –elle aurait voulu un gros câlin collectif- fit quelques pas magnétiques dans le bureau du défunt colonel Arok pour retrouver le télégramme dont tout le monde avait saisit l’information et se mit à l’examiner en détail, déchiffrant les lettres mal imprimées. Après quoi, la demoiselle réprima un petit « Heu... ouais... heu... » très vague, tout mimi et indécis, comme si son cerveau carburait sur la question –en l’occurrence les questions : équipement, lieu, action.
Se sentant alors épiée et observée, elle tourna rêveusement la tête vers un Charlie fiévreux de paroles constructives, un Charlie qu'elle avait (honteusement) oublié l'espace d'un instant. En gage d'excuse, miss Darshaw lui offrit un de ses plus beaux sourires qui, elle l'espérait, ferait passer sous silence cette arrivée assez... spéciale.
-Ne t'inquiètes pas, ils ne sont pas toujours comme ça... Aube est bien plus bavarde, Spyke beaucoup moins froid et Kelian qui ne devrait pas...
Mais à peine le nom du lieutenant prononcé, le voila qui débarque, furibond et remonté à bloc (ah ouais, carrément !!), en fonçant à pas discordes et inégales, comme un animal affamé sur sa proie, un meurtrier psychopathe sur sa victime, avec la sainte envie d'achever la brebis, de bousiller la gueule à Vita'.
Le flot de sympathie qui subsistait alors dans l'esprit de Darshaw se mit à couler comme le Titanic en version accélérée. Kelian brailla des ordres, sous-entendu que Vitalie était incompétente, mais dans la série « je vous emmerde, bougez-vous », le pire fut l’accueil qu’il réserva à Withmore : autant d'amour et de convivialité qu'un juif et un résistant réunis auraient reçut de la part d'un officier de clan nazis. Et même si, je l'admet, la comparaison est hyperbole, la suite en est la même : Vitalie était en rogne.
Pourtant, c'était dans des moments comme celui-ci que la rebelle s’obligeait à faire preuve d’un peu de maturité et de contrôle de sois. Pour moins que ça, dans un cadre extérieur au boulot, elle aurait sans nul doute hurlé à son agresseur que OUI il avait tort et que NON elle n'avait nullement besoin de ses commentaires ostentatoire et inadaptés à la relation qu'ils entretenaient elle et lui. Pour qui se prenait-il ? De quel droit la considérait-il de haut ? Pourquoi diable les chocapics étaient-ils mêlés à l'histoire ?! Qu'elle honte de menacer une femme, qu'elle honte de la priver de nourriture ! Qu’elle honte ! Qu’elle honte !
Vous me direz, certains l'ont déjà fait. Et ça continue. Et ce n’est pas prêt de s’arrêter. Y’a des cons partout. Mais tout de même, Kelian... où est passé ton coeur ?
*Dissimulé, cadenassé, séquestré. Il a besoin d'amour mais avec un caractère pareil, c’est bien normal qu'on l'envoie paître, le gus* pensa Vitalie, maussade, alors que le militaire s'arrêtait de postillonner dans le micro.
Lorsque le discours rageant pris fin, un lourd silence tomba sur le trio. La femme promue au poste de leader du M.I.L. demeura un instant muette avant de répliquer sèchement, sans ressentis :
-Merci Kelian, ce fut très constructif.
Elle aurait très bien pu ajouter que tous ces ordres n'avaient aucune valeur réelle puisque Charlie et elle-même s'apprêtaient à les exécuter mais se retint de justesse, peut-être pour conserver une certaine neutralité et ne pas empirer l'atmosphère journalière déjà tendue comme un string. L’avantage d’être une fille, dans l’histoire, c’est que la discussion ne finit pas par un jeu de mains et un couteau.
-Suivez-moi, Charles, je vous pris, dit-t-elle à l'aimable gaillard –le seul qui l’était en ce moment, tout du moins- en tournant les talons, sans adresser un seul regard au lieutenant.

Alors qu'ils traversaient les couloirs à grandes enjambées, en direction de l'armurerie, la rebelle confia quelques paroles à Withmore :
-Vous savez, il ne m'aime pas beaucoup. C’est une situation assez délicate. Arok est décédé, comme je vous l'ai expliqué, et « le remplacer », c'est un fait que personne n'accepte vraiment. Je suis de leur avis, j’agirais de la même façon à leur place... Cependant, Kelian est le seul à avoir autant de rengaine. Il ne doit pas avoir compris que je ne souhaite remplacer Arok que par la succession, la revendication de ses valeurs qui nous sommes propres, à nous, le M.I.L. D’ailleurs, le lieutenant semble persuadé que je suis incapable de mener l'équipe à la réussite et au succès. Et pas seulement parce qu’il est macho et prétentieux…
Elle se tut, pensive, perdue dans ses questions, tout en regardant les murs qui défilaient devant ses yeux. Enfin, quand l'armurerie se dessina, elle ajouta avec un petit rire :
-Quand je repense à sa menace... Rahh, des chocapics ! Il sait me prendre par les sentiments, ce drôle ! Une qualité que je lui accorde volontiers.
Au bout du compte, Darshaw se dit qu'elle se fichait pas mal de la situation. Elle le lui pardonnait, une fois de plus, à Kelian, d’être un sénile précoce…
-Voila l'armurerie. Sympa, hein ? Bon, tu choisis ce que tu veux et puis...
La jeune fille se pencha vers le fond d'une armoire où s’empilaient quelques affaires, quelques armes, quelques tout et rien. Ses mains pêchèrent dans cet amas de produits une tenue et un gilet pare-balles qu’elle balança à son coéquipier.
-Hop, ça c'est pour toi. T'enfile le costume si tu veux, mais le gilet, tu s'ras bien obligé lorsqu'on sera au bords de l’action. Ah, tiens, tu prends ça aussi.
Vitalie lui tendit un des casques de communication que Logan avait confectionnés. Elle en piocha un second pour ledit créateur et un pour son propre compte, puis entreprit de se déshabiller entièrement afin d’enfiler un pantalon et un t-shirt militaire, plus approprié à la mission que la minijupe qu'elle portait sur ses fesses rebondies.
Impudique, sans complexe, elle ne se soucia d’un quelconque regard posé sur son corps dénudé (quoique en sous-vêtements) et se retourna vers Charlie, juste au moment où elle enfilait le haut de sa tenue.
-Bon, faut se grouiller maintenant. Tu te changeras dans l'hélico'.
Choppant au passage un 45 USP Tactical, elle fit signe à l'homme de la suivre et fila à travers de nouveaux couloirs. Cette fois-ci, direction l'héliport.

Vitalie entra en trombe dans le hangar, suivit de près par Withmore qui découvrait les lieux. La jeune fille repéra d’emblé le Spyke grognon qui les avait quitté et qui s’adonnait maintenant à la réparation/vérification de deux trois bricoles. La miss pensa une fois de plus que Logan était un gosse bénit du ciel qui savait non seulement se servir de ses mains mais en plus comprendre les systèmes électroniques. Elle, par exemple, se voyait moyennement en train de trifouiller des bidons d'essence, des batteries et tout un zigouigoui de machins-bidules-choses pour au final faire démarrer un hélico qu'elle ne saurait piloter. Parce qu’en plus, précisons-le, le Michael était un chevalier du ciel. L’est-il pas génial ?
Tout en prenant grand soins de regarder où elle mettait les pieds -on n'est jamais trop prudent dans une marre de tournevis- Darshaw s'approcha du beau et jeune technicien préoccupé par son travail.
-Spyke, tu t'en sors ? le questionna-t-elle, sincère. Je t'ai pris un gilet pare-balles et un casque de communication, tu voulais quelque chose d’autre ? T’as de quoi te défendre ?
Elle lui sourit timidement avec pour espoir de voir Michael redevenir le gars riant, gentil tout plein et blagueur hors pair qu'elle avait quitté avant de faire un p’tit saut en Suisse.
*Nan mais franchement... Ils ont quoi, tous, aujourd’hui ? Leurs règles ?*

[Hors-RP : Désolée, c’était trop tentant XDDD Sérieux, imaginez Kelian dans cette situation…]
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Michael Logan
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MessageSujet: Re: Révision de l'hélico - Ya d'la joie, lalilalaaaa...   Révision de l'hélico - Ya d'la joie, lalilalaaaa... EmptyLun 17 Déc - 2:08

-Spyke, tu t'en sors ?


Le concerné avait la tête dans le caisson de la batterie quand il entendit Vitalie lui causer. Le temps de finir de serrer une vis, et il la sortit, non sans se cogner le crâne sur la paroi d'acier, copieusement dure, de l'appareil... Il aurait été seul, il aurait gueulé et sans doute même donné un coup de pied dans cette put*in de carlingue assassine, mais non, là y' avait Vita'...

Il la regarda calmement, mais sans un seul sourire. Pas qu'il tirait une tête de trois pieds de long, pas du tout, juste qu'il la regardait d'un air neutre, ce qui eut été impossible dans des circonstances "normales"... Mais la chef du M.I.L. avait sorti le regard "bambi" tout attendrissant tout plein, celui auquel Logan savait qu'il ne pourrait pas résister bien longtemps... Esquiver, voila tout ce qu'il pouvait faire... Mais à défaut de retourner se terrer dans le caisson, le technicien tourna rapidement 7 fis sa langue dans sa bouche, manière de réfléchir un moment à ce qu'il pouvait dire qui ne serait pas aussi hargneux que son attitude du moment...

Je ne vous le cache pas, il songea une seconde à laisser tout tomber, et à chopper Vitalie par le menton pour lui coller le kiss de sa vie... Histoire de bien lui faire sentir c'est qui LE gars, ici. Mais non, il n'en fit rien, et se contenta d'attraper le pare-balle et le casque de comm' que la demoiselle lui tendait, avant de les jeter à l'intérieur de l'hélico...

"Merci... D'avoir pensé à moi..."

Phrase à multi-sens qu'il lança, sur un ton à mi-chemin entre la plainte et le désarroi... Ce n'était pas le moment de s'embarquer là dedans, pensa-t'il dans un éclair de lucidité. Elle et lui aurait l'occasion de mettre les poings sur les i, et ce pas plus tard que quand ils seraient rentrés de cette mission...

Sur ce, Logan se retourna et se pencha pour ramasser la lourde batterie de l'hélico, qu'il devait maintenant remettre en place. Normalement, il faut deux hommes pour cette manoeuvre compliquée, mais Logan les valait bien. D'une main, il soutint comme il pût les 42 kilogrammes et quelques de l'engin, de la main libre il rentra les câbles dans le caisson pour ne pas les abîmer au moment de replacer tout... Des perles de sueur glissèrent sur le front de Michael tandis qu'il réalisait la manoeuvre périlleuse, pour enfin la mener à bien, sans casse. Il se frotta laors les mains pour les essuyer du liquide de batterie, qui avait coulé sur son beau t-shirt gris à l'éffigie des "Sex Pistols"... Et m*rde...

A présent, il ne restait qu'à remonter la plaque de protection, ce qui serait vite fait. Spyke s'attela donc à cette tâche sur le champ, et ceci fait il se dirigea vers l'armurerie pour récupérer son arc... Enfin l'occasion de le tester en conditions réelles, çà c'était cool... Le hacker emporta également des munitions, une vingtaine de flèches qu'il glissa dans un carquois, et c'est tout. De toute façon il avait déjà son M92F chéri à la ceinture, avec un chargeur de rab dans l'hélico.
Mais avant de quitter l'armurerie, Logan se dirigea vers le petit lavabo qui traînait dans celle-ci, alluma le robinet d'eau froide et s'en aspergea le visage... Partir sur le terrain dans un mauvais état d'esprit n'était sans doute pas la meilleure chose à faire, aussi il devait reprendre un peu ses esprits, se calmer et essayer d'évacuer toute trace de haine, de stress ou autre qui l'habitaient. Cela ne lui ressemblait pas d'agir ainsi, de manière aussi irréfléchie, il devait absolument se calmer et se recentrer sur ce qui était important...
Après avoir laissé quelques gouttes d'eau glisser sur son nez et au bord de ses lèvres, Le jeune homme prit appui de ses mains sur le rebord émaillé du lavabo, et coupa l'eau.

"...Bon."

Allez, c'est parti.

Logan fit le tour du hangar pour aller verrouiller le sas d'entrée, en essayant de ne pas écraser tut le matos qui était par terre. Il se jura d'ailleurs de tout ranger dès qu'il rentrerait, seul, çà l'apaiserait un peu.
Ceci fait, il retourna vers l'hélico, a l'intérieur duquel il posa son arme et ses munitions, avant de mettre sur son dos le gilet de kevlar, et dans la poche de celui-ci le casque de comm'.
Enfin, il passa devant, dans le poste de pilotage, et alluma le contact comme il aimait à le dire. Il ne démarrerait qu'une fois que tous seraient à bord. En attendant, il alluma son auto-radio, du bourrin grindcore en sortit, et il lorgna avec un peu d'espoir le siège passager... Il ignorait si Vitalie ferait comme feu Arok, si elle viendrait s'asseoir aux côtés du pilote... Mais il espérait secrêtement que oui...

[HRP: Un post de tout le monde et on démarre! Pensez aussi à mettre à jour votre équipement dans les FP, sinon Fraust va nous tomber dessus XD]
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MessageSujet: Re: Révision de l'hélico - Ya d'la joie, lalilalaaaa...   Révision de l'hélico - Ya d'la joie, lalilalaaaa... EmptyLun 17 Déc - 2:11

Charles Withmore pouvait se vanter d’avoir travaillé avec un grand nombre de personnages en couleur tout au long de sa carrière en tant que mercenaire, et il s’était attendu à en rencontrer de nouveaux spécimens tout aussi incongrus au sein du M.I.L. Force fut pour lui d’avouer que ça dépassait tout ce qu’il aurait pu imaginer. Vitalie, il avait eu le temps de le réaliser depuis la Suisse, était déjà particulièrement hors norme, et il ne parlait pas que de sa poitrine ! Délurée, bien roulée mais intelligente, elle semblait bien plus capable que ce que l’on pouvait croire au premier abord ; Charlie sentait ces choses là. Et pourtant, elle faisait preuve d’un caractère aussi charmant et versatile qu’un moulin a vent, passant de le femme à poigne à la gamine qui s’amusait d’un rien en moins de temps qu’il n’en fallait à un pingouin pour glisser sur la banquise.

Quant à la jeune femme, blonde elle aussi, aux allures de garçons manqués qu’ils avaient trouvée dans le bureau, Aube, elle avait tout l’air, elle aussi, d’avoir son petit caractère. Charles lui avait serré la main sans s’amuser à la broyer, et la jaugea d’un œil appréciateur ; elle était pas trop mal roulée, la petite, et avait l’air de savoir se battre. Quoiqu’il en soit, si elle le prenait pour un vieux de la vieille, elle avait tort : il n’avait que trente-sept ans, c’était encore jeune, nom d’une chouette ! Il découvrit également qu’Aube Taboï était de ces femmes qui sont capables de parler très vite sans s’arrêter lorsqu’elle emmena une certaine Abigaïl faire le tour du propriétaire.

Parce que pendant qu’ils tapaient la discute, deux nouveaux venus s’étaient pointés dans le bureau, dont une jeune femme à la fourrure rousse, aux oreilles en pointe, à la queue touffue et aux formes appréciables. Ben oui, pour Charlie, qu’on ait une apparence de bête n’avait aucune importance –il en avait vu d’autre et trouvait ce genre de mutation somme toute honnête- et il n’allait pas perdre ses réflexes de mâle pour quelques poils sur la poitrine. Il lui adressa un sourire « à la Charlie mais pas trop », histoire de la mettre en confiance et de lui montrer qu’elle et lui étaient pareils : deux nouveaux qui se demandaient ce qu’ils étaient venus faire dans cette galère…

Mais le type qui avait amené miss renarde, lui, Charlie ne le sentait pas du tout. Ou, plutôt, il sentait que le gringalet, lui, ne le sentait pas, Charlie. Vous suivez ? D’ailleurs, Vitalie et Abigaïl semblaient être les deux seules personnes à ne pas avoir compris ce qui s’était passé dans la tête de Logan. Pour Withmore, c’était évident : pour un mâle comme lui, détecter les velléités de possession de Spyke envers Darshaw était un jeu d’enfants. Pour un peu, il s’attendait à voir l’autre sauter partout autour de Vitalie en pissant partout pour marquer son territoire. Fort heureusement pour sa dignité (et pour les chaussures de Vitalie), le dénommé Logan s’en alla en grommelant, précédant de peux Aube et Abigaïl. Franchement, Charlie était un brin amusé : il n’avait pas l’intention de monopoliser Vitalie. Et puis c’est elle qui l’avait amenée ici, après tout. Qu’ils se débrouillent…

Vitale excusait, perplexe, la conduite de son bricolo préféré lorsque le dernier membre du M.I.L fit irruption dans le bureau pour aboyer reproches à l’adresse de la pauvre Darshaw et ordres dans un micro qui n’en avait sûrement pas demandé autant dans la vie. A peine avait-il crié un bon coup que le lieutenant Kelian disparut dans les couloirs, laissant un Charlie étonné et une Vitalie qui prenait –enfin- connaissance de l’ordre de mission. En tout cas, ce Kelian n'avait pas l'air de grandement estimr Darshaw; encore une fois, Charles se demanda quel genre d'homme avait bien pu être ce Arok, la description que lui en avait fait Vitalie était restée assez sommaire...

« Euh… C’est toujours comme ça chez toi ? »

Mais il n’eut pas le temps d’extrapoler : sa nouvelle patronne le tira à sa suite –il commençait à en avoir l’habitude et s’occupa en regardant les jolis murs de pierre qui défilaient sur des dizaines de mètres- et l’amena à l’armurerie, où elle le somma de se changer et d’enfiler un gilet par balles.

« Bon, c’est toi l’boss, alors va pou le gilet, mais hors de question de porter un costume ! Si ce lieutenant Kéké, là, croit que je… Très joli ! » s’interrompit Charlie lui-même tandis qu’il accrochait le gilet sous sa chemise en regardant d’un air plus qu’appréciateur Vitalie se changer comme si elle s’était trouvée dans le vestiaire des pom-pom girls du lycée en compagnie de la grande Betty. « C’est de la soie ou du coton ? »

Mais là encore, il n’eut pas de réponse ; Vitalie s’empara d’une arme et lui demanda encore une fois de le suivre après qu’il ait fait son choix. Se grattant le menton, Charles prit soin de jeter un œil de connaisseur avant de se constituer un nouvel arsenal, histoire de rigoler un peu… Il avait pu faire convoyer son arme fétiche : un bon vieux berreta qui avait tout d’un léger magnum, ou l’inverse. L’arme avait subi tellement de modifications qu’il n’aurait su dire. Accompagnant son vieux compagnon, deux minuscules derringers à deux coups rejoignirent leur place habituelle dans les mécanismes de son bon vieux manteau. Pour le reste, il fit son choix dans ce qu’il avait à disposition dans l’armurerie du M.I.L : un couteau de chasse glissé dans l’attache faite pour de sa botte, un FNP 90 histoire de faire des dégâts et un F.A.M.A.S. Ah, et quatre grenades à la ceinture, une de chaque type (dont deux de fragmentation), au cas où. Il faut dire que pour un type de la carrure de Charlie, se trimballer avec deux fusils sur le dos n’était pas un gros problème, surtout lorsqu’on sait à quoi il avait passé plus de la dernière décennie. Et puis, même s’il n’utilisait pas tout, il aimait bien partir équipé ; un Charlie qui partait à l’assaut sans tout un arsenal, c’était un peu comme une Vitalie qui faisait de même sans string. En fait, il avait juste un peu de mal avec le casque ; il se sentait vaguement ridicule, et puis le tour de tête était trop serré…

M’enfin, après avoir crapahuté dans d’autres interminables couloirs taillés dans la roche, il finit par émerger sur ce qui devait faire office de « toit » à la base, précédé de Vitalie qui s’empressa d’aller parler à Logan, qui était déjà sur place, en train de boutiquer sur ce qui devait manifestement être un hélicoptère, parce que les morceaux de tôles attachés ensemble ne volaient pas. C’est donc un Charlie vêtu de son arsenal, qui ne savait pas trop comment se passait une mission au sein de son nouveau chez-lui, qu’on pu entendre pousser un sifflement admiratif :
« C’est une sacrée bécane. Si elle vole, elle ne peut que me mettre en confiance : un type qui fait démarrer ça sait ce qu’il fait »

Puis Charlie fit jouer les sangles de ses fusils pour les maintenir dans son dos tandis qu’il s’approchait de Logan en souriant avant de lui tendre la main :

« Je crois que je me suis pas présenté : capitaine Charles James Withmore, mais appelle moi Charlie. »

Puis, baissant la voix alors que Vitalie s’était écartée pour vérifier on ne sait quoi sur l’hélico en attendant la réponse de son mécanicien préféré :

« T’inquiète, je compte pas te la piquer. Mais elle assez grande pour se débrouiller, non ? Te mets pas martel en tête, elle finira bien par s’en rendre compte… »

Puis l’ancien mercenaire se détourna avec un petit rire, et s’éloigna des deux autres afin de hisser son matériel dans l’hélicoptère de Logan. Sa première mission en équipe depuis longtemps… Bah, au vu des zigotos qui constituaient la bande, ça promettait d’être plutôt marrant ! Aussi, Charles grimpa dans l’hélico, histoire de s’occuper en testant les sièges. Ouaip, c’était une bonne bécane…

Logan ne tarda à monter à son tour, prenant la place du pilote, et lorgnant avec espoir sur le siège d'à côté; ne manquait que Vitalie, et le reste de l'équipe. Assis à l'arrière, Withmore sourit: vraiment amusant!
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MessageSujet: Re: Révision de l'hélico - Ya d'la joie, lalilalaaaa...   Révision de l'hélico - Ya d'la joie, lalilalaaaa... EmptyLun 17 Déc - 13:40

Aube entraina la petite renarde à l'étage supérieur, direction l'armurerie. Dans cet antre de perdition pour tout amateur de la paix et de la fraternité entre les peuples elle se dirigea avec aisance vers ses joujoux habituels. aussi c'est avec un air nonchalant qu'elle prit le gilet pare-balles, le casque de communication et les armes qu'elle affectionnait tout particulièrement. En l'occurrence, il s'agissait d'un Pistolet Sig P228, d'un fusil Mig 10, de deux couteaux et d'une demi-douzaine de fumigènes de toutes les couleurs. Pourquoi emporter des fumigènes ? Tout simplement parce qu'elle était capable de les utiliser sans pour autant avoir besoin de masque à gaz, mais surtout parce que c'était joli toutes les couleurs de l'arc en ciel non ?

Ensuite elle fit signe à Aby qu'elle allait vers le hangar et que la renarde pouvait la suivre. Mais en chemin elle tourna vers la réserve contenant quelques produits forts intéressants pour le nettoyage de la base. Entre autre un bon acide bien concentré et un petit bidon d'eau de javel. Miam, quel cocktail intéressant en cas de mélange. De quoi tuer toute personne présente dans un rayon de quelques mètres. Bien entendu il lui faudrait faire le mélange et être au centre de l'émanation toxique, mais elle ne craignait strictement rien ... Puis elle alla au pas de course dans le hangar de l'entrée pour récupérer une vieille veste militaire qui devrait la protéger du froid, parce que au Tibet, ça caille !

Enfin, elle monta dans l'hélico à la suite de Charlie et attendit que tout le monde arrive en vérifiant son sac à dos. Gilet pare-balles enfilé, casque positionné, lampe torche dans la poche externe du sac, deux grenades à la taille, les couteaux dans les poches du gilet, les quatre autres grenades dans le sac accompagnées des produits chimiques. Elle était parée ! Et elle pouvait faire un brin de causette.


Alors Charlie, déjà opérationnel ? Tu as déjà de l'expérience en matière de prise d'otage. On se fait une petite négociation à l'amiable avant de tout casser ou bien on casse tout et on tente de ne pas tuer la personne à sauver ? Surtout que si le gars meurt impossible de toucher la récompense, ce serait dommage non ?

Elle déposa ses armes à ses pieds et attendit que l'appareil daigne prendre son envol en espérant que ce ne serait pas cette fois qu'il allait leur faire faux bond ! Mais Logan avait veillé à ce que tout fonctionne non ?
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Abigail Armstrong
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MessageSujet: Re: Révision de l'hélico - Ya d'la joie, lalilalaaaa...   Révision de l'hélico - Ya d'la joie, lalilalaaaa... EmptyLun 17 Déc - 19:12

Abigail suivit de près sa future nouvelle amie, car pour le moment juste nouvelle connaissance, jusqu'à l'armurerie. Tous les membres du M.I.L. étaient déjà équipés et prêts à partir, et il ne manquait plus que Aube et Aby...

La pièce eut été une véritable caverne d'ali baba pour quiconque aimait les armes. Pour sa part, Kitsune ne pouvait pas encore dire que c'était pour elle une véritable passion; elle savait se servir d'armes à feu légères parce qu'elle avait appris, mais elle aurait été bien incapable de savoir manier un de ces fusils qui devaient bien faire la moitié de son propre poids!

Tout d'abord, elle chercha du regard un casier vide, où elle posa son précieux katana: pas question de l'emmener elle ne savait trop où, et risquer de le perdre! Ceci fait, elle jeta un coup d'oeil aux petites armes disposées sur les racks. Car vu sa taille et son gabarit, Abigail se devait d'être réaliste. D'autre part, elle avait déjà en sa possession un Berreta quasi-neuf, qu'elle s'était procurée sous le manteau alors qu'elle vivait encore chez ses grand-parents. Certes, elle avait appris à s'en servir, et cette arme était déjà presque trop pour elle. Cependant la renarde avait compris que il valait mieux partir bien équipé, pour éviter le risque de se retrouver sans arme ou munitions une fois qu'ils seraient en pleine guerre.

Donc, après avoir passé quelques minutes à tout regarder, Aby choisit de prendre un petit pistolet supplémentaire, un .45 USP que tout le monde semblait bouder. Pas vraiment experte dans ce domaine là, elle ignorait parfaitement la différence entre deux armes de même type, et pour elle, un pistolet était un pistolet. Glissant celui-ci à sa ceinture, elle s'occupa surtout de prendre plusieurs chargeurs, 5 précisément: deux pour l'USP et 3 pour son Berreta à elle.
Enfin, elle regarda du côté des grenades, et les évalua rapidement. Les explosives lui faisaient trop peur, donc non; les "flashbangs" risquaient de lui faire plus de mal à elle qu'à l'ennemi, donc non; et les fumigènes, même chose, sa bonne vue serait trop handicapée avec un de ces engins là. Aussi, elle finit par renoncer à prendre une de ces grenades.

C'est donc ainsi équipée que Abigail allait partir, mais une dernière chose retint son attention: les protections corporelles. En regardant l'un des gilets pare-balle, elle eut cependant un gros doute... Pour le confirmer ou l'infirmer, elle décida d'en essayer rapidement un... Et le verdict apparut assez vite à ses yeux:

"... Trop grand..."

En effet, le gilet de protection lui arrivait jusqu'aux genoux, et de plus il était presque trop encombrant pour lui permettre de bouger correctement... Cela était un vrai problème, mine de rien.

Kitsune emporta finallement avec elle le gilet, mais douta sérieusement qu'il lui soit plus bénéfique que contraignant. Mais d'un côté, elle préférait avoir çà sur le dos au moment où on lui tirerait dessus. La question ne se posait donc pas, du moins pas encore.

Et à trot rapide, la renarde rejoignit ses coéquipiers du M.I.L. dans l'hélicoptère de Logan, et grimpa vite à l'intérieur. Vitalie, le grand barbu et Aube étaient déjà là, mais il manquait le monsieur qui avait parlé au micro. Logan quant à lui, était installé sur le siège du pilote, et paraissait attendre que toute l'équipe soit à bord pour faire démarrer l'appareil. Aby s'assit donc sur l'une des banquettes, à côté du monsieur barbu, et posa son gilet sur ses genoux. Inquiète, elle regarda en direction d'Aube, ce qui la rassura un peu. Cette jeune fille avait l'air d'aimer plaisanter, et le moins que l'on puisse dire est que cela réussissait généralement bien au moral de la mutante au physique animal. Et bien que son coeur battait la chamade, elle était quand même un peu plus rassurée...

"Yoku... Itsu beki iku... Yafuu!" ("Bon... Quand faut y aller... Yahoo!")

Se dit à elle-même la jeune japonaise pour s'encourager... Enfin elle mettait les deux pattes en plein dedans, dans son destin...
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MessageSujet: Re: Révision de l'hélico - Ya d'la joie, lalilalaaaa...   Révision de l'hélico - Ya d'la joie, lalilalaaaa... EmptyMar 18 Déc - 2:41

Quand le lieutenant arriva, tout le monde était prêt pour partir, sauf Vitalie, qui n’était pas encore montée dans l’hélico. Mais au moins elle était là, à croire que le seul moyen de la faire s’activer c’était les punitions, comme pour les gosses. Enfin, de toute façon il avait fait un petit détour afin de cacher la clef…la perdre en mission lui aurait coûté la vie…non pas par les ravisseurs mais par Vitalie elle-même qui lui aurait sauté au coup non pas par amour mais bel et bien pour l’étrangler… Mais la clef en sécurité, il ne risquait pas de mourir de cette façon là.

Il avançait donc vers l’appareil, en vérifiant son matériel. Son couteau de combat dans son étui au niveau des côtes, sous le bras gauche, son revolver dans l’autre étui sous le bras droit, 2 grenades aveuglantes à la ceinture, son sac en toile qu’il avait récupéré et qui contenait quelques surprises et bien évidemment sa mitraillette légère, en bandoulière autour de son torse…Tout était là, suffisamment de matériel pour le lieutenant, qui espérait que les autres membres auraient calculé leur coup eux aussi…

La réponse ne se fit pas attendre, en faisant un tour d’horizon du matériel choisi, il vit que tout le monde s’était lourdement armé, surtout le membre tout neuf, qui aurait pu monter un magasin à lui seul, ou Aube qui semblait vouloir défaire l’expression comme quoi il n’y a pas de fumée sans feu, vu les deux fumigènes qu’elle portait. Il n’y avait que la petite nouvelle, encore inconnue du lieutenant qui s’était équipée plus légèrement mais surtout qui n’avait pas récupéré de pare-balles…

Kelian avança donc vers la porte avant de l’appareil, voyant que la place était libre. Il croisa le regard de Logan qui semblait lorgner le siège…après vérification pour voir s’il n’y avait rien dessus vu le regard de son camarade, il s’assit, et attacha le harnais de sécurité. Il commençait à se calmer, après sa promenade dans la base. Il avait réussi à faire baisser la pression, mais une petite taquinerie de plus et le bouchon finirait sûrement par voltiger…et le taquin par la même occasion… Il posa alors son sac au sol, et un léger bruit de verre se fit entendre. Il tourna la tête vers Logan tout en écartant doucement un pan du sac, faisant alors apparaître aux yeux du pilote une bouteille de whisky joliment décorée.

« Il parait qu’elle a presque deux fois ton age… La connaissance qui me l’a offert m’a dit que c’était un présent de valeur…mais vu que je n’y connais rien je me suis dit que tu pourrais tester ça à notre retour… »

Il avait beau être à moitié en rogne, Kelian avait prévu avant son retour de l'entretien de faire la surprise à Logan, dans l’espoir de calmer la bête, suite à leurs petites altercations passées...car on peut montrer les dents et rester humain en même temps. Mais ce qu’il ne savait pas c’est quand s’asseyant sur le siège passager, il risquait sa peau…enfin, un tel présent devrait faire son effet… ou du moins il fallait espérer…

Il relâcha alors le sac, et réfléchit quelques instants…quand même, il avait des remords…et si elle venait à mourir ? Non, il ne fallait pas que ça puisse arriver, il aurait sa mort sur la conscience, et s’en voudrait terriblement…et puis après tout, la mort n’est pas passé loin la dernière fois, alors maintenant, ça n’a plus trop d’importance…

Kelian détacha alors son harnais, en toute sécurité car ils attendaient toujours que la blondinette se décide à monter avant de décoller… sûrement en train de peaufiner son maquillage dans le chrome de la voiture de Logan… et enleva son gilet pare-balles avant de se retourner vers les nouveaux venus.

« C’est votre première mission parmi nous et je voudrais que ce ne soit pas la dernière…entrer dans le vif du sujet ne veut pas dire y laisser sa peau… Faites attention à vous.»

Il tendit alors son gilet à Abigail.

« C’est du sur mesure, mais vu votre gabarit, je pense que cela devrait vous aller… »

Après tout, lui pouvait se cacher dans les murs, ce qui n’était pas le cas de la renarde… il pouvait donc se passer de cette protection pour un moment… La conscience tranquille, et la pression redescendue, il ne restait plus qu’à attendre leur chef…
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Vitalie Darshaw
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MessageSujet: Re: Révision de l'hélico - Ya d'la joie, lalilalaaaa...   Révision de l'hélico - Ya d'la joie, lalilalaaaa... EmptyMer 19 Déc - 3:03

« Darshaw, vous êtes en retard. ». Beaucoup trop d’adultes.
« Vita', t'es à la bourre… ». Beaucoup trop d’amis.
« Quand ma fille rentre à cinq heures du matin, sans avoir passé le moindre coup de téléphone, avec un sourire béat sur le visage et des étoiles pleins les yeux, tu crois que je n'ai pas à me faire du soucis ? ». Mr. Darshaw / Papa.
« Mademoiselle ! Je vous prierais d'envoyer les formulaires en temps et en heure cette fois-ci ! Sinon, vous risquerez l'exclusion définitive ! Et ce ne serait pas trop tôt ! ». Madame Wallas.
« Wouf ! ». Le chat de la voisine.
Oui, oui, oui et oui... Ok, avouons-le comme il se doit : Vitalie Darshaw n'avait pas la réputation d'être une personne extrêmement ponctuelle et ce, depuis l’école maternelle. Mais, de ses caractéristiques personnelles, le fait d’arriver ou de faire des choses en retard ne pouvait être véritablement considéré comme un défaut primaire puisque, dans tous les cas, il y avait des qualités pour rembourser ses dettes. Tout d’abord, Vitalie était on ne peut plus précoce dans certaines matières –je vous laisse imaginer lesquelles- ce qui, si les retards étaient soustraient aux avances, donnerait un chiffre négatif, soit un avantage pour elle. Et puis, secondo, la jeune fille avait TOUJOURS, et j’insiste bien sur ce mot, une justification à ses retards. Par exemple, il lui était déjà arrivé, en plein milieu de la rue qui menait à la Fac’, de rebrousser chemin à toute vitesse pour aller faire un saut en parachute, histoire de décompresser avant le concours d’admission et de réussir avec davantage de point par la suite.
C’était comme si une petite conscience se manifestait soudainement en hurlant : « J’ai une idée génialissime ! » et obligeait une Vitalie consentante à déjouer la routine, les plans prévus.
Et aujourd’hui, une fois de plus, ça ne manqua pas. Alors que tout le monde se demandait avec plus ou moins d’inquiétude où avait bien pu passer la chef à forte poitrine, cette dernière filait à travers les couloirs du M.I.L, les jambes sportives et le cœur léger. Elle dérapa tout juste devant l’armurerie, ses chaussures grinçant sur le sol. Et, tout en entrant à vitesse grand V, la demoiselle entreprit de fouiller avec avidité l’amas de tutti quanti où se cachait l’objet de sa graaande convoitise. Une fois qu’elle eut mis la main dessus, la mystérieuse chose fut brandie en l’air à la manière d’un prestigieux trophée et Vita ne put s’empêcher de clamer joyeusement :
-Taya ! J’aurais besoin de toi, en fin de compte ! Allez, let’s go ! puis de lancer rapidos l’inconnu matériel dans son sac à dos.
Et zbwing que la course reprend de plus belle, et tchoc que la miss met enfin pied dans l’hélico.
-Je suiiiis lààà ! Pas d’panique ! dit-elle en agitant les bras comme pour se garder en équilibre et rassurer la compagnie –même si nous savons très bien que l’un des militaires aurait été davantage en état de confiance s’il avait sût la blondinette loin de sa mitraillette.
Passant joyeusement devant Aube, Charlie et Abigail, la demoiselle leur sourit tout en s’adressant à la nouvelle recrue féminine :
-Première mission, hein ? Le trac, l’appréhension ? Bah, on est tous là, on travaille en équipe. Chui certaine que si le Spyke t’a ramené à la base, c’est que t’as du potentiel. J’compte sur toi ! Nan, mieux, j’compte sur vous tous ! En fait nan, on… Bon, c’est très bien comme ça. Gardez la pêche les amis !
Petite pause orale où Vita inspecte brièvement les accessoires de chacun. Elle sourit, amusée.
-Bon, Aube, rajoute-t-elle avec une pointe d’humour, s’il te plaît, t’évite de nous faire exploser comme des cacahuètes d’apéro avec tous les fumigènes et autres babioles que t’as sûrement dût emporter avec toi. Ok ?
Darshaw rit intérieurement de l’image qu’elle a d’un Charles Withmore transformé en cacahuète, puis fait un pas devant elle, un autre et se stoppe soudainement. Kelian… voila encore un problème…
*Il me cherche ou c’est naturel chez lui ?* se demanda la jeune fille, déconcertée par le bonhomme assis sur la place qu’elle s’était réservée mentalement depuis la lecture du télégramme. Serrant les points, Vitalie continua d’avancer avec la ferme intention de récupérer ce qui lui était dût. Quitte à passer pour une gamine mal élevée en réclamant le siège, elle aurait au moins le plaisir en retour de contempler le paysage du tout devant et de blablater avec Spyke. Une excellente cause à défendre, songea-t-elle en posant subitement sa main sur l’épaule du lieutenant nerveux.
-Kelian, en général je laisse ma place aux personnes âgées et aux petites filles. Et encore, j’ai tendance à rouspéter lorsque je dois passer tout un trajet assise sur une valise alors que j’ai payé un billet de voyage comme tout le monde. Mais là, voyez-vous, vous n’êtes ni une bonne grand-mère ni une adorable fillette. Vous êtes un homme qui m’a menacé et que je dois encore considérer comme collègue puisque nous défendons la même cause. Sauf votre respect, lieutenant, je veux ce siège.
Comme il lui semblait bien que l’homme était aussi convaincu à le lui céder qu’il le faisait avec sa réserve de chocapics, Vitalie se tourna vers Logan et lui lança un regard sincère où une phrase siégeait, facilement traduisible par : « Chéri, défend-moi contre ce malade. J’ai envie de rester près du poste radio, mais avant tout de toi. Dis, tu m’choisis ? Hein que j’ai raison ? ».
Après quoi, Darshaw déclara, les bras croisé sous la poitrine, le visage fermé et pas sympathique du tout du tout à l’égard de l’emmerdeur :
-Je ne bougerai pas, je vous préviens. Mais, commençons par les bonnes manières : Kelian, pouvez-vous m’accorder cette place, je vous pris ?
Effectivement, je vous l’accorde, on avait l’impression que Vitalie parlait à un demeuré berné et qui refusait tout d’avance. Finalement, elle dit à voix haute ce qu’elle pensait tout bas.
-L’avis du pilote, peut-être ? Spyke, pour ou contre ?

[Hors-RP : Encore un sujet à débattre, ciel… XD]
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MessageSujet: Re: Révision de l'hélico - Ya d'la joie, lalilalaaaa...   Révision de l'hélico - Ya d'la joie, lalilalaaaa... EmptyJeu 20 Déc - 1:34

Alors que Vita' était redescendue pour aller il ne savait où, Logan acheva de perdre tout espoir: Kelian venait de poser son put*in de cul sur LE siège de la chef! Pan, one shot et one kill, un mort par arrêt cardiaque... Non mais sans blague, il voulait faire avoir une attaque nerveuse à Spyke, le lieutenant, ou bien?
Le plus cocasse était qu'il semblait avoir même pris son petit gueuleton pour casser la croûte en route, dans un sac en toile. Bon, en même temps il était presque midi, ok, mais bon... On est pas au restau' ici, nom d'une pipe!
D'un oeil intrigué, Logan se pencha pour jeter un oeil dans le fameux sac, en demandant:

"Qu'est ce que c'est que ce sac...?"

Nooon... D'où il sortait cette bouteille de Peel, un whisky dont la production avait été stoppée en 2014?? On n'en trouve plus que chez les collectionneurs, des comme çà...
Inutile de dire que si Kelian avait voulu se faire pardonner ses excès passés, il avait trouvé une très bonne combine, et il pouvait être sûr que Logan apprécierait le cadeau à sa juste valeur! D'un petit signe de tête accompagné d'un mince sourire et d'un furtif clin d'oeil, le pilote commenta d'un:

"Joli trouvaille, l'artiste! Si on revient tous en un seul morceau, on pourra le fêter en la débouchant."

Hop, l'affaire était réglée, et la hachhe de guerre presque enterrée entre Kelian et Spyke. Du moins, jusqu'à ce que le colonel ne remette le coup du C4 au goût du jour...

Bon, elle fabrique quoi, la patronne?? Ah, la voila... Logan démarra les rotors dans un doux vrombissement, qui s'amplifia jusqu'à devenir le bordel habituel de l'hélico...
Puis avant de mettre son casque de pilote, il entendit Vitalie, dont la voix était juste au dessus de son épaule droite. Tournant la tête, il constata avec amusement que Vitalie avait la ferme intention de s'asseoir à la place qui lui était destinée. Le ton employé donnait largement matière à rire, mais Spyke s'en abstint... Enfin, cela ne l'empêcha pas de sourire, on n'est qu'humains après tout.... Enfin non, mutants, mais c'est tout comme!

-L’avis du pilote, peut-être ? Spyke, pour ou contre ?


Logan arcbouta ses sourcils en regardant Vitalie, dans le but de la faire mariner un peu... Elle méritait bien un petit châtiment pour tout à l'heure, mais celui là, Michael saurait le lui donner à sa façon, en temps et en heure...
Pour l'heure présente, il se tourna vers Kelian, et prit un air faussement déçu comme il savait bien les faire, et annonça:

"Sauf votre respect, mon lieutenant... Vous êtes sur le trône du plus haut gradé de la base, et je crains que cette place ne vous soit pas appropriée, navré..."

Et vlan, une petite pique (pas bien méchante) au passage! Un Kelian coulé, bataille gagnée! Enfin, il ne restait au concerné qu'à dégager, bien entendu.

"Allez les enfants, on est partis!"


Sur ces mots, le hacker posa sa main droite sur le manche de pas général, et de la gauche, il utilisa la petite mais très utile commande permettant d'ouvrir le toît (grâce à un ingénieux système fabriqué par devinez qui, à partir de 4 moteurs de portail électrique!). Bref, en quelques instants, le ciel bleuté apparut en lieu et place du plafond, ce qui permettrait à notre bon vieux coucou de prendre envol! Allez on y go, Logan leva le pas principal et l'hélicoptère commença à s'élever...

Justqu'à ce qu'un méchant claquement se fit entendre, claquement suivit de près par la chute de l'hélico' vers le bas... Un boum plus tard, et l'appareil était nouveau au sol, avec juste un voyant rouge allumé de plus!
Aussitôt, Logan jumpa de son siège en jurant, et sortit pour voir ce qui avait pété...

Mille fois... Mille fois il se maudit de ne pas avoir vérifié le rotor principal. La panne fût en effet facile à détecter: le rotor était désaxé. Et à l'oeil, quand on voit les pales qui tournent très penchées sur la gauche, on comprend vite ce genre de choses... Michael remonta vite couper le moteur, et redescendit en courant chercher une échelle...

"Bon dieu de put*in de bordel de nom de m*rde, 'me dit pas que le rotor est flingué, où je vais me pendre sur le champ!"

Se complimenta-t'il lui-même ainsi que l'appareil, avec élégance. L'échelle posée contre la paroi, et les pales arrêtées, le technicien aux doigts de fée grimpa fissa sur le toît pour inspecter ce foutu rotor, et surtout trouver qu'est ce que c'est qui avait pété... Car ou bien il devenait vraiment pas clair, ou bien il avait bel et bien entendu un claquement sinistre, genre une pièce metallique qui pète.

"Ouh put*in... Tu m'étonnes qu'on vole plus, j'ai perdu une bielle!"

Alors çà, c'était fort... Une bielle d'acier, solide comme tout et solidement fixée à un roulement lui-même fixé à la couronne mobile, qui avait disparu... Celle-là, de connerie, on ne la lui avait jamais faite...
Michael descendit aussitôt, et se mit en même temps à réfléchir à toute vitesse... Des biellettes comme celles là, en avait-il seulement une d'identique dans l'atelier?? Possible, mais dans son foutoir, il risquait de passer trois plombes à la chercher!

Mais son regard fut attiré par un objet en métal brillant, par terre près du mur du hangar...

"Qu'est ce que...?"

Le technicien du M.I.L. s'avança pour voir ce que c'était, et il tomba littéralement la gueule de voir que sa bielle, elle était là, connement posée sur le sol.

"Alors là, qu'on m'explique!"

Logan ramassa la pièce, et l'évalua du regard. Elle semblait en excellent état en plus, cette cou*llardise, alors qu'est ce qu'elle fichait ici au lieu d'être à sa place?! Minute, où sont les gros boulons qui vont avec? Y en a deux, normalement...
Logan chercha par terre, et retrouva un morceau de ces gros boulons de diamètre 24 mm, pété net en deux... Et bin, c'est plus ce que c'était, ces saletés! Michael partit vers son atelier en courant, tout en précisant au passage:

"C'est bon, trois fois rien, je vais vite le réparer... Si vous aviez oublié d'aller faire caca, c'est le moment!"

Et il disparut vers les niveaux inférieurs...

Pour revenir deux minutes plus tard, avec un poste à souder à arc électrique, une clé à pipe de 24, et surtout les deux précieux boulons qu'il avait trouvé par chance. Le temps de remonter sur l'hélico', de s'allumer une clope, et le travail de réparation commença.
Tout d'abord, remettre la biellette en place, et ce avec les nouveaux boulons tout neufs. Ceux là, si ils pétaient, alors nous pourrions dire légitimement que la fin du monde est arrivée... Bref il les monta, les serra comme une brute, et balança la clé à pipe en bas. Seconde opération, pour que çà tienne du feu de dieu, on soude tout çà à l'arc. Et çà mon pauvre, je peux te dire qu'un éléphant pourrait ensuite y marcher dessus que çà ne bougerait pas!
Problème: dans sa précipitation, Logan avait oublié de récupérer un casque de protection. Et dieu sait, sinon moi, qu'il n'est pas du tout rcommandé de souder à l'arc sans protection occulaire homologuée... Bon...

*J'vais quand même pas redescendre en bas pour un bête casque... Ah? Attends voir...*

Michael gardait toujours ses solaires de biker dans la poche avant gauche de son jean's. Ah, elles y sont. Bon, et bien maintenant il était équipé!
Notre héros du jour commença donc sa soudure, lunettes de soleil sur le pif. Et le moins qu'on puisse dire, est ce qu'il pensa lui-même...

*Ah... J'dois avoir l'air bien con moi, à souder avec des lunettes de soleil.... Ahhh, misère... Tu nous auras tout fait ici, mon p'tit Logan...*

Petit moment de solitude, perché sur le toît d'un hélico' datant de l'âge de pierre (au moins), un fer à souder dans la main, ajoutez un air couillon, il faut le dire, et vous avez le tableau complet...

Mais au moins, 5 minutes plus tard, la soudure était finie, et on n'en reparlerait pas de sitôt, de cette bielle fugitive! Non mais, elle croyait aller où, d'abord?! Bref, Logan redescendit avec son matériel, en ayant pris soin d'enlever ses bessicles pour ne pas avoir l'air plus crétin qu'il ne l'avait été là haut. Il posa le tout dans un coin, et remonta à sa place, l'air plus détendu...

"La compagnie Air Logan s'excuse de ce malencontreux problème technique, le vol 666 à destination de je sais plus trop où va à présent décoller. Attachez vos ceintures de pantalons, fermez-moi ces portières, et pi... Go, quoi!"

Le pilote chevronné ralluma le moteur, qui tourna impeccablement, et reprit là où il avait été interrompu... Ah oui, déloger Kelian...

"Lieutenant... Ya le nouveau qui vous appelle, derrière..."

Hop, une petite prière à Sainte Rita, la patronne des causes perdues, et l'hélico décolla sans plus de soucis, et la troupe s'envola direction l'Aventure!

[HRP: Et voilaaaa ! ]
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