E326-MAT Kimberly

Argh un seau d'eau lui était jeté dessus. Elle n'écoutât pas tellement les dires de l'homme. La pièce était mal éclairée et les barreaux était épais, donc impossible de les détruirent à la lime, elle vérifia que toutes ses cache n'avaient pas été vidée, son crochet en épingle à cheveux était pris, plus de revolver, son katana était pris, elle prit sa chaussure droite et retira double semelle, non le couteau était pris. Aucune fenêtre dans le cellules juste un gardien au bout du couloirs.Pas de ribinet, ni de WC. Le lit était spartiate ainsi que tout ce qu'il y avait dans cette cellule.

Une femme dans la trentaine fit à son tour son entré dans la cellule, s'ajoutant aux deux hommes qui étaient déjà entrain de discuter après t'avoir 'éveillé' si on peut le dire ainsi. Elle te dévisagea un instant avant de soupirer et d'observer quelque chose dans le dossier qu'elle tenait. Il était temps de se mettre au travail et de découvrir ce qui ferait en sorte que tu sois utile ici. Elle s'avança donc vers les deux hommes; l'un étant dans la trentaine et le second avait visiblement dépasser les soixante ans.

"Je vois que vous avez déjà réveiller notre prochain sujet."

Elle t'observa encore un peu avant de se désintéresser complètement de ta personne. Ça se voyait très bien qu'autant pour elle que pour les deux autres scientifiques tu n'étais rien de plus qu'un cobaye parmi tant d'autre, un simple sujet d'étude. Peut-être qui si tu avais de la chance, ils trouveraient ton don utile et ainsi, tu pourrais soit entrer dans une division, ou alors devenir un sujet d'étude premanant, faisant ainsi en sorte que tu sois quelque peu mieux traité... Mais ça, ce n'était pas leur problème pour l'instant.

"T'es toujours à la traîne, on a presque commencé sans toi. Allez, on y va." Répondit le plus jeune des deux hommes en s'approchant de toi. "Bon, on a tu travail nous alors ne traîne pas."

Il te poussa alors dans le dos vers la porte resté ouverte. Les deux scientifiques dans la trentaine te surveillerait de près pendant cette petite 'marche' à travers des couloirs alors que celui étant dans la soixantaine guiderait le pas. Si on se fiait aux apparence, aucun n'était moindrement armé et ils n'avaient rien de dangereux. Mais bon, ça, c'était les apparences...

La jeune femme sursauta en voyant que tu avais pris son cooéquipier en 'autage' et t'observa avec un regard non pas effrayé, mais bien méprisant et ennuyé. Il fallait dire qu'elle avait espérer avoir droit à un peu de colaboration, mais non, il fallait que tu sois à l'image des autres qui essayait de se montrer brave et fort. Mais au moins, peut-être avais-tu de l'avenir ici? Bien que brûtaliser les scientifiques ne faisait pas en sorte d'avoir de l'avenir, mais au moins, tu en avais peut-être plus dans le ventre qu'il n'en parraîssait. Mais pour l'instant, ce n'était pas vraiment ce qui était important à voir, mais bien voir ce qu'était ta 'capacité' faisant en sorte que tu puisse être utile ici.

Le plus âgé de ce trio de scientifique fit un pas en avant tout en sortant un petit fusil de la poche de son sareau et tira une première fléchette qui se planta, bien évidement, sur l'épaule du scientifique que tu tenais. Mais attention, ce n'était pas une erreur pour autant car ainsi, ton 'autage' s'endormirait et ainsi, sa tête ne cacherait plus ta nuque, laissant champ libre à ce même homme de tirer une seconde flèchette qui se plantat, dans ta nuque...

Une fois que tu fut endormi, les deux éveillés restant adossèrent le scientifique au mur et te transportèrent jusqu'à bon port. Ils n'avaient pas à s'en faire pour leur collègue, il savait bien le chemin et ce n'était pas comme si c'était la première fois que ce genre de situation arrivait. Bien sûr, ce n'était pas préférable, mais quand même, les nouveaux - même certains anciens - jouaient généralement les fortes têtes et il vallait mieux être capable de métriser aisément les cobayes. Bref, on t'ammenait dans leur laboratoir...

[Tu pourras poster dans les labos à la suite de mon poste ou alors faire un dernier poste ici avant]

[Deux jours plus tard]

En fin d'après midi, tu pus encore une fois entendre des bruits de pas se démarquer du couloir. Mais c'était loin d'être les premiers de la journée et de la veille. La seule différence fut que cette fois, on s'arrêta à ta porte. Une fois la porte ouverte, tu pus y voir Macome, vêtu encore une fois de sa blouse blanche. Il fallait dire qu'il était assez grand et te dépassait d'au moins une tête. Son visage était toujours aussi froid qu'à l'habitude et toujours aussi impénétrable. Il referma la porte derrière lui, t'observant avec ce même regard pesent que la première fois. Il venait de s'accrifier son heure de diner et le tout, parce que Tinkler avait réussi à le convaincre qu'il était préférable qu'il vienne...

"Qu'est-ce que vous voulez?" Un ton froid, glacial même, tout en étant monocorde. Il était claire qu'il aurait préféré être autre part.

Une visite pas trop tôt, bon quesqu'elle voulait le bonhomme? Ça semblait pas claire ce qu'elle voulait. Sortit de cette cellule minuscule.

Ben dit d'on on vous perds de jours en jours ça parait pas évident ce que je veut ?

Elle partit dans le fond de sa cellule et salonga sur le lit, il faisait chaud elle ne dormait qu'avec ses sous vêtements elle restait allongée jusqu a une réaction de l'homme.

Je pourrait sortir d'ici quand ?


[hrp: désolé pour ce post minable mais j'avais pas d'idée]

Macome te regarda faire sans fléchir moindrement ni changer de regard. Oui, c'était un homme, mais il ne te voyait pas autrement que comme une cobaye. Un simple morceau de chair pouvant apporter une utilité à la science ou alors à la GC elle-même, rien de plus qu'une chose, même pas une humaine. Il ignorait ce que tu étais allé t'imaginé, mais pour que tu lui demande de sortir, il fallait qu'elle se soit fait bien des illusions. Aussi, il se doutait bien que tu n'avais sans doute pas compris ce qu'était la GC et comment ça marchait ici.

"J'ignore se que tu es allé t'imaginer, mais je ne te ferai sortir que pour aller t'ammené au laboratoir. Qu'importe ce que tu étais avant, tu ne l'es plus ici, tu n'es rien de plus qu'un cobaye. Tu connais tes heures de sortie."

Et maintenant... il était tant de voir si oui ou non, tu finirais vraiment par devenir utile à la GC. Le passage lent et pénible de l'état de cobaye à celui de membre de division commençait généralement par les scientifiques qui implantait un bon nombre d'idée dans la tête de leurs cobayes, s'assurant qu'ils soient fidèle à la GC et aillent même jusqu'à la vénérer, jusqu'à la voir comme leur monde. Bien sûr, c'était plus complèxe lorsque les cobayes n'était plus à l'enfance, mais ça restait faisable. Bien que parfois, il y avait des cas irrécupérables qui restait à jamais l'égale de rats de laboratoir et devenait, avec le temps, rien de plus d'une enveloppe charnel dénuer d'ambition.

"Mais sache qu'il y a un moyen de remédier à la situation. Il y un bon nombre de cobayes qui sont aujourd'hui haut placé, il faut toute fois beaucoup plus que de l'ambition et de la persuasion pour ça. Tu peux le constater par le nombre de cellules occupés, très peu réussissent cet 'exploit' si je puis le dire ainsi. Mais ceux qui y parviennent ont droit à une toute autre vie. Cette vie que seule la Genetics Corporation peu offrire. Car bien qu'on puisse présenter l'enfer, on peut aussi offrire le paradis, une vie bien meilleure que tout ce qu'y peut être vue à l'extérieur de ces murs."

Maintenant, que choisirais-tu de faire? Voudrais-tu avancer pour ainsi atteindre cette liberté illusoir qu'offrait la Genetics Corporation, ou alors préfèrerais-tu rester ainsi...

Elle nut pas besoin de plus de 4 seconde pour réfléchir.


Quesqu'il fut que je fasse pour sortir, dis moi et je le ferai.


Elle prit ses affaire et restât debout devant le vieille home prête à le suivre , pour quitter cette cellule sordide, ça ne devait pas être si dur de partir d'ici finalement si cette abruti en veste blanche avait put être gradée elle arriverait aussi à allé loin. Même si il faudrait tuer des gens ce serait sans problème vu ce qu'il peuvent faire sans remord , elle n'allait pas se pi ver d'en tuer quelques uns.


[hrp: Le sujet me donne pas d'idée jespere qu'on part bientôt de la cellule]

Voilà exactement ce que Macome avait espéré, une autre cobaye qui compréhensible et qui avait embarqué dans le jeu du 'scientifique qui veut aider' sans même comprendre dans quoi elle s'embarquait. Elle ignorait sans doute ce qu'elle aurait à faire, mais quand même, elle voulait sortir et goûter à cette illusion de liberté qui était offert ici. Au fond, tu étais comme la majorité des membres de division, tout en donnant l'impression de ne pouvoir arriver à rien, mais quand même, il y avait quelque chose à faire avec toi...

"Je ne peux pas te faire sortir sans raison, mais je peux quand même faire quelque chose. Pour ce qui est de te faire avancé, ce n'est pas moi qui peu faire quelque chose, mais bien les autres... si tu veux avancé et toucher ce que certain nomme le ciel, il te faudra être prête à faire des sacrifices, es-tu prètes à le faire?"

Il avait quelque chose en tête, mais bien sûr, il n'était pas question de perdre une cobaye avec une particularité telle que la tienne... d'autre expérimentation étaient à suivre, et ce, même si tu étais en voie d'avancement!

Kim n'avait écouter que les 2 parties de la phrase qui l'intéressait:

Je ne peux pas te faire sortir sans raison


Bon ça c'était sûr que elle ne pouvait pas sortir sans raison mais à force de patience elle irait voir d'autres chose comme l'homme qu'elle avait vu à l'hôpital. Ou alors revoir sa famille... plein de choses quel ne pouvait plus faire entre ces quatre mur si elle refusé de coopérer. Mais une autres partie de la phrase lui fit beaucoup moins plaisir:

ce n'est pas moi qui peu faire quelque chose, mais bien les autres

Alors il ne pouvait rien faire pour la faire sortir, les scientifiques ne servait donc à rien ici. Elle perdait du temps à discuter avec cet imbécile alors qu'elle devrait parler aux personne qui peuvent la sortir de là. Il avait perdu tout intérêt.

Bon tu emmène faire les test ? Ou tu m'amène à quelqu'un qui peut me faire sortir d'ici ?

Et te voila qui reprenait un ton plus arogant. Bien sûr, Macome comprenait très bien ce qui te poussait à parler de cette manière, tu n'étais pas la première à le faire qui plus ait. Mais malheureusement pour toi, c'était quelque chose que le scientifique avait toujours détesté et il s'arrangeait toujours pour faire en sorte que les gens le traîtant de la sorte. S'il y avait bien une chose qui était bien d'inculper aux cobayes, c'était la politesse envers ses supérieurs, et ce ne devenait que plus important lorsque que le cobaye en question risquait d'avancé dans la GC. Et comme le moyen le plus régulièrement utilisé par la GC pour inculpé quelque chose était la punition, voilà exactement ce que ferait Macome.

"Sache que l'arogance et l'impolitesse sont deux choses que j'abore et que je vois des plus important à corriger. Contraîrement à ce que tu sembles croire, je suis la clé de ta liberté ici, mais simplement à un autre niveau. Tu apprendras donc à respecter tes aînés si tu veux aller plus loin ici."

Cependant, ce ne serait pas le genre de punission à laquelle tous aurait pensé, non, il lui affligerait quelque chose faisant ensorte que tu avance, mais en même temps, que tu puisse voir en face qu'il y avait plus puissant que toi ici. Non, il ne te laisserait pas pourrir ici, il allait même te faire sortir, mais les conséquances sertaient physiques et Macome s'arrangerait personnellement pour que tu puisses les voir morals si ce n'étaient pas fait. Il approcha de la porte, donnant l'impression qu'il partait, mais au contraîre, il s'y adossa et prit un téléphone portable.

"Ici Macome, je t'apporte un cobaye. ... Ça tombe à pique, c'est justement ce dont elle aurait besoin. ... Comme toujours oui. Mais fallait-il s'en étonner? ... Je te l'apporte. ..."

Le visage tout aussi froid, le scientifique rangea son portable dans une poche de sa veste et ouvrit la porte. Il était temps de corriger ce comportement...

"Suis-moi sans faire d'histoire."

[Un dernier poste ici et tu vas dans la salle d'entraînement]

Sache que l'arrogance et l'impolitesse sont deux choses...


Et bla, bla, bla il avait pas finit avec ses conneries ? si il fallait qu'elle endure ce sermon à chaque fois qu'elle ouvrait la bouche faire un voeux de silence n'était pas à exclure mais bon c'était lui le boss en quelque sorte ici, si elle voulait sortir elle devait lui obéir vite et sans faire d'histoire.

L'homme s'adossa au mur et sortit un téléphone portable, il parlait d'autres cobayes ici qui seraient plus puissant, evidemment elle maîtrisait les arts martiaux mais son pouvoir ne soulevait pas les montagnes. Si ils volaient un combat ils n'allaient pas être déçu si il fallait juste égorger des gens pour se faire une place ici elle en tuerait autant que nécessaire pour partir de cette cellule et allait avec des personne qui font quelques chose au lieu de rester à attendre la visite de quelques vieillard.

Suis-moi sans faire d'histoire.

Sur elle n'allait plus jamais discuter un ordre d'une personne plus gradé qu'elle, sans attendre elle voulut lui dire mais cela semblait être de trop il avait accordait de son temps à Kim elle n'allait pas le devoir. Elle prit ses chaussure et le suivit en disant un petit:

Ok boss

[hrp: dans la salle "un peu d'entrainement pour un aligator" ?]

[hrp: Ca craint les double post mais je suis obligé]



Kim fut un sacrée passage à l'infirmerie elle n'avait plus mal a pars des petits picotement dans l'épaule, elle était retourner dans sa cellule avec la première personne qui à était gentille avec elle c'était une femme qui s'occuper du transport des prisonniers, elle lui avait même donner de l'eau fraîche au lieu de boire l'eau croupie qui sortait du robinet de sa cellule.

Kim attendait avec impatience tous les jours qui suivirent la visite de quelqu'un elle ne quittait sa cellule que pour aller se laver, mais bon les douche mixte avec touts les homme qui se trouvent dans les cellule c'est presque le viol à chaque douche, m'enfin y avait pas beaucoup de chance de la toucher sans se faire briser le phalange.


Une nuit elle reçu la visite de quelqu'un qui la réveilla pendant qu'elle dormait.

C'était comme aller faire ses courses. On prend un pannier, et on choisit dans les rayonnage les humains qu'on veut.
La plupart des produits en stock n'étaient pas vraiment dignes d'interret, du moins pour l'instant... En revanche, celle qui était derrière cette porte semblait convenir parfaitement.

Aussi, Jack prit le trouceau de clefs, et introduisit la bonne dans la serrure.
Oui, du premier coup.
Voyez-vous, les lois de Murphy ne s'appliquent qu'aux humains. Jack était donc exempté de ce genre de détriments.

Il s'introduisit dans la champre, et tendit une main velue pour réveiller l'endormie.

- Oook !

Il n'allait pas attendre que la jeune fille se réveille au matin. On lui avait donné la mission d'analyser le génôme d'un des cobayes, et il y avait des bananes à la clef. Malgrès sa tentative de marchandage, il n'avait pas eu droit à une avance.
Voilà pourquoi aussitôt après que cette mission lui fut assignée, il était partit vers les étalages d'humains pour en prendre un...

Ooooh ! Saletés d’humains !
Il était tard, il faisait faim, il faisait soif, et cette petite humaine s’en fichait complètement.
Elle n’avait pas de bananes, donc, pas la peine de faire des efforts…

Mais … Oui, quand on vit avec ces idiots imberbes, il y a toujours un "mais" qui traîne, par ce qu’ils prennent un plaisir malsain à tout complexifier.

Si cette petite chose apeurée au fond de sa cellule était un anthropoïde, aurait été fichtrement plus simple : un bon coup sur le crâne, et une fois qu’elle se serait réveillé, elle l’aurait vu comme un singe dominant et aurait fait tout ce qu’il aurait dit, sans broncher.

Mais c’était un autre genre de bestioles, qui contestait sans arrêt l’autorité, qui voulait toujours avoir l’illusion de liberté et bla et bla et bla !

Pauvre cruche tu n’es pas libre ! Tu ne l’es jamais car même quand on te laisse une certaine marge de manoeuvre, tu te la diminue toi-même : ne pas prendre aux autres ce dont tu as besoin, ne manger que pendant les heures de repas, et toutes ces autres niaiseries purement humaines …

- Petite humanoïde, DU CALME !

Bon, pas non-plus le temps de tergiverser.

- Ceux de ton espèce qui tiennent sottement à m’infliger le sobriquet de "Jack". Les vicissitudes du destin on fait de moi un des meilleurs scientifiques de la planète, et je n’aurais de bananes qu’une fois que j’aurais démontré l’étendue de mes talents à ces minus habens qui gèrent mes profits en ces fruits merveilleux.

Visiblement, ce velouté de verbiage lui paraissait étrange, pourquoi ont-ils des préjugés sur la manière dont devrait s’exprimer un anthropoïde ? Il n’ont jamais vu aucun représentant de son chaînon s’exprimer dans leur langue, pourquoi diable ne doivent-ils pas user d’un langage soutenu ?

Jack ficha son regard simiesque dans celui de la demoiselle, et se saisit de son poignet d’une main calleuse mais ferme, et l'entraîna à sa suite dans les couloirs.

Pour un anthropoïde, il était un gros anthropoïde : son corps étant composé de prés de cent kilos de muscles, os, cuir et fourrure, il ne sentit même pas si la frêle donzelle opposait une quelconque résistance.

En l’espace de quelques secondes, il arriva devant un garde armé, visiblement mal à l’aise d’avoir à s’entretenir ainsi avec un "singe".

- Ooook.

Encore moins a son aise. Bien que ce soit visiblement sa langue maternelle, il ne devait pas comprendre le terme utilisé par le scientifique, il bredouilla quelque chose dont on pouvait saisir vaguement le sens sous-jacent : il était chargé de guider le docteur Jack à ce qui deviendrait son laboratoire, ce qu’il fit, non sans jeter de fréquents regards en arrière, s’attendant visiblement à ce qu’à chaque instant, l’anthropoïde, titulaire de douze maîtrises en des domaines plus que variés, et ce en l’espace de quelques mois, cet individu, donc, allait lui sauter à la gorge… Quel fifrelin…

Ils arrivèrent au bout de quelques instants à une grande porte noire sertie d’une poignée en métal argenté, qui s’ouvrit sur une vaste sale dont la lumière déversée par des néons révélait contenir nombre de machines étranges protégées sous des bâches.
Le scientifique congédia le garde d’un simple ‘‘Oook’’, et retira une bâche qui protégeait une paillasse neuve.

- Petite humanoïde : plus promptement je pourrais agir, plus promptement la fin surviendra, et nous permettra de nous en retourner, pour toi à ta petite vie, et pour moi, à la seule chose que je désire, alors allez quérir dans l’un des cartons là-bas la verroterie qu’il renferme en son sein…

S
Sa saucissonante salsepareille ose scander ses saletés !

I
Incroyable inertie incisive et injuste !

N
Non ! Ne nommer nos nouveaux nantis !

G
Grosse gaffe !

E
Eh ! Espères-tu envenimer exprès cette expérience ?

Ne jamais traiter Jack de singe ... Les yeux de l'anthropoïde virèrent au rouge, et un voile sanglant s'abattit sur la vision de l'animal.

Sous la rage, il attrapa la mutante par le bras, s'empara au passage de quelques uns de ses cheveux, et la mit à la porte ...
SINGE ... Un terme si idiot et méprisant pour parler de si nobles bêtes ... Comme si les humains lui étaient supérieurs !

Pour se calmer, la créature émit un
- Iiiiiiiik !

Suraigu, bien entendu ...

[Suite au labo ...]